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OISEAUX É T R A N G E R S {
Q u i o n t r a p p o r t a u x G r i v e s & a u x M e r l e s .
I.
L A G R IV E B A S S E T T E D E B A R B A R IE (à).
J ’APPELLE ainfi cet oifbau à caufe de lès pieds 'courts : il
reflèmble aux grives par là forme totale, par fo n d é e , par les
mouchetures de la poitrine, fomées régulièrement fur.;un fond
Hanc, en un rhot, par tous d ^ ^ rjié tè r® :.çxterieursrf^xcept.é
les pieds & le plumage ; lès pieds font rnqri - feulement plus
courts, mais plus f o r ts e n quoi il elï directement à
l’hnamv ) & fembleufe rapproche! un peu de la diaine, qui -a
les^ pieds plus courts"! proportion quenSs*"trois autres grives,
A l’égard du plumage, il ell d’une grande beauté : ^couleur
dominante du deffus du corpss, compris la tête & JcrSccSj^cli
un vert dair & brillant, le croupion ell teint d’un beau jauner*
aiVilr que l’extrémité des couvertures de la qm ne & des ailes,
dont les pfepnes font d’unë couleur moins vive; mais il-Ven faut
bien que cette énumération de. ,cquleursfut-elle plus détaillée,-,
pût donner une idée jufte de l’effet quelles produifent dans-,
l’oifcau même : pour rendre,ces fortes d’effets il faut un pinceau
& non pas des paroles. M. Shaw, qui a obfervé' çette grive
dans fon pays natal, en compare le plumage à èèlu£ des glus
beaux oifeaux d’Amérique ( k ) i il ajoute quelle njsft pas fort
■ T l/a h Thomas Sfiaw lui donne le viôm-à^:E l-een thrûsh.
| ! |W(k) Thomas Shaw’s Travels,p a g e 2 / j .
D E S . O I S E jW S p Ê & T 'R A t y G . E R { S ; '& C .
ffiommune, & qu’elle rie paroy qujii^ tqjaû temps de la maturité
des -figues ; -Çefqtl^fprij^oe;^^®' èesmiiq oiït quelque ' influé^®«
gfui^ l'adÈd&Tè la mi.ucriqj; tVflLins cl aaiiVdait fjtupufois idiux
110m dlqs, an,Jo_>ie» unie, cet o'riîjau 6. ks gm.i_s
pareillement des^gjjfçaux,'IirffaJïàge, &agui,aiment*beaucoup -
les „figues
I I .
L E T I L ° L Y
L A G R IV E C E N D R É E E ^ -M É R J Q
fo, deffus pfecarp^, de -la ta c '
'•c en d ié jfô n té dan s ^foil tau ojqn t il -.'.igu 1 ‘£{§7 îÆ juM
K,âute à u lp ïr ;“seténd forces p e t i t e s - ^ <&
• gaffant- fous Ip, cotps, remonte ^d’unepart -jiiJtju
J jXcIuuVempnt, & fdefoend d’aptre part,( mais u î , je Lmt^
jufqu<iu bas venue, qui cfi: dt pouji urÆfflplib.-aij^li
ctojive^fes du.deïïgùs d c ^ « tmffid:;:Ia- aulfi,
mais;fflvejée de non; k s'pennes à. ks^gundes*j'otn{rturts
! ailes’-Içïïulnoirâtres & bordées .extérieurement ’do/cenUié.:', k s
|||?n!ze'pfmies-de la qutue®ijgt étage es d^noiuiros (\nrtfm. tqlk s
t^K'^ailej .mais fies tiois latciaks dî-.Vhâmey et?'* lonty Lçmujft fo.
par une niarque blanche d’autant plus grande daiijieOTt^K'qHjniiÛ
I %c) «ayons vu plus haut qifep^étoit la nou|hiiur^ ^dlî^mandorei^^d^^Pm^A q^^MKouîoit engrài^èr - pour rl^aii^dtcaibeleris“ recom-
verrons-plus Bas quelle ^^ty^^hai^,^ ^ ^ a :les jplus^-dëiïcate.
Rêdkg'd'TJtpysfi oy la \âux$mi^ ’ rôiigè‘^ ^ ^ Ç ^ ^ f ^ j ;,^iopie I,
page joJx & le Tiddus'yifçwoïfâ phtmbeus - de Klein Aviunt xxii;
Bjçnfîn la quarantième GrivT&g R) pdgt 'h88. >,