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Üneyfa'tifjü'e'fort recommandée par lesOifêïeurs, c’eft dénïéver :
les* à ‘la fefaeïle à!^ é f ï% l-qu’êHë "les poi}3fc&Mde leur f
,'fubftituer • des oeufs d’ivoire, afin qUeitou» .lès oeufs püiflllî |
l | f e , en “ même ' temps, on attend’ îë- dernier ' oeuf avant1 de >
érëndïe^Iës ‘ autres à 'fa femelle S; ‘dfé^ïui^sllti ceux ' d’ivQÎïé- ’
D ’ordinaire le moment de la ponte' eft à fix 'ëuf fept’beurés
’■du matin,* on prétend que quand', elle' retarde feulement dufif^
vbeüle*,' c éft i^e^îà ‘ fé&'pfe- eft malade ; ïa ponté le faif-amli
■®ëeffiyémenf^i; il ëft donc aifé de fe fiùfir des oeufs aMÉùSe s
’ quils 'font produits. Néanmoins cette pratiqué^ qui "eft'’ plùtit *
"rdàaVe a ïa‘ commodité de'îhomme qu’à' 6ÜIe -de l’oiféaii', éft
'contraire au proc h e de la'Nature, elle fait- fubî»*!'la^èreifune '■
plus grande déperdition d é chaleur ' &f îa';fureharge 'tbut-à-Ia-Êôis
’flde cinq ou fix petits qui, venant tous jgnfanblé, ' Finquiètéfitt *
plus qu'ils ne la réjouiffent; tandis'»qu’en fes Vôjârit''.é4prei*fuo- i
-celEvètoent les'uns'aprèf Fes^aütres, fés- pÿfirsTefmâÊpiiënt J
"& foutiennent fes forces. & Ibh cornage'-: auffi des ©ifeleiés.trè^
'Stftélf^êns m’ont aflùré qu’en notant pas les-oeüfs- à ’J a ’femef r îj
& Ies'laiftànt édore fuccéffi veinent', ils avoient .toujours mieux i
réutfique par çætfë m^Sufion dés oeufinfivoirë.
-ne manqueraient pas de les jeter elles-mêmes hors du nid au lieu de les couver; &' :
lorfque le nid eft trop profond pour qu’elles puiflênt les faire couler à terre, elles ne
ceflëptde les becqueter jufqu a ce qu’ils foient caffés, ce qui gâte les autres oeufs &
fouvent infecte le nid & fut avorter la couvée entière, les femelle d’autres couleurs " J
couvent les oeufs clairs qu’on leur donne. iVbre du Révérend P . Bougot.
“ ( c) La ponte le fait toujours à la même heure, fi la femelle eft dans’ le-même
elat-de lânté ; cependant il faut faire une 'exception pour le dernier oeuf, qui eft ]
ordinairement retardé de quelques heures & quelquefois d’un jour. Ce dernier oeuf
eft conflamment plus petit que les autres, & l’on m’a aflùré que le petit qui provient j
de ce dernier oeuf eft toujours on mâle t il fe o it bon de conftater ce fait fingulier.
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aéf érgt«iié0Jps ,piâ'ti<[l?tS ' $K0]3,
PrcfeheicLcc.s LVd pé.lüupt.li-wnmb
defepnn^^éd#twtion de ces oifeaux, font plus nuiGMt -, un iuilé^p|
il faut autant qui] ©ans
leun -pays ^ ta l^ Ie s fermai fe|fâefflWent-^fMr^ies^bc^as ^ ^iî|ia8tits
.EpHlcturv tiinsrL VJrKTirftl * >.
JesîljtyiJfirÀWqtj^-tfem^- t n i t ^ p c H j ^ h y d f ' d î a i g i r SW
pomjnc^l') fpnt > dipij^Iijfuÿiftit s^dyusÆ il liur h s®
mettre à l’abri de la rigueur de l’hiver; il paraît même qu étant
déjà afTez anciennemt nt naturalifés en France, ils fe font habitués
au^à^dè?j£ptre .paVs, < b " ijgjyÎBt,
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I I e1 11j g1 tjfômHË| cmptdur
dé ;fiwii^^^afey®^inoîs pjftfieurs ©pfeléurs qai^ é
que lle s traitaçtîainfi apvsg. perd moins ^fe'^üaud
dnhg des-cbambres. échauffées par,fey'feU,.J â iaa^tft de,%iêmé,(k
In.InâTimtnBé.. °n pourroït da-jjjgndds .jbhjçs- Jàmple ^fjpgùtrééevils ,
n e ^ ^ n ' ^ ^ t e i i p i e n t ^ q u e 'mi e u x a t t e n t i o n qui^paroît
" ‘iW l|T ^n fefmfjfle Caharte laulmjaii.iorl ‘feAm â tm . t< iBru 'Vim. îr zftpwc. j
i ' defoenaântfm ^ pr^^itaËPm -
- Voyages, tome I I , page 241.
(c) J’ai fouvent éprouvé par moi-même & par d'autre s qui fe piquoient de fuivre
à y u-gWip. i»i?8r&fi&t«jf leur oetpiilfue*! fes
foùveirt le trop de foins & d'attentions fait péril- ces oifeaux^ îmé^nourfituïës^^^H
, 1 Sfe'naVettq &&é en'1Ii^^',!
par jour en été; du fêneçon, Iorfqu’il en eft, une fois le mois !„ â tf^ ù gm ,idauafe~';
I ||ita s ^ ^ r l& e ; t a f e u w ® é , d^felfe|ne (battùe Ktl^i ' , ( d
fur^^p plie;grande propreté, c’e ftà q^® jé ’me réduis depuis la fiiuli ijp /n «C j
L ^ V ^ y fu tc é c^ I tç 'jm d't antre . Paît Traite de h m ie» des ( ” an , <m rtun.fixé ;
\'P ar avv* ; Avocat à Dijon.
Je croissquil p^uÿoit y w r o Î M c i ' t o u s l'\ Oiïeit-ufjfqti»
l'ai-pconfultés m’ont dit- ^fi| falloit'bien Ye garder de doruiEr.ausc f e r in s jd ^ ^ ^ n i1^
Tome IV,