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planche 4 1 > repréfente le mâle-, & celle <JëT,,îa planche 42
la femelle^ Nous.ayonseu un mâle ffe cette çlpèce, qut eft
fcpréfènié dans notïc planche'if 2 , fig. 1. C’cft un très-Bel
.oifeaü, . car: indépendamment de l’agrément.desr couleurs L Ton
plumage eft fi parfaitement arrangé, qu’-une plume ne paffe
pas latine & qu’elles pâroiflènt duvetées, qus plutotncouvertes
partout d’une elpèee de fleur comme'on v ^ t ÊSrÂîes prunes,
ce qui leur donne un reflet, très-agréable. M-. tJjjdwards ajouté
• peu dechofe à , la defcription de cet oifeau/iquoiquil l’qjt, vu
vivant; il dit feulement qu’il- détruit beaucoup- les plantations
de ri? ;rque les Voyageurs qui font le- commèréesldés- Indes
orientales, l'appellent moineau de Java ou moineau. Indien f. que
cela paroîtroit • indiquer qu’il fc trouve auffi-bjen dans. les Indes-
qu’à fa Chine, mais qu’il croit plutôt que dans- le commercé
qui fe fait par leskEuropéens entre fa Chine,& Java géonca
apporté fouvent ces beaux oifeaux, & que céft dë-ïà qii’on les
a nommés moineaux de Java, moineaux Indiens; & enfin
què ©e qui prouve qu’ils 'font namre&«H&j>ays de4fc**GflHfey
c’eft qu’on en trouve la figure für f e papiers peints. & fonifea
étoffes chinoifes ( k ) .
Les elpèces dont nous allons parler font encore ,gjus pçtites
que les précédentes & par coiifequcnt diffeunt fi foff ;(E>notic
gros-bec par la groflèur, qu’on aurait tort de Ls,. ray
gènr^; fi 1» forme du beç, la figure du corps, & mêmejffordré
& la pofition des couleurs , nmdiquoient pas qup «||||ffé*aux-,
fans être prédfément des gros-becs, appartiennent p-néa'nrnôins
plus à ce genre qu’à aucun autre;
(k ) Edwards, Hiß. o f B ird s, flanches Æ sjlz. '4 2 .
d e s 0 1 r r a 1 y 1 M M M M E M M M M b
E E T O J J O p [ Â M - C O TJ R V I . '
L e premier de ces petites’ elpèc^. dêfgros - becs étrangère JL^
efl le toucnàrn-cour-vi dss? Philîppine^j^^qt.jyi. Bffflon. a donne
la defJription ZS®'av5c^ülie*^tfffe'^5lî^6iâfeL‘,f®u&js^^^$ ^6
r ‘gfb'MecJ desphiMppifies, d o n ü -ris^ ^ ^ ^ fâ it reprllenféf lé
’éÊâietdâi^là 2 , mt' rac dcnomP J
îtéutêsf lei
autres.apa îfejniHé;Y eft de '4â?*m^w^dlïeiïr ^m|i#
: le-.' ooûléûiS -n^'fiïnt pas fis même', clte“aVlà ‘fèïe 'l^u/V-*, »ainCç. ‘
' qae-fo defltts^^n^où^-“tandis -que le ||p | ë fâ^jatifiéT' & d '
M. âriffonr âbnhë Suffi la defcription &• la figure- du flji dé
ces oifeaux' I H »
XI I .
v b h C H E F.
1 petite 'pTOS^fecs--éttaji)3-ers. ’eft ^ f a ümçs f
Indes OT^®ev;ïègïffeMé fer planche
: laffl^oMïujtimoe DrûMë&.MssuJndes, ^ a tm û d ^æ l%ÆHtb*hs.,v
‘ ici îe îeoëSiitede la tête dW beau
iàauhÿ,*'' & qu’étant d’ur^èlpècer-cBfférentef a£' routes^s autres,
■ B ||j î $ X V , 0 'mtüld&¥j tome IMfpage 2,^2 ^flàntHà iWÇ male. î
(nr) Ces oflèàux foiit leur'riid d’une forme tout-i-fait fmgulière, d>e ir 'g ^ y ‘gj8"
m m Ê m m m m entrdafféès les uéss.,^s fa sabes.^0ùîaT:p^mt unj?,,.
E- de ,p?tf$|,dont fov^Ære-%1 placl'i i u * ÿ
r ‘HoliTOFlï .«fa-ÇuMfa»! tumV «rsfe.
PU^Stuj.e„ eft en deîçuSiVÿ de fQWt-quepht Vcàtq &tréer<îniniitf^,paxûît^o5^ ^M
to u t Ces nids font attachés par leur partie fupérieure au bout des petites branches
i des-arbres. Bri(Ton , Ornithologie, tome I I I , pages 2 3 j . & 2 j j .