i <& > * *< & > * * < & > * * <<§>> <$* >* »<^>* * *c<s>-> *, < <s>> $
i f w ^ J a & v$ « « #v$i=» ☆ 's'# v * < u # v # « # v # ia
R E F C E.
O I C I ju i Ouvrage, peut-être auffi fingulier par
fon motif, qu’il l’eft dans fon efpèce. L ’Etude
des Infectes a bien été, depuis longtems, un de mes-
Amufemens favoris ; Mais, dans "l’habitude où j ’é-
to is ,à leur égard, d’errer d’objets en objets, &
d’en raffembler de tout genre, pour en faire un Recueil fiifto-
rique, que je me propofois de publier un jour, je n’euffe jamais
cru qu’un feul de ces Animaux eut pu m’arrêter tout court,
& me faire abandonner cette entreprife, déjà très avancée,
&; cela, pour donner dans un genre 'd’Etude, qui m’étoit dés
plus nouveaux, & pour' lequel je n’àvois même jamais eu aucun
panchant: Moins encore me ferais-je imaginé qu’un mouvement
auffi ignoble que celui du dépit, eut pu produire cette
efpèce de révolution, & me faire entreprendre, & finir un
Ouvrage auffi pénible que celui-ci. G’eft pourtant ce gui eft
arrivé, & voici comment.
E n travaillant à mon Recueil fiiftorique, on conçoit,, qu’il
n’étoit guères poffible que l’attention, que je donnois à cliaque-
objet, dans-un genre d’Etude fi peu approfondi, ne me fit faire
des découvertes. J’en fis', & plufieurs m’en parurent auffi nouvel^
les que fingulières. Malheureufement pour moi, d’autres cour.
rant