fies sous plu
Ceculx^ (le c
de l(Mir imorlcls Platon, Eschyle, Lycurgue, Arislote, ainsi que tous les ......
de la Grèce et cic Rome eu conseillèrent l'usnge, tout en s eli
il en donnant des preceples siu' sou emploi; mais aut
ollcts à dose nioderee, autant ils s'elevèreut coulre Yi
harmonieux de sa lyre lorsqu'il avait vide sa coupe remplie d'un
it ans. Pindni-e, Horace, Virgile, OvitU , ont, dans millc endroits
écrits, célébré les
magiques effets du -vins5o
ipe'rance.
it h la jeunesse île L:i
liorreiir. A Rome on la
oiis tems, quelques lion
ins le vin leur sagesse s
Lycurgue olV
lui en iiispi;
eut, comme
plirs d'une 1
législateurs ou sages
int contre son abus
t ils vantèrent ses
resse, suite d'un excès
^cdeinone l'ivresse eu spectacle, p»ur
dctcstaic également, et cependant il y
nies, d'ailleurs tros-sagcs, qui perdirent
re'vérée de nos jours.
et prisci Caloni
I,e fameux Yenccsbs, roi de Bohème et des Romains,- aimait passionnément
le vin, et plus
En général les
aqueux et point
Ces mêmes vins
carbonique dont
très- sains , mais
d'autres principes
Le climai "
quiilité des
constituant l'acid
I-es anciens, qui
fabrication et la cor
avoir ignore l'art d
professeur de mede
le l'ois en éprouva les vertus excitantes,
vins iiouveaux sont très-peu nourrissans, surtout lorsqu'ils sont
sucres. Cot-pori alimentnm su(>gcru/it paucissimum, a dit Galien.
di-terniilient aisément J ' i v r e s s e , ce qui tient h la quantité d'acide
ils sont chargés. Les vins vieux sont en général toniques et
ils nourrissent pcii
de l'aikool.
parce qu' contienne ; presque pas
la culture,
la fabrication, la
proportion variée
i.l, le tartre, l'cslr;
par la'
:oulenr
ri!s coi
des vins, des idées
rc l'eau-de-vie; c
i 3Iontpcliier, q
es q
de la
:ues sur la distillation d— ,,
I/eau-<le-vic est le produit spiriti
par la tlisLillatioii ; les instrumeiis qu
d'alambics, de fourneaux, et les endr
lerics. On peut voir, dans les ouvra
cription déUiillée de ces niacliities, et
sufiira ici .rindi([uer les i>r(>priétés de l'eau-di
vins destinés à la di;
11 est bien dcmontr
sucrée est susceptible
tant que cette partie sm-rée n'c
qu'il peut donner n'est pas for,
distillation de l'eau-rle-vie, que
faire les vins pour la briderie, ,
Il faut donc en effet- ne choisir
aikool, oui n'ont pas un goût de
mploi
inUuent beaucoup sur la
ienncnt de leurs clétnens
le et le principe colorant.
)ccasion de le dire, sur la
nés et exactes, paraissent
j'cst à Arnaud de Villeneuve,
ipporte les premières notions
de la liqueur vin ; elle s'obtient
)nt connus sous le
prop,
la pratique, sous cel
traitent de cette li(jnei
pratique de la distiilati
de b n i -
, la desil
nous
oix des
ses usa. -•t le cil
c nous i
: .le pn
nitièreiu
t-ons
.duir
mt c
lé, d'oii réMiIte la
les vins bien ferii
otî ceux pour la
qu
qu
dans la cuve, peu de tems "ont poil
tro]! chauds, l^aus les années plu;
<l'caii-de-vie ; ceux des années chaudes et sèch
ont fcrincnlé
la se
quek
lie substance
)UqU
ispiit
iiployi
e, tout I
lé de n'c
aussi la
, est bic
ibondcn
n-dcnt
roides, les
•s sont ])lus
len difforenle.
nt le plus en
grande masse
is des ccllicrs
nisscnt moins
X. Nous avoas
te q..c les V,,,, Ua„c., cHaienl p,•durables pour la fi,bricau„„ Je l'eau-de-vie , parce
pic loMcs cireonstanccs égalés, ils fournissent plus d'altool que les vins rou"es
' ''R"'^'"" " >1-
l.Miius l.cs-inlencures (1 eau-,le-»,c, cl qui ont souvent un fort mauvais goût.
„ n genereux ournu juMpfi, un tiers tic son poids <l'eau-<le-vic: le terme
mojcu du produit de nos vins, dans le Midi, est d'un quart de la totalité.
Les vins vieux eu donnent de meilleure qualité que les nouveaux. L'eau-de-vio est
Cl général une liqueur ,l'un blanc jaunâtre, transparente, volatile, de densité variable
suivant la quant,lé d'eau qu'elle conlienl, indanimablc en raison directe
<le cette nienie densité, douée de la propriété de dissoudre les résines et les
jniueipes aromatiques, de conserver et préserver de loule décomposition pmridc
les substances vegelales et animales. On avait autrefois différcns movens de iin.cr
(le .sa force; mais tous ces movens étant plus ou moins défectueux on v° a
renoncé depuis l'invention île l'aréomètre.
I.'aréoinètre, eonnu de tout le monde, et inventé par Baume, est l'instrument
(tout on lail geiieralement usage eu France pour connaître le dcaré de eonceiitration
de J eau-de-vie.
I.'albool difière de l'eau-de-vie par l'absence d'eau. On distille à cet effet l'eaude
vie clle-meme. On emploie communément le bain-marie, alors la clialeur est
plus do
kool ioi
Un
dc-viii
ce plus égale, et produit de la distillation de meilleure qualité. I/aluit
des mêmes propriétés que l'cau-dc-vie, mais à un degré plus marqué,
uitre produit non moins important que l'eau-de-vie et l'altool ou espritecst
le vinaigre, liqueur acide produite par le second de-ré de la
leruientatiou vineuse.
L'origine du vinaigre remonte à la plus liante anli,,„ité, rien d'étonnant
puistpnl peut être créé par la nature elle-même. Wine, Ilist. „at.,liv. cap -jo
en parle très-louguemcnt et toujours avec éloge. La théorie de la formation du
vinaigre a donné beu h im graml nombre d'iijpothèses et d'espériences
tres-ingenieuscs, avant d'être parfaitement connue, et ,pii n'eurent lieu que
dapres la eounaissancc ,1e la chimie pneumatique. Le vinaigre n'est atiue
clioso que le vm osigéué. Il résulte des observations de Gujton Morvean
que le , i „ passe d'autant plus vite h l'état de vinaigre, que la masse est plus
pel.te, ,|uclle est j,lus en contact avec l'air, et qu'elle éprouve plus de chaleur
pourvu ccpeudant que cette chaleur ne soit pas portée à un degré capable
de décomposer et de détruire plutôt que de favoriser le mouvement spontané
Proyet, Beclier, Ro ' " • •• .
Demaeliy, ont toiir-àtion
du vinaigre. ()i
er, Hombcrg, Cartbenzcr, Boberbaave , Sthal, Chaptal
our porté le llainbeau de l'observation dans la eoufee
peut consulter leurs ouvrages pour avoir des idée;
, les conditions pour en faire de bon, et les inanip-
• faire les différcns vinaigres. Hisons .seulen
exactes sur sa tluvri
lations nécessaires pou
r l'application île cette
L<
ou prévi
que conn
nos viand
la gélatini
naigre si
roses, etc
plantes d,
liquci
tient le premier
r les altérations cl
iciit j)arraitement le
nt un
)iiomie dcmcstique cl à la
les moyens imaginés p
- • la
(les fruits
•t d'assaiM)!
; pour la ]
parfums di
et dos
inenieiil
rang i
t's sul^^tiulces animales
? personnes chargées de
cite conservation est Ibnd
iides, d'ab.orber l'acide
médecine.
on l'a
, au coutr;
iatisi
,, Haies. Cl
conserver et d'à]
ie sur la proprie
icétique. Lor.sciue
avec l'estragon, le sure,
on emploie les labiées et
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