
D E N A R E E T P O V R I R A I C Ï
palme,n’excedeguere lagrotfeur de deuxpoulfes.aya^eT^wJesden^üs'aelles, & la curnofaéM.f
f f*fftt,lescfcaiUes,Gr toutes Mitres marges tant extérieures que mterieures, corne la ém tÛ !
m J], eft tl d, M jji délient im n g r , & f'appreftv en U mefme maniéré. Ceft de la libéralité de M. G. du
Prat,Eue]que du diét lieu, que l'dy ueu,laquelle n'ay uoulu ta ireicur il m'a donné moyen de Hoir beaucoui>
des Jingularite\, qui font en otrpais ld. ‘ I
Thymalus. *
Quÿferoitd hititf mille ftndes de Milan,au nuage delà riuiere qu'on nomme l'Ambra,entendroUdt! \
pcùfans du pais, qu'il y dttn poiffon leans moult délicat çxgrM,cogntu d'm ebafem,qu’ils no ment Te i
m ro . A peine en uoit Ion Matn qui exoedele pois d'me liure & derme, le le maintiens pour celuyqm \
eftoit anciennement nomme Thymalus,^ qu’il efl eftece de Trust te. Le mlgtire muant es confins de U :
nmere A.da,penfe qu’il me feulement de petits grams d’or,qu’il trome m fbnd de l'eau. Toutes fes atl- \
i lesfa peau prefeuilles fins comme d’me Trustte,ayant des taches noires,larges zrfréquentes, comme m
Carpion. i l hd des lignesdroiéks fu r lescofte^comme le Barbeau. Sa te fie eft grefe e r lonme commets
poiffons nomme\ Stregiæ & S o«* . Ld prunelle de fes yeux n’efi toute ronde. Ses ouyesfont fmplei,
quatre en cbafquecofié. La ligne qui départ chdfqueoefié luy prend du coûigde l'ouye de deffws, & ua
; droitt fin ir dld queue, lin,ha Matnes dents,non pas feulement quelques rudiments d’ioelles. il nexoedc !
; gtere la longueur d’m pied, ne la larg ur de trois, &■ refemble m Barbeau de moyenne grandeur. Ser
déliés font iaunettes- Son uentre eft pafte,maifle do\noiraft en l'obfcur. Set ouyesfont comme ailes d'm
Haren ou Sardine,entournees de dures barbes . i l bd quelques os a Tentree del'ejbmacb, ejquelsily a de! ; !
dents en maniéré d’haitns,ponr attirer la viande en f in eflomeh.ies tntefhnsjônt entDurnt\debeaueoup f
itgralffe.Sonoeeur éftft petit,qu'ilfemble quaft n’en avoir Main. Sonfiyen'ham’m lopin nui eft an
g f e contre leftomach, dont fort quelque petit rudiment de fiel. e S l S C j
qui ohhyc fon efbmacbytYome eu il wanpedes vetits tiers ¿ïedji / • j r
£ T Z ri S f Z u J u Ï t / 7 l ^ ^ le5ff 0m a qUiCdye trom ê L grande
J f J g f f g »“ M ' “ • ntats entre aultresf’enferuent auffia la douleur des a u r e iL