
/«,$<« fa appellent au f in de quelques coLlles. 'ou te fit ¿ i l desf aluds Wotides» fim les Puai.
acoeuratsfin ferment dedans les rets-ry les M a'cedolm wftr»m*nts de Metal,aufquè
nentleurs rets a l'entour de laffemUce,&alors uenants Hm' trouPF> Æ
des attirant,©• les cffouantantsftes cottduifent au r iu a J c Z ” ^ J fm
enlatrs rets* ( comme un troupeau de brebis, &• lesfint tomber
Liparif en Grec,latin & François.
D ES- P O I S S O K s " I I . ï. j,0 ?
Vdofe.
L ’ A lofe,eft le plus grSd de tous les poi[font qu'auom nommé, & diél fentrerefemllenc'eft a fcauoir•
M Am ,de la VItalie,er de la üparidc.Les Italiens la nomment Chiepa,a la difference d'un autre no-
m „ a ' Y S CI.uPea d o a ù M e eft oempaffeea la maniere d'une Bremme, hors mis
qu elle ejt plus effoiffeff? plus longue-,ayant suffi une affrété trachante le long du uentre, y de la quelle
[comme dit Pline ) tuel Attilus?qw eft un grand poiffon duPau-.mais elle eft encor plus ame es plus pe- 2 a fcauoir ft tdofe & clupea font un mefme poiffandes grandes klofesfont aufft nommes
Triffce, de quoy femble que Trichides font diminutifs, quaft comme eftant encor petites & pleines
d arejtes. Car les A lofes, ayats les effines greffes & beaucoup depoulpe,femblent eftre moins treffees d’a-
reffs,au contraire despetioes-.qus pour« que leurs areffisfont deliees,femblent en eftrefifcheufes a man-
g r.On les prend en montant contre les riuieres, g» iamais en defendant. krifîobolus dit quelles montent
contre Le courtine du Niljfknt uuoir crdhsce des Crocodiles»