CITRONIER.
les racines de l'Oranger, il u'est plus qi
sa nouvelle caisse, bien garni de sa molto. On y entasse
de la terre composée ; on doit la plomber avec soin
que de le placer bien droit dan
tiges , les garantir contre les secousses du
et po:
terre autour des racines, en égales proportit
afin que les racines ne portent et n'appu
de garnir de tuileaax , de plâtre ou dautr
et qui facilitent l'ecoulenient des eaux, lors dos
]a terre nouvelle excède un peu les bords de la cai;
voir la naissance des grosses racines, parce que, d;
et le travail des racines abaisseront peu-à-peu la motte, qui par
verak fleur de la caisse. Si, par suite de cet affaissement, les ;
restaient trop à découvert, pour les garantir, on pourrait les r
OQ la soutiendrait par le moyen d'un petit encaissement fait
J'ai vu, dans l'orangerie de Versailles, que la naissance des r
exce'dait les bords des caisses, et que , pour recevoir et contenir
qui était ne'cessaire , on avait elevé des bourrelets de terre de troi;
et les racines ressortaient dans celte cavité.
Après l'encaissement, il faut arroser l'arbre Ic'i
ime quantité d'eau suftlsante, par la filtration qui
L'eau de rivière est préférable à toute autre, mi
po
is. On doit tenir 1
;nl pas jusqu'au fo
.rps qt
deij
s la
, de tous les cotés,
bien ailermif les
ner exactement la
irbre assez éleve' j
d, qu'on aura soin
t pas spongieux
lens. Il est à propos que
re que l'on puisse
c poids de l-arbrc
;e moyen se trouacines
principales
tcouvrir de terre,
autour du pied,
icines principales
quantité d
quatie poui
que l'on a da
soleil dans d
Les OranK
aussitôt qi
i son jardir obserA nt de la lai
-eraent, s'assurei
i lieu au dessou
• à son défaut, or,
.erpl, s joi
la tempén
,r pl.,ce ; ^
de mettre
quelques joi
inpèche
r qu'il a reçu
s de la caisse.
I emploie l'eau
rs e.\posée au
inze mai, ou
is le parttTrc,
après laquelle
3 sortis de la serre du premier ai
e permet. Les arbres seront rangé;
• donnera aussitôt une bonne ninuilh
•ou ^épais^eur de quatre doigts de
la terre de se fendre et de trop se dessécher. Si
-osement, on verse au pied des arbres, surtout des
: cheval et
ns ties toni
lissent l'être
I ou environ de jus de fumier, composé de deux tiers de
.û tiers de bouse de vache fermentes et remués pendant huit jours
eaux, ou les voit bientôt aussi beaux, aussi frais et aussi verts qu'ils
Ou peut remplacer l'eau c(ue l'on a retirée du toimeau en jus de
mier, par une eau nouvelle qu'on mêlai
Les arrosemens , pendant les fortes chah
niaine , sur les cinq a six lieun
entparseniaine, pendant les mr
La taille des Orani-ers , coini
du soir; ils
de seplcm!»
; celle de ton
peu (
extén
ndilé.
•nfu.-
feuilles étoffées, et d'un beau
d'un nombre suffisant de fru
et des soins qu'on lui aura di
elle consiste à retrancher toule
faibles, les petits bourgeons co
gnmrUiombrede Oeurs. maisd.
tailler courts, et sur un bon ce
et fait fermenter de nienie.
, doivent avoir lieu deux fois par
;ront faits p
: et d'octubr
les arbres fi
lutôt et une fois seulec,
avant de les rentrer,
•uitiers , a deux objets ,
•me globuleuse ou un
, bien pleine et garnie
:lies soient saines, dispo-
•re, garnies de grandes
irs , dans la saison , et
era une suite de la taille
1 la sortie <lc l,i serre ;
PS ; tous les bourgeons
caulé consiste dans une foi
possible , et sans alTcctation
faut aussi (juc toutes les branc
=r,sa,.ssep.ucherverslatei
,-ert,de belles et grandes Ikii
s. La fécondité de l'arbre s
mes. La taille doit se faire i
les branches mortes ou usées
ris qui n'ont point de feuilles
la plupart tombent souvent sa.
I, les boi
:|ui proiTuntONt un
s'épanonir.Ondoit
s bien plac et nécessaires: tailler
CITRUS
r convenable
taillés suivant leur force,
les, de belles fleurs et de bc
alonger Irop la taille , ,1e pc
trop .l'étendue ii la tête de TU
vailemens alin de raj
une longuei
dont l'extrémité est f.iihie. Les autres 1K
doivent être
it forts, qui prodii
grandes foui
>nt de
X fruits , <loiv,
ne faut pas
d'ocea&ionncr
pas ilomicr
\idcs; pour i
L'er, il est bon
nicdt des n
e faire siiccessiv
le bois et le coalcnir dans les bornes c
iiaiJcs à un
I.es «Are
uent encaissés
iyant perdu par les retrancliemens fai
racines mie graiulc partie do leurs pourvoyeuses j le nombre et la longueur des
branches doivent être proportionnés à la quantité den vivres, ,1e peur <r„'dles no
• toinbcnt ilans la disette et le ilépérissement. Il faut ,l„„c décliari;er la lèle de toutes
' ' f •=' ""ijcntics, et même ravaler les grosses, si la langucnr <lo
1 arbre et 1 état des racines l'exigent, car les unes et les autres doivent être
€11 proportion.
Depuis la u.i-juin jusque ver» I, fin iraoïlt, il faut, de trois en trois sciiiaines , et
menie pin.s souvent, visiter les Oranscrs et les décliargor de toutes les pousses
inutiles ou mauvaises qu'ils font. De,mis la lin d'août jti.stpies i la taille qui aura
lieu au mois de mai suivant, on ne l'ait pins de rctraiicliemen.s.
Les Orangers dc.s serres ne donnent leurs lleiirs qu'en juin ou juillet On doit
avoir soin, eu les cueillant, de conserver celles qui sont sur les plii.s l'orte.s brauelics,
pour en avoir iles Iriiits ; mais on ne doit pas eu laisser trop, cela ferait tort à
laibre et mcine aux Iriiits. Quand on a parlé de l'iniineuse quantité de fleur»
et <lo Iriiits qu on laisse a ces arbres on pleine terre , on n'ose lias avouer la
petite quantité d'une cinquantaine, que l'on conseille de Jaii.ser sur un Oran»cr
en caisse. îie créant ni le précepte, ni le conseil, nous nous coMcnloiis de Hndiquer,
d après nu moinoire d'un de nos agronomes les plus recoiuiuanilablcs , dont
le travail avait été revu par l'en M. Mordant Dclaunay , qui avait bien voulu ,„e
eoninnmiipicr ce qui était relatil aux orangeries, et il'apros lequel j'ai rédigé ce
que je presentc sur cette partie. L'auteur recommande pourtant de laisser un peu
plus de llcurs, parce qu'il eu tombe; de clioisirde prpl'éreucc les plus alon.t'cs
dent le pédicule est le plus épais , et ipii sont disposées dans le milieu" dc.s
branches, oii les Iroits se soutiennent luieiiv ; il reemuraai.de aussi de supprimer
attenlncineiit eclics qui naiSient aux eslréinités des branches.
C'est sur les cinq ii six heures du soir qu'on cueille le.s lleurs de l'Oranger eullivé
en caisse; on dioisit colles qui, était encore l'crmées, sont prêtes il s'éi.anouir
On iloit en couper le pédoneole dans son milieu, avec l'ongle du pouce , on observant
de ne pas tirer a soi le.s branehes , et surtout de ne pas les casser. Les fleurs no
doivent jamais etre cueillie» pendant la pluie, ni inimédialemont après.
C'est vers lo quinze ,l'octobre, et lorsque les nuits conimciicent i, être fraie],o»
et souvent froides, qu'il faut rentrer les Orangers dans la serre. On doit y disposer
les arbres on all.ies assez c.spacécs , aliu que les b,anches ne tourhent pas
aux murs, et que le jardinier, avec .son échelle, puisse les voir t o u t - - •
circuler ii son aise. Les arbres le.s [ilus lias, siii'
entre deux et sous ceux qui sont les phi, forts
par cet arrangement, un coiip-d'o-il ,,his agréable
Aussitôt apiés leur rentrée dans la serre, le.s Or;
bire , qu i .sciiira il rall'emu'r lesniottcs qui ont
jiersonnc cliargée <lc soigner et desiineillcr l'ora
l'euètrea et de donner ilo l'air tous les jours, jic
grada
élevés, pour do
sigent une bonne luouillui
s pi
soiiD'rir par le transport. La
igerie reeommiindera d'ouvrir les
(luca aux premières gelées , et de
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