fk. fes ailes, qui font courte, dépaflènt fort peu forigine de
la queue,
X X V I I I .
L E M E R L E H U P P É
D U C A P D E B O N N E - E S P É R A f f C E ( f ) .
L A Buppe de cet oifèau (planche j 6$, fig. i Ljaefl: p'oint
une Huppe permanente, mais .ce font des plumes longues &
étroites qui dans les momens de parfaite tranquillité fè touchent
naturellement lûr le fcanmet de la tête, & quç| I'oifeauphériflè
quand il veut. La couleur de fcette huppe, du refte dejia tête^
& de la gorge, eft un Beau noir avec des reflets Ipoiêfs-; le
devant du cou & la poitrine ont les mêmes reflets fur un "fond
hrifflv Cette dernière couleur Brune domine, fur toikjfe JJdTus
du corps & s'étend fur le cou, fur les. cou^Éuç^ï'dés ailes*,
~lur une' panlc des peuue» iqf inc foiis
où die forme une efjpèce de largp cdnùtrg aurTfoffk . « p i l y
du ventre; mais dans tous ces endroits elle G S ^m ^ e p u iu n e '1
couleur Blanchâtre qui Borde & defline le contour ^ eMiacruë. J
plume à peu-près comme dans le mesje à plaftron Blanc. .Celui
de cet article aies couvertuics mfunuics de la quelle •fouies'.
les fùpérieures Blanches, le Bas-ventre de cette dernière cSileùiq “
enfin le Bec & les pieds noirs : les angles de Fou ver turc du V
font accompagnés de longues BarBes noires dirigées en avant :
ce merle neft guère plus gros que Falouette huppée. II a 11 -
Cf) *11111 k vingt-troijîème grive de M. Brillon qüîj’a décrite le premier. Cetpijfèaû$
a environ 8 pouces de la pointe du bec jufqu’aubput de'jaqueue* 6£|ufqp,au bout
des ondes; la queue a j pouces\, le bec i z lignes, le pied autant, le du
raiiiéu 9 lignes. Voyez f Ornithologie , tome II, page 2.57^.
pouces de vol,* f e H,ajIe^â|®peur
'mÊKmStilt pasgjyïfqnê^^^ gue^SièuS|p'ëH®| les®
l^us^aÀrÿe«Mna™EinliiuinLÿ^.>U cm^gueinq,, oc lia premîèjré
'©fc.hi plus >cfcW ^ ‘dl. jtoute%W?
*x Ml x«, ~
L E M M R L E ÉT A \ s
/ J e ïâxffè celÿÆquipftmi Icj> mpijcvoù.AB Buflon 1 <r placé
fâiisietfei'I)Rn fuî^qull afflkutnnnc JuraBAipc ^plutôt’ <iu à; un
•aütij; >©cjbiAqïip^I'ej pionu r noûs I iïfin^Imiroi^^jTuîs~ dit
qu’on le*met *nt'--ran^
Ion chant ; non -Jeulèmoj't lil .clïaiiU fcsiamouis ^àrtpiirft'iri['p'
mais .ihiid evi mIois fa fl»npri&& »lîuU.
iO^u^Irauo^h.rriière. 1 einai.quaBIo. Il a t< ait.le
fdi^^Ænuoùgeàtie, li <fiu lic S. lesrafe*^
^ d l0 ;^ ÿ ^ titA a rq il^ ^ ^ iid é i tac lie jaune; tout le deffous du !
®$SPS pa^decette:«cfcffiiëre cofflew,*mâisde dSffbùs' ‘dés-'petayïSg
de-la qOpSe efl.poré. i 3es pennes font.'au^numlirc ‘dc;jflgt£u.- &■n
' réguüèrêmenta#^g'ée&-‘
X X X .
L E M E R L E D E L ’i s k g D E ^ O U R B O m M .
'LAçgMferiri de ce pè%spifeâu?eftà®^Æ^§^^feÆai^^t9
feppée; il a R{gpuce|fjKde Icÿigüèito totale, 6c
foni Bec. a lignes, fon tarit,, & fesmiïesManf
Y g ) ^Wéf| ^ A.petit oileku. YAviatla, xAinhmttênJ& j >(
- canora J- de Sébà rpm e I , page jj$p ; 8c. la' j fagièmé « w de M. Briflon, tome I I , :7\
wxième, grive de M. Briflon, qui 'le pr@aier
envoyé par M. de la Nux.
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