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fenêtresdont“ î é s ^ m a ^ font défendus par'des perfiennesa| >r
claire-voie néanmoins il jffiÆiua quelques-uns. qu^ fqnt leur ïïkf J
fer les 'arhrhs l’on, m’a apporté'de ees. nids de moineaux pris
furtde grâhds. neÿers ,& fer'des fautes très-élevés; ils'les placent
au-fommet dç ces arbres & les conflruifent avec’ les memes
matériaux, ,c’eft-à-dire,. aven du foin, en HèHé)rst&-d£-3â plumé
en. dedans ; màist,ce qu’il p-a d e fingulier. c’eft quils y ’ajouteS^-
.une efpèce debcaïotte par - demis, qui cou-VJel^ nid, en foke ■
que l’eau <fç la pluietj§^ peut y pénétrer, & fls læflent-ugié
ouverture pour entrer au -deSeuS. de .cette calotte, ' tandis que
IjpanÆ 3s établiflènt leur nid dans -des. .trous ou dans; désbfieîix
couverts r ..Hs'fe difpenfent avec raifon de faire cette calotte qi^
devient inutile puifqu’il eft â couvert, Eunltinét le manifeltê
donc ici .par un lèntimentprefque raifohné § qui feppofë au
jnoins la comparaifon de deux petites idçés. Il
des .moineaux plus .^ t3 feûx,^S3fîSr^^neTeîrfps^üs"Ii5ldis
-les autres, qui ne'Ie donnent pas la peiiîe^de conlïruirê .ini
qriidéhqui chaflènt du leur les hirondelles à cul blanc;'ÿffdqiicfwft
ils battent les pqjqons, les font forth de fleur.-boulin & ~s!y
établiflènt à leur.place; il^y-a ' comme l’on voitq dans ce" petit
fpeuple dhrerfité dje moeurs & par ctmlequent. un inflinét plus
varié, plus perfectionné que dans la plupart \Ies^aufrêss®ïfet\jx, ••
& cela vient lais doute de ce qulils fréquentent laffoKeté ;,ils., font,
à démi-domeftiques feus être aflùjettis ni moins indepèndans; ils
en tirent, tout ce qui leur , convient làns y rien' .'mettre ' du lèûr;
& ils y. acquièrent cette fineflè, cette drconlpeéliqn, èette-per-
fe&iqn d’inltméi qüi le marque par la variété de leurs'Eâbitùdes '
.revives aux foliations, aux temps & aux autres cffcdnftânçes. • “
OISEAUX ÉTRANGERS,
Q u t ontfftwgÔf'E au M o i N E 4 Ù,.
fla ^làpekè fz 2^ î > foüs la
•Jd®îc3Jflination de d i F auque|.nous*''ne'
donnerons" pa|1.cfaûîtré'‘iidjn") ' garce • qu7ili notfs^p^y^treHfe'la"
même efpèèeApie-’nètre moineau d’Europe | | |p t pfiro'diffère
?'vfuê?i?p'ar la Couleur fonfmet1 d e ^ tê f f ^ ^ lé s pàrtje#’i
i)^fêriê&les'3urcbrps‘qi^l'àlii0^^àtt^,'’raiiQisyque dans fe.!moineau
d’Eüropeldefbeeseft Èrufif,'lef^ommet de la.tèté“ &■ les" parties-
•inférièuçes! d u Vorps Ifontigrife»; mais; eonïftiefla. gpndeür*;. la
ff?feG",bîîù,pôfeiâJn''ldu coq|s, td ù ^ e ef|ae -la queue, des- piéds ;
.toïiéle iefle-en un mM nous’a pimrfiinbLbk , ii< m ne partons
doutèr-^^Mentité ■ de- l’efpèëeiÿe^eèt oifeàu .dibSêpégal
£ ® ec^n'otrè'ïmofeeau- '<& Europe, & rious-^gatdons Ia?.dÆrènce
' ^ . go^ uvcbînm®unevariéteEroduite ^a^'fiififluenjsedu climat:
L’oifeaudbiijne mâle & la reriteHefojitr repréferités, fig. 1
ffî , ne nous paibtt^êxrgjqu une;Àatiéî:e ‘
‘de Çebù-ci. , 1
I I.
I Lj^rtÿgft.de.naême de l’oifeaur rè]préfente.-dâhs \a.'j>l..i8y*.
I fig, 2 , fousda,;dénrtmination de moineau à bec rouge du:Sémgak-
auquel nous;ne.donnerons pas diautre nom,.parce qu’il ne."
l'.nous pàîtût être qu’une variété peut|.|trte^|âge ou de fexe'du'l
précédent, d’autantÿ'qu’il. elt^q, même Himat ; ainfx. ces. deux