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végètent heureusement, cl l'on a la
Iructiferes, et de voir que rien no s
L'expérience apprend que les
infinité de rameaux ; que, pour porte
féconds, on n'a qu'à les bien ecluircir
peinent des brandies prineipales. La >
J'c^iergie avec laquelle s'y opèrent îi'5
tout ce qu'on lui a supprinu!. Ddns
Jnarelie rapide, et pour peu ([u'on les sui.
itisfaction
•piiOAC plu
dai •ntes
iijjinejJttT ic nombre des bourfjcons
X liourcux succès de ].» leconditc.
«,c„t ri.,,!,,» a,,,,™ „„e
0 bcaneoiip et être bientôt
.es Oraii-c-rs p
lul ce qui empêche le développas
cr.iindre de cotiper trop ;
pliysiologi(iues répare bientôt
goureux, la végétation a une
d„it
1 le.-, voit s'élever d'abord et annoncer
ope
ans, et vous 1
EtJ cxerriint
ger, le jardiiii.
égards ; le pet
permettent pli
Dans ses plus
lez-li
un d.
S'épuisant on rame
autrement il lonibe
de tristesse et tle sti
lin propriétaire inj;r.
d'être nourri pour c
fournir les ali
les engrais coi
si <ui 'les lui £
plus d'elémens
ses fluides.
11 est dilïici
Ijinaisons. Cli;:
chacun croit si
de terreau, de
l'eau qui, en s'
mélange de iia
iclivité prodigieuse; écl:iircissez-les donc tous leî
•rez croître bci
3n intellii^ence et son adresse h
doit respecter la vieillesse. A'
:1e sève qu'il attire alors, cl I,
d'étaler le kise de la végétatimi
•ands efforts, il ne pousse plui
, pensez ([u'à cet âge il redoute le fer ; quelqi
t les laisser subsister, en réfléchissant qu'il p(
Or,i
rc.specponiU'e
a vos esp^-aiiccs.
laguer sans pitié ie jeuut
ncé en âge, cet arbre c;
lenteur de ses sécrétion,'
comme dans ses premières
•juc de faibles bourgeons:
•urts que soient les r
tdinieilement les remplacer,
aux et en fruits, l'Oranger a besoin du secours de l'homme
dans l'abattement, et plongé dans l'inerlie, il se couvre
Tililé ; en elVct, rien n'est plus hideux que cet arbre, si
t l'abaiulonue ii sa malheureuse destinée ; il a donc besoin
et pour produire. L'art a trouvé le moyen de lui
a appris qu'en lui donnant
majestueux, et qu'il htngnit
: cens qui lui fournissent le
tems plus de mouvement à
ens nécessaires. L'expé
mables, cel arbre pr«
lul
use ; il importe donc de conu
lourriciers et impriment eu m
iquei bien esacte:
etcultivateu
illeure. Si on
elles et de terr
;itraine les ma
de
brebis c t de terre franche. L-s ton l bien n
u deux, passé de tem: Icms à la
très-bon ne pour les Orangers. Le mélange
nous indiquons ailleurs, est ( •;ehii des bah
séjournei it les bestiaux, les niii itièrcs de voir
ane bonne tcire végià aie , amonccit
des fossi ;s qu'on entretient liui. iiidcs , après ;
cette ter re a la claie , pour en biei 1 ili viser
pareil fu mier ne peut être trop vieu
Des Cl dtivateurs conseillent de : lorii lier la ter
nées exu :aites d'anciennes prairie r.s qni ont été s
eaux ont déposé un limon .pii |uis, par
animaux , la souplesse nécessaire .a la combinai
ces engrais sont excellen-. pour h 3S O rangers <
ne sont pas nuisibles à ceux d. . plci iue terre.
rs différentes cominoins
coinpiique'e ;
e par un mélange
t trop perméable à
jardiniers font un
•ache , de crotin de
nmoncelé pendant
icnt les engrais et lei
a sa méthode plus ou
le dispose l'engrais q
franche, celle-ci devie:
ériaux de la sève. De;
dicval, de bouse de
uèlé ensemble, ii
• claie , doit donner une combioais....
pourtant le plus substantiel et que
avares des rues, des marchés où
rie , même des excréuiens humains
:'s pendant deux ou trois ans dans
avoir fait passer , de tems en tems,
et combiner toutes les parties. L'n
»>••"-•'>' i cWe.
•re pour les Orangers avec des gazoniouvent
inontices et sur lesqueiles les
les débris annuels des végétaux et des
ison d'une bonne terre végétale. Tous
[ue l'on veut ciilti\er en caisse, et
Dansles engrais, on doit chercher
et la rend plus brillante. L'âge (L
quels oQ doit donner la préfércn
l'Oranger a toute l'énergie du jeun
concourent à son prompt déveloi
d'une fermentation énergique,
pos ; et pour accélérer la marche
les découpures des cordonniers, les chiffons de 1;
la fiente de pigeon, des excréniens hum
c qui influe le plus sur la végétation de l'Oranger
l'arbre ol la nature du sol annoncent ceux aux-
Dans les jardins nouvellement forn
âge, il faut des engrais qui le secondeii
'est-lh que les engrais, su.s(
s'emploien
rognures de
:he5 en principes alimentaire
•égétation, on enfouira les
les débris des boucheries,
,, , • " • - ' - 'a pas de la poudrettc. Ces
diverses substances opèrent des prodiges et démontrent leur éîoiniai
jisscment de l'Oranger. Les jardins
les arbres y dc^ploieut une force et
u^s , où
,t et qui
;epiibles
l il prosur
le rapide et énergique accr
prospèrent plus que les autres ;
qu'on n'admire jamais ailleurs.
11 faut d'autres engrais à l'Or
Les engrais trop fermentatifs c
et une humidité considérable ai
de la plupart des maladies qui
Orangers auxquels on donne des
très-épaisses et d'un vert plus foi
y ont un parenchyme extrême
loppcmentdes forêts microscopiqi
influe
insi fu
ngcr touffu et p
itretiennent une
milieu des brai
désolent cet arb,
rvenu a une certau;
sève extraordinaire
•hcs , ce qui est la s
•ffet, on remar
ingrais trop cliauds, des feuilles très-vol
i) ; les bourgeons trèsit
dilaté et rempli de;
dont nous parlerons da
élévation,
i dedans,
rce fatale
o sur les
s la s
succès des entreprises funestes des insectes. *Ay . tonj 01
ces arbres se ressentent davantage des hivers ri'
les bravent.
Les Orangers plantés dans un terrain sabloneux ne de
trop chauds qui excitent une elialcur dessicativc, propre à ép
même de stérilité. Les fruits qu'ils peuvent port
et sont sujets à tomber avant le tems. Dans les terres fortes,
ne redoute pas autant les effets fiiuestes d'une excessive c
les employer avec succès, mais toujours mêlés avec d'autres
tiblcs d'une grande fermentation.
Si le terrain dans lecpicl les Orangcr.s sont plantés est luit
ne peuvent lui convenir; les meilicn
ni sont plus nuisibles qu'utiles. C'est d
IX et rapprochés
•lit le facile dévete,
et les heureux
Lirs une sève abondante,
pendant que les autres
andent pas des c
iscr l'arbre,'a le fi
• tent petits, peu suc.
absorbai
trop l'hu
de parle,
lUtcs , les autres hi
qu'il co,
du sel muriatiquc; par i
on facilite l'absorption di
le cours desfonctioi
de l'accroissement
aporat
ngrais
ide, lej
grais
ipper
îucculens
où l'on
on peut
13 suscep-
;rais dont
usage (
Quoi q
qui est la
on doit do
terrain et 1
Tout ce
Avant besoin
d'engrais qui
mais elle est
l'arbre une fosse, dan.
la force et à la grandi
de fair
moyen on donne de l'ii
l'eau supcrûue qui est
s physiologiques ; on est certain .
;t de la fructification.
; chaux
.pulsio,
lans Ici
lors de
; sont les substances
s un sol qui relient
pulvérisée, du plâtre,
à la sève languissante ,
rs fluides, qui rallentit
oir briller les merveilles
1 en soit, tous les
leillenre règle on
er la préférence ; et si
position; avec ces huni
ne sufTit pas encore p
croître et
loute pou
igrais sont bons pour l'Oranger
riculturo, doit apprendre quels ;
1 ne l'a pas, il faut lâcher d'éi
es, on ne manquerapasd.
r ([lie cet arbre prospère
lie se niellre à fruit, on
lui. Cette opéralio!
nne , et à cet effet
^lie on met une quantité d'engiî
l'arbre , et l'on recouvre de le,
ûxperiencc,
X auxquels
I nature du
phi,s miles,
u lo (lesire.
lie ponion
princeiiis,
ni CCI
peut ,
c choisir le
; autant qu'i
destinera i
•oir lieu au _
ise autour du p
•il de
proportionnée à
; par ce moyeu
ir
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