u&ger très, frequent dans'.ea.fujêt, '& -cte ne deligner les autres
parties que' par des Lçttre'3, des. Marques -, '. ou des Nombres
qui. leur. fuff<eqt' tpû joins ajfcijftés, & qui leuç pufftnt :tenir lieu
de Noms, :'[Et comme: il jauroitl éférencorè fouvent trèsidifÇci-
le ■ -de •: crqoKSr ices: diièrënsfCar aétères cdans d eè Egarés$ où iloyj
en a tant , j ’ai eu retours à des Lignes idéales, indiquéespref-
que .toutes.:par , la’ Nature, :& expliquées-dans Je Chap. II.-,' uü
roqyeii de^uelles >: quand j oSnnfe le® fera rendu.' tant-foit peu familières,
1 cm .pourra trcmvEE :a Jiriftant: le' IpOÎHt: dont iLs’agit,
CE.m’éft pas toutî pour rcnctee plus.reconnoiffables,au premier.,
xoup.d’ioeuiL, les principaux, objets quje .me®'Planches repré-:
lèntent-pj’aii taché d’y caradlèr^ettceÿtd>jtt®ÿpar'4a façon don«
ils'\y''pnb;'ééè grêtttoA. M ; '«rc iru w»\ «srliïï 9:
C’ e s t ainfi que j’y ai employé un pointillage^prefquè imperceptible,
pour puaricenlaigraiffe; parce que tes-petits lobes,qui
en côittpofent tes anffâchtolteésy font: Unis-, - -d’une fubftance
qui n’Offre .tien, d’ofgadifêi oiip luon
: J’a i bien aulii nuancé: de' même les -ganglions, les parties
membraneufes, & la peàü,. dansdes endroits où fa couleur eft
claire ; mais cela ne iauroit les faire confondre avec la graille,
}mrce quelles ii’ont point d’anfractuofitês, . ■
ü T’at tracé les mulcles de bachures longitudinales toutes parallèles^
parceque les, fibres des mufclesfont ainfi difpofèes.
•, J’a i .arrondi les bronches par des traits courbes transverfaux ;
parce que le fit roide, tourné-en helice, qui concourt à former
leur tunique intérieure, lés fait paroître-, à la Lobpé, ainfi tracés.
Seu-
Seulement me fuis-je épargné cette peine dans les 6 premières
Figures des PL X. & XI., à caufeque reprèfentant féparément
le fyftème des Bronches, elle y auroit été fuperflue. 1
E n f in j’ai diftingué, par des hachures qui fe croifent, les
écailles & la peau, aux endroits où leur couleur eft foncée;
Mais quand les écailles tiennent de l’arête, comme il y en a
trois au bas de Fig. 3. Pl. II., elles ont été gravées par de
fines hachures longitudinales, beaucoup plus ferrées que celles
des Mufcles. - -
P o u r ce qui eft du Plan de l’Ouvrage, il eft tout fimple.
Après avoir fait l’hiftoire en abrégé de l’Animal, dont je me
propofe d’expliquer la ftruélure, j ’indique toutes les parties extérieures
, qu’on y apperçoit i f la vue fimple. Je traite après
cela plus au long de chacune de ces parties, en les faifant con-
noître telles qu’elles paroiffent, examinées à la Loupe, ou au
Microfcope. J’ouvre enfuite la Chenille, & je donne une idée
générale de la ftruélure intérieure de fon Corps; d’où je paffe
à examiner féparément & l’une après l’autre les parties qu’il
renferme, & je finis par une expofition fuivie de tout ce qui
compofe l’intérieur de fa tête.
Q u o iq u e ceux qui exercent l’Anatomie, fâchent, qu’après
la netteté & l’exaélitude des Figures, la précifion des détails
fait le grand mérite de ces-fortes d’Ouvrages, je ne faurois pourtant
dilfimuler, que parmi les Chapitres qui traitent en particulier
de chacune des parties intérieures, il y en a un ou deux,
dont j ’euffe fouhaitté pouvoir fupprimer le détail. Ces Chapitres
font celui des Nerfs, & fur tout celui des Bronches; Mais