T A B L E d e s C H A P I T R E S .
C H A P I T R E V I I I .
Des Mufcles du Corps , tels qu'ils paroijfent fucceffvement,
lors qu'on anatomife une Chenille ouverte par le Dos. Pag. 15*1
C H A P I T R E IX.
Des Nerfs de la Chenille. - - - - - - - - - 1 9 0
C H A P T T R E X.
Des Trachée-Artères de leurs Bronches.- ■ - T - 237
C II A P I T R E T X I.
Du Coeur. - - - - ~ - - - 4*2
C H A P I T R E ï | I.
Des Corps Reniformes, & des Vaijfedux Grenus. - - 429
C H A P I T R E X I I I .
Du Corps Graijfeux £5? de quelques Parties quon y trouve. - 43 8
. c H A P I T R E X. I V.
De FOefophage, du Ventricule, des Int e fins & du •Sac
fcecal. - - - - - ~ - ‘ - - ’ 4-ï1
C H A P I T R E X .YDes
Vaijfeaux Joyeux. ' 7 ‘ ‘ ‘ T 98
C H A P I T R E X V I .
Des deux Vaijfeaux dïjfolvans. - - - " - ’ " -
C H A P I T R E - X V I I.
Des Parties intérieures de la Tête. - ■ - f ■ " î 1?
Fin de la Table des Chapitres.
DES -
k
M. le C a t . , Profeffeur, Demonjlrateur Royal en Anatomie £5?
Chirurgie, des Academies de Paris, Londres, Madrid, Ber-
tyn, Lyon, des Acad. Imp. des Cur. de la Nat. £5? de St.
. Petersbourg, de Flnflitut de Bologne £5? Secrétaire perpétuel
de celle de Rouen, &c. ' contenant la defcription de tlnflru-
ment £5? des Outils dont VAuteur s'ejl fervi pour anatomijer h
la Loupe £5? au Microfcope, £«? la façon dont il en a fait
ufage pour déterminer la force de fes verres.
M o n s i e u r ,
JE croyois avoir déjà fuffifamment lèvé tout foubçon, que fé-
duit par le goût qui règne aprefent, j ’euffe voulu abufer lé
Public, en lui offrant comme certains, des details controuvés,
on bien avancés à la légère. On a v u , par exemple, dans ma
Préface, que j ’avois fait inlerer à cet effet dans les Actes delà
Société Hollandoife des Sciences, une defcription du Microfcope
& des Outils dont je me fers pour Anatomifer les Infedes, &
que je Pavois fait, à deffein de mettre quiconque le voudroit en
état de me fuivre pas à pas dans mes procédés, & de ttie confondre,
s’il trouvoit que j ’euffe cherché d’en impofer. Vous m’a-
prenez, Monfieur, que comme ccttc xtetertptîen efi en Hollan-
dois, cela ne fatisfait pas encore bien des Gens, & vous voudriez
qu’elle fut en François, pour pouvoir être entendue de
tout le monde, & mettre ceux qui doutent, à portée de s’afiii-
rer par leurs propres yeux de la vérité des faits que j’avance.
Je defère, Monfieur, à vos avis. Us ne fauroient me venir d’une
Perfonne plus éclairée; & je publie d’autant plus volontiers
A cette