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fi doits & même ifi dociles. Us vivent s i paix les uns ayee’lés;, ,
autres: ils fc recherchent, fe donne® dés «Barques d-ÿaiÉjé eù
tonte £rifon,:<& n ’eaut guère de querelles que peut la noumtar-e.
Us font moins pacifiques à l ’égardIdéà autres espèces-; ils battent,
les fcrioes & les linottes, mais ils font battus -à four tout par les
mé&agBSi Ils tînt le finguüer mfthâ, de voïfoir toujours fe
coucher au plus liant de la volière, & l’on font -bien - que c’ell
tare oecafioii de rixe foulque d’autres oifeaux ne yeul^ït« point
leur céder la place.
A l’égard,de la docilité du chardonneret, efie élï connue5
on lui apprend, làns beaucoup de peine , à .exéoujter divers
mouvements avec précifion, à 'fine fc mort , à mettre le fèu: ,à
un pétard, à tirer de petits feaux qui contiennent fon boire &
fon manger; mais pour l à apprendre ce dernier exercice, il
faut lavoir 1 h’abiller. Son habillement Confilte dans une petite
bande de cuir doux dp df" r ^*orM°c ^ - f " ' ”
trous, par lefquds on fait palier les ailes & les pieds, &'-3oqt;
les deux bouts, fc rejoignant fous le ventre, font maintenus- jwr
un anneau auquel s’attache la chaîne d&, pêathigâforien, Dans
la foiitude où il fe trouve, â pend plaifir â fe-regarder dans
le miroir de là galère, croyant voir, un autre -oifeau de fott
dpèce; & ce befoin de fociété paraît. chez lui aller de front
avec ceux de première néoeffité : on le voit fouvent: ; prendre
fon chenevis grain à grain & l’aller manger au miroir r croyant
fans doute le manger en compagnie.
Pour réuflïr dans l’éducation des chardonnerets, il faut les
féparer & les élever foui à foui, ou tout au plus avec la femelle
qu’on deftine à chacun.
Madame Daubenton la jeune, ayant élevé une nichée ■
îiÉttfcre, leS^^uu^'tÉatdoMÀerets ii^è^féfilàmHïer-lique jtrlqua
un cefldin âge, & ils dont devenus avei ’ de irèrîips^)nîli]Ticïia'üTlP
iâavâgeS qu&-ceux etfl’ élevés’i eh ^Sèfife.
les père & mère^ cela dit dans là .-Mâture, ïlaîifôîauo di. Ihommï'
nepË#^être:, néftjen effeï‘<qd^fetepti^èT^<S*îSs^ùhxnt,'iÿ:
renoncer dès qilæ|' trouvent une'autre ^^ilreS^ûi.' l ^ r -/cc)hVrënt
davantage; mais i< fù([' pofltt 4i fo lelJjfiiJ^îr^c’iilt-nt i'ele
l’éducatïon Communi ; tes otlcaux iiètôütüffliés mb'ler
prennent tin attachement retqS'dqufe lès poTy*- lès &
forlqu’ôn les fépaïe pour leS apparier ' avec 1 uite^oeMffle lcanari,
ils font mal <1^ fonctions’ qiâ’din êi^gd'sdfêlffipiàyâMü le ^ r f t "
dans fo^cceur^iS: il, ""finifienr- oiclnuliicmeul pn’rt'flftluïir t*cEîl
d U Q
’automne, les chardonneret È&mmencent à Îèîîj^^teder^’
otrSfSf ‘prëncl ‘ BêaüBoüp'“ e^’'^cëtt^'lalTôn*pamPîS: WfëîulH dé'
pâfkl^r. ipn r,Aniai<> ni alwiS ïv» pu , 1 ,u! "vidî it't ;rntûK lie
les précipite dans tous -les qùégesy mais rpiar foite^^^b o n h é s
chattes ,2* faut avolrmn mâle qui foit bien en train' deGffiHpP
Ali relie, ils aWaife' la p ^ e> " 'ék
échâpper'à l>diretu-~dè-!projg ea_Te re fù ^Æ ^ ^M è s 'bumifll|
Lluvel ils sont par tioUpcs frathîc&nbuui!s, Sirpâîdt tjùt’
peut en tuer fept ou Wi-duri'lèm!;q3u p ^ ‘lfiri^: ik ^ ^ n d h e n t
des grands chemins, à portée des lifcùxtioù cftiiffent’M cffeiilo®^*
■jf ' chicorée llitvag%:{‘iïç'faVènf foit'bien <n éplu'clief la g u îm S
ainfi que; îçs nids ®ÆçnilJ^, en faifant tomber la ïïüjp?:
’ (r j Dé Cïïiq èRardbrîfierets élevés enrerfàfele dâns îà ^6Çèr^ dè:-Mâdànîè*:Üà|^^QfflS
là |eu n è , & âppariés'àvèc dë$‘fermes, trois n’oflt ii é î ,fhit du* tout: les dêiix4û t r S
o n t f ^ i n e ^ u M ^ | ! î 4 o0P^ îls ont taflé fes
; xbèufs & lont morts BSèfitèï après»