H i S W Q I R mm E J S l - A T 'P r e l l e
: *ver|lV des rapports établis par eïïe entre ces 3eux elpec&^que
leur mélange réulEt mieux m e ceîui de l’une des deux, avec toute’
autr^,ÆfafiGe, voifine; «5c. ce qui annonce ,|ncore une plus grande
agalogie^ Jes individusqui réfultqntde ce mélange, font féconds Çb\
iqdqu’on a eu foin de former la première, union entee.
le linot mâle & la femdîe Æànari. ,t
J] eft peu d ’oifèaux auffi,cqnununS'que la linotte,planqhe /j.8$$.-
f c l» ■&ppmçhe r ji+ J îg - i , mais fi en peut-être encore
moins qui réunifient autant de qualités; ramage agréaMe, ’cQüîe®s
diftinguées, naturel docile & fùfoej|ti|)Ie d’attachement, toufcjtii
a été donnée tput ce qui peut attirer; Faitentipnjde fhommefeÉg.,
contribuer à lès plaifirs: il étok difficile ayec-ceïa, que çet oifèau
confèrvât là liberté; mais fi étoit gÈiçore, plus difficile qu’au feih,
de la lêrvitudë où nous l’avons-réduit, fi cbn^f^/fes'âvan^ges
naturels dans toute leur pureté. En effet, la belle couleur rougi^'-
dont la Nature a décoré là tête & fa,poitrine, & qui-, .dan&i’état
de liberté, briffe d’un éclat durable, s'efface par dëgrés (Xs^ifiV
bientôt dans nos cages & nos volières.. Il en refteàîp|gne.quelques
velues obfcurs après la première mue
A l'égard de fon chant nousle dénaftirons, ■ nous,fubflituons ,
Cette Obfervation ma été donnée par M. Daubenton J e jeune. M. Frifch-
I aflùre qu’en appariant un linot de yjgnes avec ung; femelle canari Mandje;, aeGoutuÿiéé'. :
! à fortir tous les jours, & à revenir au gîte, celle-ci- fera fonM p& fa p ô k e dans un
Lui flou voilin, & que, ipi^üeiès petits feront éclos, elle les rapportera à la fenêtre
dé la maifon. B ajoute que ces mulets auroiit le .^uma^e^Bjkic dé la mère, & les
’ marques rouges du père, .principalement fur la tête.
6L L e rouge âë h tête fe change en un roux-brun varié de noirâtre, & celui ’.de
la j^itrîne fe change à peu-près de même; mais la teinte Hes nouvelles couleurs eft
moins rembrunie. Un Amateur -m’à-aflliré qu’ils voit -élevé de ces -linottes qui avoient
gardé leur rouge, ceft un*faîtrunique juiqua préfent»
aux m ô d u la tip rL s 'l^ p 'r ^ ^ ^ P l^ lu i émirent le'î^&temps
 dgùt^mSpppKrq.»quil n}et
^fee^cWmraf,ü.teipênt, tO'UM
de l’àrtT&ifle'Hiarme Heda Nature. .©lîm^'arvaiu auiïi a fiiiP
a p p r e ^ ^ à d e r ’& e u ■>
ip|ilfâIiehs,.(M- F p â r i ' f - J ;
^Cxprè le\oyag^ledlonJres à Ki nfîugton i
d’tntchdroda^lWtü cL’un Adltfiibj^èlqui^ieuh
B 0 f c’étdit 'tout fofa«rf$dge, Vri^ . ^ ‘
qu'âyàut^été, 'èifféyée du nidjdéüx-bû
c cIolè^tîl^’a Æ î t ^ ^ ^ i c)^nps d tc ()tff^ l^ ^ n jlc* c iRÆ u
kt&lfe's'ptrV1,t^5uèrp,’ éc que, î^ns^j^lïiîm^jfeifScoîflrçp’nï^n^
à donner idÉïalteuiioa-aux fons,( les \ ~
fürenfe apparemment lés^fëuls ^
Lqujêlie appnt’-.i imiter • fait ^^^inq^'iuÇieuu,
D io. Prie Dieu, prie IJnh'piAWjm
J w | TP nintovaie'.étë.ajCTCJ'i
éclos, ayant été mis près (d'une fenêtre donnant fur un jardin où frequentoient des
roitelets, chanloit exa<lement la chanfon du roitelet, & pas une feule note de celle
du
Un moine u mlevé du nid ûles commençoient à être forme-! s, ayant
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Xfcch.‘‘^ i tJ‘'^ 8 ^ > 11 ‘W 1 " I t f M . du roflignol, & le refte de fon î-amage ne reflèmbloit à rien.
Enfin M. Harrington ajoute.f ue les ferins du Tirol. à en juger par leur ramage,
defeendent d’.un père commun, qui avoit appris à chanter d’un roffignoi, comme