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L E S B E N G A L I S
E T L E S S É N É L A L I S , i f c y - t y . '
rj_>, ©iUSies Voyageurs, & d’après eux les Naturalises., s’accordent
à dire que ces- petits oifeaux font JujetsÀj changer .g^couIexuT-
dans la pme, quelques-uns même ajoutent des détails ;qu’il Ferait
i -dbuBaiter qui fuffent vérifiés;. qüè ces .variations de. plumage
roulent exciufivement entre cinq couleurs principales, le noir, le
Heu, le vert, le jaune &. le rouge; que les-bengalis n’en prennent
jamais1 plus d’une à la fois ($j),„&c. Cependant les perfonnes qui
ont été à portée -d’oLferv^ cces: oifeaux en France, - -& ^d^Jfs.
fiiivre pendant plufieurs-années, aflùrent qu’ils n’ont qu3pi|ëj|jsdte
mue par an, & qu% .ne.changent point dérouleur A,). Cette
ccwripéBâièn apparente pfcut ’.s’expliquer p*r la différence gj(§s
ri^nats. Cdlui de BAfie *&• de T Afrique ,P-’dù. les bengalis & les'
fénégalis fe trouvent naturellement, a«,beaucoup plus d’energjp
que le nôtre, & il eftpoÏÏiblé-qu’il aitrunè influence plus n^çrpjéé.
fiir leur plumage. Bailleurs des ^Bengalis ne font pas les feuls
çâfoux qui éprouvent cette influence; car, félon Méroiïa,. les-
moineaux .d’Afrique deviennent rouges dans la fkifon des pluies;
après quoi 3s reprennent leur couleur; & plüfieurs autres’’pifeâjrx
WË Qn a. auffi donné à quelques-uns Je nom de moineaux -du Sénégal.
■ jp g Hiflofre ^générale des Voyages, tome IV , page ‘3 j- j.. . ;
fc) M. Mauduit, connu par ion goût éclairé pour l’Hiûoire Naturelle, & par
fon beau cabinet d’oifeaux, a obfervé un fénégali rouge <jui a vécu plus d?un | | g
: & s -changer de plumage. Le fieur Château -affilie Ja même chofe de -tous les bengalis ■
qui lui ont pafle par les mains.
D E S r B e Hjc d h Z-H’! $**<>■ 1
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