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fflâis ils choififfent’dans Ja> contrée qu’ils habitent I’aGIe qui leur
mtieüx peHtlant.j-Gétte jfeifon. Hgoureufe;: ce font
ôfdinâirerflënt les bois les plus épais , fur-tout ceux où i f ‘y a
„des fontaines chaudes & qui forit-peuplés d’arbres toujours verds,
teis qùëtpiotàs, lapins, lauriers, myrtes, cyprès, gsnevriers :fur
Icfijuels ils trouvait plus de reflburcés, fèit pour fe-mettre à
J |b l î d® frimafô, foit pour, vivre atiflï viennent j|ljquelquefoîs
fes chercher jufqufedans nos-jardins, & l’^fi>|)|pfrb%fôupçQn'ner
quë les pays bù i’on ne;voit point de merles en-hiVeR^foWtedf
i êfi a jÿg fe trouve point de tes fortes d’arbres, èt^er-fbnt^neâ’
chaudes.
Les méfies f a u te s fenbUrrifTent outre cela dmmütekifdrtes
dfe baies, de fruits, d’ihiè&es, i&TOntme fl tfcu point de pays
fi dépourvu qu’il ne préfente sèuëltju’une de ces nourritures, &
. gué d’aiileUrs Iç iiierk; eft un oilcan cjm sarcomtnütle à tbuspj£sjs*
■«ti^TO&aÿiBg^uàte-dR n nevfo
trouve au nord & au rnidr, dans le vieux & dans le nouveau
dominent, mais plus ou .moins difFérentldeç lui --mcrn^ TtJon
qü’ii a rfeçu plus ou moitls fortement fenuti'üifltçi du climat Va''
il sefi fixé.
Ceux <ÿie Ion tient en îcâgte manant attifi'-cle fa \iinde ante
ou hachée, dù pain, &c. m a « ' q ü - p e p i n y * d e
pommes de grenade font Hn poiiôn pour .eux- cq"t|jn^iqurjdçs
griyes; quoi cju’il en foit, iis aiffient ffitecortp à &
fl ne faut pas leur épargner l’eau dans les volières. Leur chair
eft un fort bon manger, & ne le cède point draine
qui dans l’ifle de Cor/ê ne font cueillies totalement que fur la âh d’avril. M. Lottinuer
croit1 que les mâles pàffént fhiver eh Ldftaine, mais que les femelles s’en éloignent j
un peu dans lés temps lés plus rudes.
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■ P cièùüfti.