far la partie kfêrieùrë dù corps'ieuïement; il paraît que c eft une
variété de climat,- dans l aquelle ni b ,mâie ni la.femelle n’ont d e ,
TnarfjM)» rmipe an-deflbûs des ÿeux, & cela explique pourquoi les
cordons Hèus font fi.communs. Au refte, celui-ci eft un oifeau
fort vif. M.' Edwards remarque rque fon beoI eft fembîable à
celui du ’chardonneret; il ne dit rien de £on chant n’ayant , pas
çii.o&eafilp^dè Fentendre. 1 -
Le bengali eft de la groflèur du fizerin, ng longueur totale
eft de quatre pouces, neuf lignes ; don bec .de quatre lignes, dq
queue.de deux pouces, die eft étagée & compofée de douze
pâmes; ie vol eft de fix à fept pouces.
L E B E N G A L I BRUN^ 1
L e bnm’eft enîeffet îa ^ nlemt.'dominantddeiceïdf^u ;* rflais il
eftælt^oi^e'fous le jf entre, mêléàiFencfi'^^f^ipomine, de
HÉnchâtre dans quelques individus. & dé rot'ge®#Mati^^^r^
’’"Tous-fe -.mâles -ont’, quelque&uties des côîweàtTOs'^êHg(ira%és -
‘ aj&s’temniiiéés/par’un'tpélint blanc > ce‘qui prddurt|une snouchetùre
fort’apparente, mais elle eft'fpropre jau mâle; car dît femelle eft
d’un brun uniforme ,& Lns .taches : tous deuxoïit Is&jsràpgèâfiFfe
&.les pieds d’un jaune-dair.
• Le b e n g d i ^ ^ ^ W ^ l } % î® ? ï® à l f '|^ l s /ae.làétailfd
Wluirc/itd'et : fa loiuHiuir n /ta Id ,eftf|d ^ ^ si!p'ouces trois quarts,
fom b ,ècÿe quatre' lignés,’ 'fomlÿèï d’en vfrdh^fisci p ouces.& ^m i,
& là queüèqdüün bon pouce.-
gurnire & peâore fordidè albido m lttij'refl’tc ijlis alpfwn fllptriorlSui ,
îiWsA ^ ltm: ;
totife^Æ; v âge 2. o,
'Ôç Yapple’attE bengali ItMrt-pm; , b e i;g S pÈ^èem iiat, (fit'1" t