
D E L A N A T V R E E T P O V R TR A I C T j
pierresblanches CT rondes en la te fie,quonpeulf facilement dpperceuoir pour la trdnjfarence deJès os,(y
les ueoirfituees fôub^la partie pojkrieure de f in cerneau,en aile partie ou il efl coniomcl a la meuellc de
| l'efline. Cefl un poiffon délicat & moult gras, tendre c r facile a digrer. Sonfèye efl d’une feule pieaefl I
tendue enl&ngicury<iuqiiel il n y d fielqu il faille ojbsr deld : car ce q iiil y d àüAmertume cjl petite. il ny I
a que deux grandes apophyfés contrefin pylorus. \ ly a peu de reuolutions en fes mtefltm, ton congnoift !
a luy regarder en l’eflomach, quilmangdes Creuettes, mouche t tes, apbies, ceflrtm, lendesÆroucllei, I
poulx, crtel^autres fltera^de mer.
tpelan de mer,Schemel en Angleterre.
tpelan de rrnere.
\ i l y a celle différente entre f tpelan de riuiere & celuy de mer,que combien que eux deux fôyent pefche\ j
en Seine, toutefois l ’u n p tient ioignat de la mer. Cefluy cy eflfeulemetpefche es lieux mediterranecs boni 1
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! deîemftllee. ilfut un tempsque te Tefhmoyefhe poÎrTan ? MSft
j différence, noyant qu il ka les racines des aelles Irkuâîi W Æ È ùZ ti ^ 7 Î!enPm:ma» °» tr»uue la
j départ fes cojks, efl courbée en arc. lin ex cede porn la l a n lZ ï t G j & V?ron: & ® h ™ V»
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j y upparoiflre m arc en ciel, üefl bien ndiFuemrtu rem r * ‘ deoeu^ u rf l tournerfoubs les yeulx,<*?
j S»o> nen diray d’auantaig. ? e^ente ‘utÎ om r ‘ùclr qu’on uoira cy deffoubs,par