niffent en un tronc commun, fous cette tige , avant de s’y ouvrir.
Elles s’introduifent dans la feparation qu’il y a entre les
deux mufcles ( f ) antérieurs, dans laquelle la Tig e *1 entre pareillement.
Figure 8,
P r é p a r a t i o n .
O n n’a rien fait dilparoitre ic i, finon la i® Céphalique n , a-
vec fes branches, à la referve d’un morceau fort court de la
branche ( k ) Fig. J & 6., placé immédiatement devant la tra-
verfe.
E X P I. I C A T JU O N, *
C e morceau n’a été lailfé que pour faire voir comment la
Tige ü pouffe, vers le côté oppofé, une branche, qui s’abouche à
l’inférieure avec fa pareille produite par l’autre Tige K, & envoyé
un petit rameau au i r. ganglion du cou.
O n s’aperçoit ici, beaucoup mieux que Fig. précédente, que la
bronche marquée 2 , eft la première brandie de la 2® Céphalique
3. Cette branche, après avoir pouffé un long jet fans fe
ramifier, répand un ou deux rameaux dans l’autre côté du fécond
mufcle (h ) Fig. 6., après quoi, elle s’introduit dans une
fente du mufcle ( i ) Fig. 7 , 8., ou elle difparoit.
O n voit ici comment le cou du vaiffeau diffolvant M s’ap-
plattit tout près de l’apophyfe zygomatique, & s’attache en
(b ) aux parties qui forment les arcades ( b d l ) , ( b d e g).
Fim
C H A P 1 T R E- X V I ï , f i f
Figure 9.
P r é p a r a t i o n .
D ans cette Figure & les fuivantes on a raproché les mâchoires
jufqu’à fe toucher.
O n a en lèvé le mufcle qui d’ f l > va à la traverfe.
O n a emporté le tégument (b d e 1 ).
O n a coupé le cou du vaiffeau diffolvant M , jufques tout près
de la traverfe.
O n a retranché les ganglions K du cou , avec leurs nerfs.
L e morceau reliant de la branche (k ) de la 1®. Céphalique
M, & la branche, qui s’abouche avec fa pareille, tout joignant la
traverfe, de même que le petit rameau que cette branche envoyé
au i r. ganglion du cou.
O n a un peu racourci les mufcles flottans C.
O n ,a remis en place les bronches marquées 2 de la 1® Céphalique
n , & l’on a coupé, de T , la troifième branche flottante
N. 4.. Fig. 8.
E x p l i c a t i o n.
C e qu’on voit au-deffous du tégument enlèvé (e d 1 d ) des
deux Fig. précédentes, eft la peau extérieure de la baze du
gros barbillon, qui, avec celle de la baze de la filière, eft libre
jufqu’en ( fqr) , & peut être renverfée de manière, qu’elle permet
de voir le dedans de la bouche. Le tégument enlèvé fert
de tunique intérieure au côté antérieur de cette baze. En ( f ) ,
la peau fait un pli, ou une duplicature vifible dans la Fig. 9.
La partie blanchâtre ( t e r ) , ' eft un tégument charnu, attaché
X x x 3 par