Le fruit de l'Oranger est prcmièi
toujours davantage à mesure que
qu'à l'iipproche de I;
successive des vaisseii
Les Oranges mi
rgales.les Quides
avant les autres d<
acidité et à acquêt
arbres sont garanti
rapidité l'ouvrage de leur maturité. V
et ont acquis uu goiit sucrc, lorsqii
fort aiijres.
Si la <[uantité de fruits dont nn Oi
on ne peut se le i)romcttre iiiiuuejlcuK
par la plus grande .perfection du frai
Ces (liv
)rLicaux
> pins beaux fi
( est cause qti
> plus de suc
me, acquière
tle 1
•iss'eut ]>lalôt quaixl 1"
élaltorcut mieux et ei
leur belle couleur do
r leur douceur ag
des rayons bri'ilai
• -lil,
C I T U O N I ER
t d'un vert font
lit grossit, clL
P'
cette foulenr s'éclaircit
e disparait totalement
t de la dilatatio
nature des
xposilion les a
iii moins de 1er
orée ; elles tard(
d>lc. AinM,plus
(lu soleil, et moi
ourqnoi les ()i
celles des pl
ïs qui
orise : ites choses
is ; aussi se teignent-elles
nt moins k perdre leur
i le sol est frais, plus ces
ns les fruits acht-ventavec
iges des collines jaunissent
les sont encore vertes et
vigueur
' SI"-
:-al le;
de l'à,
nt aloi
les feuilles m
rencontrent pc
de leur grand,
ait assez de sucs po
croissent beaucouf
étant plus petit, lei
s'y sont portés sai
entretenu l'abonda
bonté du sol, les ar
rcnt ensemble à h
11 n'est pas néci
qualité se fait reini
y est très-scrrce
sont les fruits qi
angei- se charge est nn spectacle ravissant
lent, mais ou est dédommagé dans cet alternat
.it, à chaque année de là moindre récolte,
font remarquer sur les jeunes Orangers ; la
; les foi
•égétales s'y font avec plus de succès ;
es, qu'ils épureut en moins de tems ; les bourgeons,
ent plus do dimension. Les grosses Oranges ne se
it sur les arbres qui en sont surchargés, c'est-k-dirc, dans l'année
récolte ; il y eu a tant alors qu'il est impossible que l'arbre
•les nourrir toutes avcc la même abondance, et pour qu'elles
Par contraire , dans les années de moindre récolte , le nombre
cuits acquièrent un voltmie extraordinaire, parce que les fluides
cesse, et l'arbre, n'ayant travaillé que pour eux, y a toujours
:c des alimens et la précision des opérations analytiques, I,a
se mens de l'été, les engrais, les éiaguemens, les labours concougrosseur
des fruits, à leur bonté et à leur perfection,
d'oi les fruits pour en connaître la bon "
ler par ne écorce luisante et unie; l'arcliitcclnre
portions y suivent une confo
régleni
de s'ei
; loca
inarq
et toutes 11
lie l'on expédie pour tous 1.
s en dé.-,iglient les proportions et di
Les fruits qui n'ont pas les dimcn:
Les
les r :olte
î les plu:
nincux, sont entassés dans des bàtiinens desti
es régleinens sont observés pour les Limons qi
et expéditions ont lieu toute l'année,
u liiver rigoureux atteint les fruits, tout n'est pas perdu ;
:nt de l'arbre, on les cueille, on en râpe l'écorc
ironie Irès-ostimé. On en tire égah
l'écorce en quatre lobc;
ti l'envoie ainsi au doli
aturcl. Arrivées à leu
u les distille, ou l'on <
l'on emploie pour tii
i meilleure
organique
^ble. Tels
ignés. Dos
s ; il n'est pas permis
li par conséquent sont
s au petit cabotage,
l'on expédie et dont
Quand
les Oranges se détacl;
par la distillation un arôme Irès
avantageuse, qui consiste a partag
soleil afin qu'elle se dessèche, el
fait rien perdre de son aronie
ainsi prt'i)arées sont humectées,
ables. Ce sont là les moyens q
ou abattus par le vent.
tpa
deux;(
5. Cette opi
destination
fait des confitures agi
parti des fruits fciuh
l'expose au
itiou ne lui
les écorcci
Lorsque les fri
une activité prod
sur les arbres, ei
mt pris
ise. Ou
ait leur accrois
jit des homme
icnt, il règne dans les jarduis
droits et expérimentés moiitci
- les fruits avec une facilité el uuc adresse incouccvablcs.
CITRUS. CITROJVIRR.
doublés de toile
m eneurement Pour ne pas blesser les fruits, ils ne font que casser le pédoncule
; 1 habitude leur rend cette opération très-aisée
Lorsque les paniers sont pleins, on va les vider dans un coin du jardii
la nuit, les memes hommes coupent avec uuc serpette le pédoncule ;
du calice, et des femmes transportent, dans de grandes corbeilles
. Avant
I dessous
, ^ ' vuiijcnics, au magasin
les enveloppe avec <[a papier gris et on les met de
fruits ainsi préparés ; là
suite dans les caisses
Les Oranges que l'on expédie sont
cement d'octobre jusqu'à la fin de déci
raieut en roule. Celles qui, à cett
sont expédiées sur des bûtimens po
transportées sur des chariots et env
Pour conserver les Limons destinés
les saler, avant les guerres sur mer, .
mettait les Limons dans de grands ton
pour ne laisser aucun vid
quatre heures. L'opération de rem
jours, et après elle y restait deux jo
plus long-tems sans la changer. Lo
les Limons dans cette eau de mer, h
pletiemeut salés. L'expérience a appi
envoyés, (jue ces fruits étaient exc
rasséspar plusieurs lotions du sel mu
imprégnée. La quantité de pareils t^
nieillies et envoyées vertes, depuis lecommeniuibre.
Si ou les envoyait mfires, elles pourri-
; époque, approchent trop de leur maUirité
ir Marseille et le Languedoc ; d'autres sont
oyées dans le Piémont.
aux voyages de long cours, on était en usage de
H voici la manière dont on s'y prenait": ou
leaux qu'on remplissait avec de l'eau de mer,
itrc les fruits. La première eau n'y restait que vingt-
•iveler l'eau se répétait pendant trois ou quatre
rs consécutifs 5 on la laissait ensuite séjourner
sque l'ou avait tenu, l'espace de quarante jours,
tonneaux étaient vidés et les fruits étaient comsauxhabitansdu
Nord, où ces tonneaux étaient
liens pour être confits, après avoir été débarlatiqac
qni les enveloppait, et dont l'écorce était
,expédiéschaqueaunée,étaitconsidérablc.
À l'exception des écorces épaisses et du corps ligneux, dans lesquels l'aron
est peu sensible, on le rencontre dans toutes les parties de l'Oranger. Les f S
le renferment dans lev.._ ,
En les froissant, les partii
La distillalion , l'infusion 1
parfumé existent dans l'ec.
surface, ils sont plus on moi
les uns des autres que pal
étonne l'oeil de l'obscrvateu
pour les découvrir sans le
Les divers arotnes ne pr(
que leurs caractères sont tra
d'une nicm'
o
lies, plus ou moins aboudar.., i„us ou moins suave.
=ules qu, s en exhalent affeetent agréablement l'odorat,
a decelenl aussi, mais les grands réservoirs du Ilui.lo
orcc des fruits. Lii, placés partout à l'estcricur de leur
ns relevés ; enl'oncés on rapproeliés, ils ne sont séparés
• des cloisons fibrense.s dont la finesse de l'architecture
r. Il suffit détrc exercé dans ce genre d'observations
secours des loupes.
ivicnnent que des dilTérentcs espèces; c'est là seulement
nclinns. Il est dil'ficile de les distinguer dans les variétés
espece, car leur dilfércnce est toiit-,à-fait impcrceptiblc. Toutes les
, quels que soient leur volume , leur couleur, l'épaisseur de F
mtres modifications, ont le même parfum et n'offrent que le mèm
:n est de même des Limoniers, des Citroniers cl des autres e.spèccs • i
les variét
en changeant d
on y trouve uu parfui
ne Bergamote, ou
c la diversité de le
iose de coiùmuu d
1 parfu
fféremi
rien de
espèces, on rcconnait;
particulier qu
1 toujou
me On
le caractérise
micnt que l'a
agréai
: et toi
;c, ouunLi
•S ? Cependant l'odour (...
èces même les j.lus éloign
•opriétés et usage.s du geui
n diverses proportions, <
; <liffén
d'une 1
, qu
qui annonce les p
nt combinés , on <
corce et les
arôme. Il
usi j'arome
e sensible;
i le même;
en flairant
''trc frappé
a quelque
'iiic n'est pi
it; en effet
vieu.Ira pas
nits difiéi'ei
s cntr'elles ,
; les mêmes principes
iistitucnt k différence
Xous av.
M. llbso <1
lis dit, au commeucemont du traité des arbres du genre Citronier qa
mctnbrc de plusieurs Sociétés savantes, avait bien voulu uou
ir.
A
i
T