
L E S U P Ï R BE
( N° 14 ET I 5 .)
LE superbe es! ncore un de ces < • • < a parés dune
maniéré extraordinaire par urn- ^ »aanifiques,
• Ht th.f- i ... ' ' i ment
le «êner dans -.s : • merits: îussi remarque-t-m que tout cet
attirail. loin de lui donner l'agréable prestance et l'air de dignité qu'on
trouve au sifilet, ainsi qu'à beaucoup d'autres oiseaux chez qm ce luxe de
plumes ajoute encore à la beauté des formes, dérobe ici à 1 oeil les parties les
plus susceptibles par leur mouvement de donner de la grace au corps, qu il
c -, • „. , t '.»ur tait meme paroit. c en^oiM » 1 nui» f 1 < • v 1' • • i ; ; 1 • de celles de
; «. j , i •..-!• ' = ns que le
is avons dit de l'air engonce ou m<
: dans son état ordiu,
il paroitr;
epos. Maia lorsqii l se pa
i.j.ii participent
11 sentira facilement que ce que
lourd de cet oiseau est vrai, et
ris lëtat de repos, il doit plutôt paroître
i amours : tel du moins il m a paru, et tel
JX qui le verront dans ce même état de
il , . levé ces plumes-velours qui cachent
s les parties supérieures de -.on corps; lorsque sa brillante tête, orn
ereltes mobiles, vient à se dessiner sur ce fond de
>ur le front de deus
velours noir si favorable aux teintes vives et resp
r-iili 'ts«p fnurrhiir nu <1
ilendissantes de l'espece de
de la poitrine, c'est alors, dis-je, qu'il devient
lui appliquer le surnom de
nent de tout ce qu'il devoit
admirabl
; lui i
' <ll
dans toute sa i, vu,tic,i,. v qu- ne lui présentait guere
:sp,'
description, premier
que nous devons aux
I,• S.MI'M, ..il qui l'apporta de la nouvelle Guinée,
I ., iniere des, ripti", ),,,si ont la figure Jans l'histoire
,, M.. n tiedi, fflobe. Cet individu .|u< i ai vu, est