H I S T O I R E N a T U r e l l e
OISEAUX E T R A N G E R S ;
Qui ont rapport au F r i QUE T.
L ’o i s e a u qu’on appelle le Paffereau fauvage en Provence,
jaous pafoît être une fimplç variété du-fidquet. Son chant {dit;
M. Guys ). ne finit point quand il commence & neft pas lé
même" que celui du moineau. Il ajoute que cet ^qifaiii- très-
feronche cache là tête entre des pierres, ïaifïànt le refte dUmorps
à découvert,, & croit par cette précaution le mettre à l'abri des
attaques. II fe nourrit {le graines à la campagne, & il y.,a, dêj
années où il eft très-rare en Provence,
Mais outre cet oifeau .& les autres variétés dè eett^efoeGe,
qui, le trouvent dans nos dimats, & que nous avons indiquées
d’après les Nomendateurs, fous fenoms d èmoineau- de mon-
Jagne, moineau à collier & moineau fou, il s’en.-trqiive «lautres»
dans des dimats éloignés.
L E P A S S E V E R T .
L e premier de ces oilèauxétrahgèrs qu’on peut rapporte?
au friquet comme variété, ou du; moins comme cjpècc .'tièsïc
voiline de la fienne, eft, celui qui eft- rfipréfenté dans la pl^nfp^
figi .2, ïpns.la dénominatifon de moineau à tête-rouge de Cayenne,
& auquel nous donnons, ici le nom de pajjè-ver.t, comme qui
diroit pajfereau vert, parce qu’il a tout le deffus dur, corps
yirdatre; mais quoiqu’il dffiêre prelqu’autant qu^ .ell poj®IIe :
du Inquet par 1« couleurs, e eft néanmoins de tous les oMèmrsL
de notre climat celui dont il approche le plus.
D E S ' O P S É Â û J iiÉ TW A
L È P A 'S^S È -B PIB V.
I l en e(I^Æjffi‘'ÿne'd* Ioifi.jj&-. icpttfeptc,duis h. pfyz qlmÊ
fig.,2-, lÿiiTuPncntuïimatiori de ‘mo0 epu[31^PMmS^éhne ^ &
auquel nous donnons ici le hom âpjpgfeplfU ,®n paffkrepyfdeu.,
parce qu’ifieft prelqupjW#^^nf'|)Ieu,^âqi|îd’6^ ^ ^ » ..4j3,pf r9cfe
plus- de, i’dfpèjBe^du ^ique^gp^^a^ffl^,môfe^d^po^e climat,
Au icfte, fi\pafli?-uii & le pJîc -Wtu» ( tant (pu-, di-ux du-lncint;
climat, de Cayenne, onp e peut .gu èrâd^pide? fi c&,fotit tleux;qjjp1è<3.â$1
diflinétes & féparées ou s’ils iont d’une feule & même elpèce.
I I L
L E S E O U D î S.
‘ U 1 N Ëlamé'èqiecefqu’on«pém'Jup'pVifr- 'uJc^ltïU’ Jriqùèt
| çelFcëïfô de ieiïeaï.: appelé àîMaraagafcar foùdiwliérttenê, auquel
je confine ici rature de ci nom M. J 3rilfon lar.iiuhqué le
premier fous îa’derioinftiatibn dè cardinal de AÎMagâfcat ( ‘ahX
il feft îèpïefenté dans ’& pldfith e f i g i j Coüsuèdifedî de
ïftoiheâü de JWüdagâfcar.
H y a deterjauffés offeàüjt ■, • dont l’un repféfênfé' 'dâifs là
planche 2 , fèlft 'M déntuMihâfferl àÈéj &iïdindl du c'àp ^
de BdTltte-efjéraftce ; & I’aütre, planché î'J f f f g v q^ffifelfeelîè
dé’ tnoihèau dil ÊUp1 de^Bxmne JéffePÊftbef ifie^paraiffinf ’être’,
premier l e êt léfëèoai la femelle, d’une variété dans
ffefpèce du fétidî; car 'ils n’en drffêrent^^’èŸf' ce' qu’ils-‘'ont lé
defîëUS dû corps noir; &. pat té éarSâèré nduS,,les',appeIfeï'oîiê■
fouc&Fi'à 'véntfe' noir y peul* les djftttlgûet fi® fôifffi qüi a ïfe