dans les favanq§,.des contrées onril y,û beaucoup c J e b o S '^ ; il
fe perche, fur les plus hautes branches, & c’eft de-là' qui? fait'
? «ptendre Il niche fouvâàtfuï'lpsïéhéniers^Sfes, çeufs font
tachetés deîhrun. Il vit de*ceEtfcs ywde baies d’aubépine & de
; cornouiiïer & même d’infedes ; fa chair pallè pcsarW^yt hop ■
manger. II n eft pas facile de L’élever, en cage, cependant orSen „
vient à bout lorfqu’on fait s’y prendre, & l’orï, jouit une partie
de l’année de l’agrément déifon ramage; 'mas.iijlut pcfür cela
k conformer à Lès goûts, à Ton inftinâ, à,fes befdihs ; â faut à
' JfoVco -Je ions. traitemens Lui feire oublier foii efclavage ou plutôt
la liberté. Au demeurant, c’ell un oifèau allez familier, qui
femble aimer l’homme, ^approche ’des Mbitafiôns & vienrfe
percher. ju6|u e :lkr les ohèminées.
Cdui qu’a ouvert M. Sloàne avoit/Ie ventricule peu riûfcu-
leux, iè fôfc* blanchâtre. & les intellins roulés &. rejrjiés en un
" grand nombre de circonvdlùtions. •