
C molle,laque!le(cdme dit Galieri)cngcdrchnmeursfalees,moins nourriffante, ©r laflhant plus /e a é fr f^ j
Crparce,moms utile a l’eflomach.Pline disquettes font meruetUeufiment bones aux diflillations d'urine,
ejktnts atiéks dedas leurs coques,& quelles refont l'eflomacbfifcbé, ©r ramolhffent doulcement le uêtre,
©r que cuiéhs ellesguerijfent la maladie des mteflms,quon nomme Tenefmus ou Expreffos. Les efaiilles
des Oeflresfànt de tresbonnecbaulx,ar croy quellesfont en mefne degré ©r uertu, que la chtulx.L'Qe
fire ©r la Croufille ont cela de particulier, quon leur treuue la partie adent ©r a l'cmers,au oe traire des
autres cornera de dure efcora.Galien tefmeigne queiOeftre,entrelespoiffons comerts de dur teft, efl de
chair plus louable-.mais pource qu’il y a encores plufleurs efleces d'Oeftres, nous en parleras fipareement. \
D'une Oejlreds Grece,nommee Gaideropada.
VOeflte que le Grec mlgtire appelle Gaideropada,cefl a dire,pas d'afnejmtàgneue en noflre Oata, j
Je tromc contre les rochers-.a rai f in que la mer du Pont ©r Vropotide,demeure te ui; ours en un eflre, am ]
me auJfifiit la mer A.Ege,fans iamats croiflre,n’appetiffer,non plus que l’Ellcflate-.fl efl ce toutefois quel I
leipement om rir c?ferrer leurs coquilles. Les mariniers,qui les ueulent auoir,attachent un f l r au bout
d'une perche,cr donnent degrads coups de[fus,pour les abbatre en l'eau,c? uuec une main de flr,qui efl
attachée a l'autre bout de la perche, ils les efleuent autrement : mais pource que telle Oeflre efl de mau-
ftdisgouflyiïs rien font grand tus . i l y aune merque enlaliaifondes coquilles de ce[k Oeflre,qui monflre ]
bien quelle efl differenx'.cnr la commue ha feulement m ntrfrobufk ex noir, a qui les efcuilles font attachées
f in s auoir aucune tauite, ou les coquilles fancrêt l'une en l'autre:maU en cefle cy,dy a deux gonds
enchaffe^l’un dedas l'autre,ayat a lu n coflé une lo[fette,& en l'autre une fbffette,qus amflfimboifiét.
— P Ü — g -O J -S J O N S L i . r r | f |
De l ’Oeflre de mer rouge.
E S ? ! 7 i0Ur d i S mer roug, uers le coflé d'Arabie, nous uifmes des
Z i k î n J J ‘ LeS de la,les nous nommèrent Aganon:
leur i l r i v i r * ‘ “ “ l ira ^ ^ u s tu n t fimenàoe que les anciensl'auoyent nomee T rid aena
m t lrty a homme qui les fauche manger a un fin i m o r c e lle s font grandes oultre mefure:& S :
Itrefesencbafine efl quatre ftu pfitf grandement font lesmflres.Les oe qm lle s fo Z u lï
Z / r ? Aufjiy a fept coches es attirons ,firefbondaJs aux \
; Des poïiTons nommez en Latin Turbines,,: eft a dite,ayants lents coquilles
tournées en viz,comme celles des Limacs. Chapitre VIII.
$ Î f t S mer,que les Grecs engneralont noméstrôboides,crletîittim f e f c i
es, efque s ap us grade partie f i retireenfa coque,corne dans une u i^crquadilsfe remuent ilscbemi 1
\ a ”t i t r f L ° u ? / r‘fUerS: I f 0nt VTef t ’ie d'u^méfmetiatureirefleqtie aulx qui font plus grands ont les i
leurchemn,parle,n o ï J d t deuxIn t s q r id s o Z
g petixsffihn leur proportion.Leur trompe,qu’on nomme en Latin Prom üfiis,efl f i ié k comme j