ëncore jujet à ■une^ettainé"extinâion de’ voixiffetbut af>rès* îa
mue ; on guérit- cette elpèce d’afthme en lui donnant .de la
graine de plantain & du’Lfemt'mp trempé dans d e .ton vin’
blanc, &„qn’ fait ceflèr fcctméi ioï iVoix Un lui fourniiïànt
de bonnes nourritures-, comme du jaune doeuf haché“’avèctdeÿa
mie de pain, & pour boiflbn- de la tilàne de régi® j ceft-à-dird
de Feau où Ion en fera tremper.
L e ferinsrant quelquefois urièT elpèce' a ë ^chancre qvfo>|eur
vient dans le bec;, cette maladie provient des mêmes' caüfes quê
ceBë de l’avalure, les nourritures-trop abondantes orî^ËimiibjP-
tantiefles que-nous Icur'fourniflbns, produifent une inflammation
quinfe.portea la gorge & au palais, au lieu.de||bmberf!fur les
inteftins; auflî guéritran cette elpèce de chancrfe dëmrne.iïaykluFe'
par la diète i& par des rafîaîchiJlàns.- O n leur-donne,de îa graine
de laitue & on met dans leur eau quelques femenc<K..d%,®|^J| d
concaflees ( i ) .
Les mittes & la gale dont ces; petits oifèaux font -fquvent
infeétés, né leur viennent ordinairement la malpropreté
dans laquelle on les tient; il faut avoir foin dédess'bièn^neit^^
de leur donner de l’eau pour le baigner 4 nc'^jâmais Jes
mettre dans des cages ou des cabanes de vkux
bois, ne les couvrir qu’avec des étoiles neuves &.propres où ‘
les teignes n’aient point travaillé ; bien vaner, bien laver les
graines & les herbes qu’on leur fournit. On four^^^ofeipeôts
foins fi l’on veut qu’ils foient propres & fains ; ils le feroient
s’ils avoient leur liberté, mais captifs & fouvent mal foignés, ils
font comme tous les prifonniers fujets aux maux de la misère.
De tous ceux que nous venons d’expofer, aucun ne paraît donc