vaftes campagnes :;©n ;a même remarqué quai y ; en a plus .dans
jte'vilfai.què dans les villages, & qu’oit.n’en voit point dansdes.
hameaux & dans les fermes qui ; font au milieu des forêts : ils-
fiiiventj la fodSétë pour'vivre ài fes dépens ^ cxmamê. ite€©ftt;
parefleux &~gQurmandsf, c’eft lùr des provifiojjstontes : faites,-
lùr le bien, d autrui, qu’fis ..prennent deïHj-lùbfiftanee;
nos granges & nos grenier^, pos bafe.-po.urs & nos colombiers/
rjWafsles--fieux,.entû®mot, xôù' nous raffemblons ou diflribubtfô*
des-.grains, font les lieux quils fréquentent d è/ prêfërenÇei;. &-
comme' ils font auffi voraces que nombreux, 3s ne ïaiflènt pas
de faire plus de tort que leur'elpèce ne vaut, car leur.plume
n e ;foij: à rien-, leur chair.n’eft pas: bonne à manger,.leur-voix,
bielle l’oreille, leur familiarité eft incommode, leur..pétuWce
„•grpffière eû à charge-; ce font de ces gens que l’on .'trouve
pantout &'dont-on n’a que"Élire, fi propres adonne r d g l’hunfour. -
-;\qjl£;dàas certains Tendroits-on- les a frappés jjjg p è!agrq»rionj|e a
mettant à prix leur vie (gJ.
. Et-c e .qui t e r a i f e éternellement incommodes, ctftr'riou.-
feulement leur très-nombreufe multiplication ,• mais. encore leur
défiance, leur fineflè, leurs rufes &, leur opiniâtreté, à .n e pas
défemparer les lieux qui leur conviennent ; ils .font fins, peu
craintifs, difficiles à tromper ; ils reconnoiflent aifément t e pièges .
qu’on leur tend, ils impatientent ceux qui veulent fe.donner la
peine de-les prendre; il faut pour cela tendre un filet d’avance
& attendre plufieurs heures, fouvent en vain ; & il n’y a; guère
. que dans. Jes faifons. de difette & dans les temps de neige où
cette chafle puifle avoir du fuccès, ce qui néanmoins ne peut
( g ) En Allemagne, dans beaucoup de -villages, qn oblige les Payfans à apporter ^
chaque année un certain nombre- de têtes de moineaUi Eriïcb, tome J ., art. y .
m u re, upt ‘dimmutii ro'tfuiftl'k fui^fflt^ff^feeiqtii fo' mùfiîfte
* ti.01 S'Maii mdke s & dà'j
plumes en dedans; fi^u-. k £d(kLiüLv.,' huj^ ^ i
|T j LUdomj^Rucu ^■vcaôXjctt^liui'tb.îffsvqùèteity' mmt^
némpn^'l^^brade-g2î ] i e ( lÿjjfii J
'. huit, on dx*- jouïsîÿpiv&J s\ei^ >u;\ ‘u*
tnc^ .iju îlei ut-. jun!fu7(^niR uk \
»dansiydi greniers;; '1 fàm&fci&u 'BlUJa’ifeS&yj ^ d e jaÆ ^W w !
pra]i.feiifeMifrmiifM S ^ ^^Ëioin&aux.-dê?^ ^ n g s q i# ^^^iegl-' ■
v,||jMé mfem.on^ affiné H ^ üüi ,
B p ^ Ç it^ c li de|uéJdthmqffl^3yU^x h I
li^u-ill ÿiqilruilau ^ ylullK'*a ?
.^ g e , é irq n ^ e.nutmLgent ,qw/mêmes-iui af^jjgr jute qu.mnu,
H M B ipçipalé^pour^à|^ éftIinqfrê mtalli tjr. iM'ip
Laboureur dahslfo temps des femulks, (o^ J
<telui deda îécoTte; leg/fiatteurs-dansai s^ graBgçjj y la^nmîqt, ]
j( t t e d c ^ g m i a - d . f i s H u l k ^ tM k ^ t jH ù u h u i t n i CQS*te
‘^ydqffibjers. ^ jùfque/dâns'.lç i j J j t k j b
p e r c en t p p ù r - d f e j i r e r , ^ m a n g e n t a m f i n n < d , &
p | r-,:,;;'i: prifadriro ks feuL iiiJpSék j
lufrfêV, enfin ils^fo%fi maI-lajkins^*t*6toominiid(. ,, qu if
; y à ^ J q n ç r q u W ' t i o u v S l que Iq ue m o y t n cm -lestod^trjuire. I ^ | î
-m ÿ v e it> 'dT u ic q u ’tai, faifant iîim c r d i j
allf'mblent enteêttajncs faikms & s’endurmuit lL'J(mjvWDigS|
fumée les Juffoqunoit & lca> firoit tomlier; j’en ai lut L^|.Uin“a
Éû»jfuccès^& cependant je i’avois faite ave^préqaution & m|m(âj|
L"ki/^mtéfêty parce ;'c[u& l’on- nfe\pOT^{Ieur faire quit^et
voifinage de mes volières, & que non-feulement jlsteoubloant'
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