a 8 a : H I S T O I R E N A T U R E L L E
i ; 1 L E B E N G A L I
L es moeârs tblite^cette 'famille d’oifeaux
étant à très-peu-près les mêmes;:'.je mfe contenterai, SâftS cet
article & les fuivaffspd’ajouter a ce que fai # t deftdusràn généré*
ïéxdefcriptions réfpe<ftiy& de chacun en'particulier. C’eft fu r -tS ^
lorfque l’on a à faire connoître des oifeaux tels que ceux-ci, dont
le principal mérite confifte'dans lès couleurs du plumage & fes
variations, qu’il faudroit quitter la plume pour prendre le pinceau,
ou du moins qu’il faudrait favoir peindre avec la plume, c’eft-
à-dire, repréfenter avec des mots, non-feulement les cdt|t&u5w8r
les formes du tout enlunBIe & de chaque partie, mats le W »
des nuances fugitives qui fe fuccèdent ou fè "Jnêreht ;fs%cTipfent
ou fe font valoir mutuellement,-' &tdùr-taùt exprimer, faffilpa, le
r ïSoulemenf^& Ta Vid |
Lc'længali, planifie i t $ , fis?, r , a t^chaquc ^ ^ ^ ® T a
tête une elpèce de cioiflant couleur de pompire qui accompagne
le Bas des jeux, & donne du car&étère à la ^mtonomiejJc ^
petit-oifeau,
La gorge ;efl dun Bleu-clair; cette même couleur uranine fin*
toute la parue inférieure du corps jufqu’au Boutée
(a ) Pafler fupernè grifeus; hifernè dilutè coeruleus ; macula infra, oculos purpureâ; ;
uropygro & reftricibus dilutè coeruleis. . . . . Beijgalus, ïe bengali. tBÎifTpn, tome I I I ,
pàgd'Ud^ ^ P
'd ^EiingiUa dorfo'^jùfco; ahdomme caudâque ccendeis. . . . FringtllaAngolenfis. Linnæus,
ed. X , G. 9 8 , Sp. 2.J-. Les Oifèleursie,nomme pjdrtpçfaj mais jCatefby a appliqué
cefte dénomination à fon pinfon de trois couleurs, connu fous ïeJnomLcfe" pûw de là
Lomjiane. SÉj
■Il i
b 'ém B 'tè&N- ’G"'A* Ti‘ T.
-même/ f û t f e sm ^ e r t j ù f e s fu^ é lieu r e sr1 T è |W ^ ? 3 è jfI iis d u c o r p f |L
p c o tu p r is tle^ - ailes , i e f l î d u t t û ® | , g r is , ■
Dans qnefqiie| mdTOtdM^'c#&êmè)gi>l^ltê& >peu< m f e clair.» •*
'e f l encore Ja> couleur-du'i vpn trei/& desrGpuy^rtures, inférieures de
la qpeué.
JÉDans d’autres'individt!^,'^esÀlut/d’A B j^ i ï^ ce? mêifc^oes
une ,temte Rendrait du Ventrfl, ù!»
d’autres enfin . il n pdp^eTe :crôiffant> (ÿ«ul- ui ’J e ]
pourore^fû,us 1 * cetfo co(nnu| ‘fç^inle^bqm
d^çordQnWjm^^ plus^oemmune que. celle,, quîta&ét^d^ite
îa«premiètig||)n>< préteqd^mp c’eft la î femelle triais par la raifon .
*' même qùe-rie*cprastf Lieu #eg^ct^i ndq^^
feulement-comme ,une^âri^fcdé dexe, nuis OT^ffi^Eomtno urte' *
y^riété d’âge, de climat;’ -qüûapeut> aVoij%qj^^j,ç^,^OTt pour
les'rcouleu^ avec.Ia femelle. Mr. MfÇl^alier ®l^L|Qîif?vff>cët
AByfTinie, ^©^''a^l^iîé^ofeiy^en^^que^Jes deux
^-mairquestrofi^sA^^^tffi^râienf point d«tns<3a femelle, *.&, que
1 toutes fes co.iduürsjétcfent^wêùr^.B^coup'Igirims BrilIantesyTI
TegiâTe amn joli ramage rimai? il n’a poinja^dalaumé.
ceîuïide^ïemeMrÿuiï & i’auue.p&Iabec'& les pieas rdugeat’r'çs.
M. Edwardva dèffinéa: colorié 0 ) un gordon hlèti venant
^|des'-cêtês d’Ango^fraufdes Portugais l’appdlent a^ylinha ,/ûL
, II différait du iptécédent, en 'ce que le ilefïus tH^tolp ^îtoit
L’ d'uïi Bt un-cendré, légèrement teint di *pouiprb^' fq:hc(7 tl'di™
t 'tQufcué;de cltairremBrunie, & les piedst^runs. Le plumage de
la femelle étoit d’un ^ ^ ié -B riM ^m ^ h e légère teinté de Bleuis
■tegarasSN!U. 'ifiuc-ij^ofrHitd., jiaa, r ji & 'SjspjgSM
(ç) M , , i&mimm^pae-èeffj/ed jhttfh