î’ümlHf?5u"inâIe‘ linotte a^ec'ia'feme jtif iï’y-a- poilf Ebrâmairè,
qu’une dMe1 pente &. très rarement- deuX dans Satinée. ">
- ' Cès; offeaux Bâtards- qm;?proŸiènnent dudnélânge des canaris
•avec les tarins, les chardonnerets&C. ûè- font -pas des mulets-
ftérîles, mais des métis féconds qui peuvent sSitiir&'prôduire non-
feulement avec leurs races matemeiïe ou ^paternelle, mais même
reproduire entre eux des individus féconds dontr les variétés
peuvent auffi fe rnêrer & fe perpétuer (x). Mais il faut-cojjvenir-
què' le produit de la génération ‘dé- ces métis -n’eft pas auffi
certain ni auffi nombreux à beaucoup pfèsTqùè-dàns Ies-e^èces
purqs; c # métis ne font ordinairement quunèapente par an &
raremmt d ^ x , foùvaat 1S oeufe font dans, & la produétioft
réelle dépend de plufieurê petites circonftances qu’3, n’eft pas
poffible de reconnoître & moins encore d’indiquer précifémenf.
On prétend que parmi ces métis il fe trouve toujours, ieâücoû^
plus de maies que de femelles: « Une femelle de 'Canari & un
» chardonneret ( dit j e P. Bougot) m’ont dans là mérite année
co produit en trois pontes dix—neuf oeufs qui tous-'tSjàt deufïr;-
-» dans ces 'dix-neuf petits mulets il n’jrkvoit que trois femelles
fur fcize mâles. » II ferait bon de conffeter ce-fait par des
obfèrvâûons féSérées.' Dans les t^pèces pures dèpluGeursiôifèân'Xj
comme dans celle de la perdrix, on a remarque qu’il ÿ a auffi
plus de mâles que dé femelles. Là même bbfervation ifeté-faite
. (xr) M. Sprengel a fait plufieurs obfervations fur les canaris muIets ^& j’a' ïüiVi â .
. cet effet très-exactement la multiplication des piiêaux qui provenaient de faccouple-'
;-2ïïènt des fèrins avec ies chardonnerets , & cet ÔiMëur -affure que ies miafëts jproyeniîs
tie ces^oifeanx ont" multipiié.enti’éu x ’& âvecleur race paternelle & maternelle ; Tes
- preuves j j j f i en- tipàne. nê iàiflènt même rien à defirer à eëffüfeU, . gpoiqu ôn ait
toujours regardé ayant -M Içs ferins mulets comme IJérilès. 'Amujemens innocent,
,page 4J-
^gtoÛelpèc&dîmnamc 1 ]
v filfcs clans nos, çliimrs»', draj
’ nySibre.dcs niaiks ^
perdtk^'p^'ii'it Jeufemè'w que
"nombre, paiGe^qù-iIpy a y c ijijeu rs^ tfc ^ rT ^ v fç an * dansât,
temps àa fan a g e .. mais d ii aucuçe.
efp£ce ^ r e le, nojp&rc Ücs m’dèsj ^Æ a ^ c c lu ^ s fh m\ ll^autlmf^ »mit trüii> ’ S "à B HH 1 9 lB ||9
qU’Ü trom^iù^eîmèuiV ‘plu1.* drefèmt lfcs.^ ^ d é ^ P ^ ^ i ' \
^ p tid ^ r é îd 'e s mulets qiii^alpincivt'd™l.tii^S.r<h li jument,
- nâisïjen’aiî-pûime piocuici.lur e^^dtoiiifàrmatious aflea cxïeÇc^
i l s?a»ir^it.>(îwnW^(SEl|tt mfcjâlit '*
l< " affii.fëcilk) '■da déterminer par, 4 p ‘•d 6 |:rV a a% l^ ^ ^ ^ i^ tia it
.dp-mâles^^combiaa d & f ^ d l ^ d a ^ d]cfpè,çc jpu^ .du^nari', 1
&,vce»ir crifukcpfi le nombres d e s'n^h^cfl^ncoicàl^^ < qp’ jMus ^
' gi ami- dans les métis/qui provienn^t wryncltj,s^clù- 1
d iiid o n iicre^d o la hune. La raife'n ‘F
i c\A qu’en géSéïardè male influx ^phnquo i Hl uilllÇi fhr
&la ([uatTEéçdcs taeçs. Au refit, ccsçQ4 aux«n(tes
^'.focEs & qiîi ont la ^ ^ p lu s * p e tit e ', lO e i n e ^ p f u s j ^ ^ ^
tês’ canaris dél^pèee-purq, vivent a u f f^ p f f is I l^ ^ f^M aw 1
-jPy i?-ûçe|Qbfer.vatiQn
les autrésf éeft^que, plus ils trâvaiïïént à la>pipp.ig#Bm (S âg u ^
‘^abrègent leurfigçi:* Un.ferin.® lM e jék y è ^ ^ ^ |L ^oem m u - j
nioation avec uneVèmeïïe vivra communément 'treize, ôiïlquatoree J
1? aps-'un mlto^ovenant dù diardonneret, ^traité dq,mt;mc,^\i|
KiL-huit & même dix-neuf msJUm métis p ro v e n ^ t^ îa ln ? ,
'& également privé'He.femelles,' vivra quinzeyju vj^andis
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