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aile des outrespoiffons ,pouroe q u il tihd que deux eminents mtefhrn ou apophyfès fu r l'orifice de l’efîo-
mach. La refte des tripes n'hagtere plus de reuolutions,que la figure d'une lettre S. Galien,parlant du
Bar,dit qu’iln'apoint ueu qu'il naquift esfleuues-.mais a bien aduoué, qu’on le uoit monter iufques es lacs
d’eau doulce,& le long desfîeuiies. Aetius a di£t tout amfi que Galië,main tenant le Bar poiffon pelamç,
c’eft a dire , qu’i l sût en pure mer profonde, a la différence des autres qui font de rivage ou de rochers:
parquoy ( dit il) il engendré le fangfubtil: mais que f il fepart de la mer,çy usent es riuieres,qu’il le finit
efhmer tout amfi que le Mulet, c ’eft a dire,qu'il baille me fine nourriture a no\corps. Pline médecin,le no-
Ire auffi entre les poiffons afiratiles, le louant enoorplus, pouroe qu'il porte des pierres en fin cerneau,çy
de uray il en ha deux,mm me le Maigre,ta Carpe de mer,le Glaucus çy Chromts,çyplufîeurs autres.
D E S P O I S S O N S I I . !• n *
L i b n x ,e n G r e c :L u p u s ,e n L d t im V a r o lo ,a V e r t if e :u n e L u b in e ,â B o rd c a u x :m L o H M f f o ,
a Genes:un Bar,en France: un Loup,a Hlarfeille.
Lès u e r lu% & fhfieurs autres poiffons de chair nulle,que tes anciens ont nomme Afelli.
nous parlerons de plufieurspoiffons mois,qui nous font moult mlgsires,aufquels donnerons tels f u r -
noms m U ont en noftre langte : touteffiis,pouroe qu'on pourroit mal entendre oejk difhon mode, te prêtent
dire de chair mode,a la différence de oeulx que font totalement mois,fans are fies,os,ne car ~
rnuicbesjourpresaotencstimes-v auffi qu'ily en a qui ont la cbatrfirme,ftiableadure.