m
isiblc que la piecodenle, a cansc de la tcnacilc; avec laquelle elle s'aUache
clic est heureusement pins rare,
•c los iilaïucs qui paralvsciit les fonclloQs
vasaiitlcLirs sucs , et les rciulcut ainsi incai,
est de les elaj^ucr beaucoup alin que les
. soleil puisseiil y cii-culer libvcnieiit,
iVor/ec , conseille , pour porter coup aux
r le uouibrc des Oraugers plantes trop près les uns
luunides, attendu que les branches nuUuclleniCDt
maiit qu'une iurèt serree, î'huaiidite s'y maintient
1 proportion. vSi on ne veut pas suppri
140
ment pli
aux différentes parti
Les moyens les pli
analytiques dans la.'
pablcs de porter le
vents, lair, la Innj
i\I. LoguEz, dans son Jfistoir
insectes et moisissures, de dimini
des antres, surtout dans les plaine
croisecs ou trop rapprochées ne fc
toujours-et la Morlec s'y otnid •
. des Citroniers,
aivenables poui
des arbres en e>
récohes ordina
et les rayons
de
detri
inbre d'arbres , il faut les tlaguei
est possible; car sans la volatilisation de 1'
la diniiiiution dans le nombre des arbres
]e propriétaire, il faut an moins suppr
eut pas
s éclaii
te pcm
p,mr le
>p basses
1 l'e
enaiîcnieiit et
.nniditc le n.al
!St trop sensibh
les branches tr,
terre ; car il est nécessaire 1
]e même accès en dedans et en
sent et sentrelac
ofiVe
Les arbres qu
doivent pins être i
jiied et par pure n
des forêts incalcul,
les unes et les aul
dans l'i
les suc;
Dans
trop su
<s HT,,,
itc; il
d»
iipossibi
qui y c
les liou
Lxulo
Icssons. Les rai
inc retraite pn
•inls et <1A.UTI
iiimeiil; il
riit lie les 01
es, <1,
„ dép
r , et celi
lilircinc.il
e;uix iioiiibre
ihle et lieurei
sés hetirense
e furt leur
i eiiipèclier de soi
populations iniii
s do larbrc, il
iiiniiuiaiil
être sueri. Si
cultirâtcur on
et pendantes il
et qu'il j ait
II'us, qui erois-
Mcnl'ee.
l'infection ne
de l'eau qu'au
inlant détruire
insectes , qui ,
de le mettre
qu'on le peut
teiit de
ïrir. V<
lises d'
iiiporlc
autant
1 l infectioti lait ses ravages,
li>
Je fei
: pai nies salii
droits ,
m doit soppr
s'en exhale
, eoiiibim-'cs 1
par le-s trompes de ces insectes. Les moisi.ssures i
t et jotiissent en même tenis de ceux qui, non
>, flottent dans les basses régions de l'atinospbè
pereees ai
cphisdcfaeilit.
lient les
.es plus eopiei
abondans
m moins exqn
Nous a
ons dit, au commenci
quaient les arbres du
l'ignorance des eultiva
les arbres, il la negliscnee qu'
connues et en usage en pareil c
toutes les caries que l'on rem;
mal-à-prnpos la guâison à la
mélange de terre franche et de
Depuis l'impression des espè
avons reçu partie de cens que nous
décrits 'a leur place, nous nous bol
grappe ( a3-. var. de la à', espèce. ;.
fruit de la Pomme d'Adam ' l'onmin
qu'il présente, aj-ant un fruit rond et r
un Limon ordinaire.
C'est par la greffe du Citronier sur li
lUtant qu'il
i;si les fumiers
lantité plus ou
.-apeurs,
, paree qii
,-huileuses ^
aident les écorecs jihis tendres , et elles sont
nre Citronier, devaient soi
1rs; c'esteffectivenient'ala]
qu
rqir
lent de cet article, q(|ue les maladies qn
ventlcurs causes il li
aaladresse,aveelaqi
leurs pl.
îticnattaplu:
nc'gliiience et
:11e ils taillent
les conjpositions
des ulcères et do
t ils abandonnent
Los pi ai
brnis(
es et
uhc
êtes des fi'nits du genre Citronier,
s eu l'intention de faire figurer; les a
à les indifpier: tel est le Linioni
Nous avons cm devoir
•ïclaini Cùinluni ),
aire figurei
i.soti de la
d très-alon
in second
ingularilé
celle du I
tirant un pei
En decriv;
que nous désij
nous le présen
tion que nous
Les nombre
nous avons cri,
en pleine terr
appliques à plu.';
traite particulie
conduite et ciilti
les serres ou or.
Le nom d'Ora
laquelle les caissc
aussi aux batimc:
Les allées de.
gers qui les for.
recevoir les Ora
tent en ce genre
terrassées reçoivi
et div
Au cl
onicr <hi Portugal f[,i'un choisit de préfési
surtout le terrain lui est coiivenahlej
iations de ratuif>,sphère. Clucuii des fruits
spèces ; le fruit arruiuli se "rapproche
conserve jilus
rement ce Limon Cédrat. C'est le Lii
rence pour avoir des fruits plus beaux
il a l'avantage d'être peu sensible aux v,
a une t^orce propre aux types dos de
pen <le la couleur de l'Orange, tandis (pie celui qui estalon
n. Leur pulpe diffère également; dans le premier, ell
sur l'Orange, et dans le second elie est tant soit peu
it la sixième espèce ( Cilrus Decumana), nous n'avi
rions figurer ; mais ayant été dans la possibilité de ne
itons à nos lecteurs comme le véritable Pompcimou.
en avons donnée parait lui convenir.
X détails, minutieux peut-être , mais nécessaires
devoir entrer relativement aux ajhres d
dans quelques prties de la France r,
eurs autres de nos arbres fi
du Citronier par quelf[ne
Lire de ceux plus communéi
angeries,
ingerie se donne iiulifféret
d'Orangers sont disposée
ns dans lesquels on les re
)arterres n'ont besoin
:nt les embellissent a;
ers pendant l'hiver, .
nre, et les étrangers ne se
oivent les caisses au sor
Il dessinés rompent la m
oyal de Fontainebleau
: est d'un I
plus verdàl
>us pas le fi
usleprocur
; et la de;
inc
. Noi
i détails, m
i C L t e t plu:
unent à la
i avec ordr<
rcs , dan
e Citroni
.aie . pe,
; devoir u
intéressa
;meut
rip.
lesquels
dlivcs daus
lortion de
et symétr
i'Ln; jnisà l'abi
: parterres dans
e ; on le donne
pendant l'hiver,
tilier; les Oranment
desliné a
Bans le jardin des Tuileries, h
du côté lie la terrasse dite des Feu
mité des grands arbres qui ombrage
d'autres caisses sont répandues dans le
dans l'orangerie de Versailles que 1"
Bourbon ( i ) qui fut apporté à Font;
itre , poui
d'aucun ornement partie
scz. A Versailles, le bât
r , est an des plus beaux mon
se lassent pas de l'admirer. Des allées bien
r de l'orangerie ; des carrés bordés de fleurs
>notouie que la verdure seule y occasionnerait,
les allées d'Orangers sont couvertes de (leurs,
sses d'Orangers forment une allée prolongée
illaiis; {_ n'est-il pas à craindre quelaproxilU
celte partie ne nuise h leur essor végétal ? )
)arterre ou ornentIca différentes terrasses. C'est
voit et admire l'Oranger nommé le Grandiiieblcau
en i552, âgé alors d'environ 110 ans :
( 0 Je consigne ici «vpc rerouna
arc et jard ius dci Roi iVersnlIet, a
CCI de Gafu.d -Bourbon,
Diins sa 1el ire du i<. juillet de cel
sa ..ig^,»,; on esl des pljs vigoureuse;
du Bigai-a
li-oui:, qui
qui le cuulÎPnt a quaire pieds neuf
Le poids brui de ce uierveiHeiix <
. li esl 0r,o ,n3,re de l'.mpelune.
.-.nuëe ( ,8,6 ) il me marque : . Cel atl.re loujo.in
donne exacifineiit, ehaiiuc annéf, Heurs el fiiiilsabond.tmrrK
"e vingl-deux Ij cm-onfdieuce de sm léle est de mu,
1 liges a
e diam<
5t magnifique .
Sjiivageoiî
:iuq pi«!s;son
SI df de onzf à douze ii SI de qtistie pieds irois pouces.
milUers.
^lé seuié (kns les jatdiu» d
le de Navs:>
le. »i,Coim(il^ble de Bourbon, àoù lui viciK Ir nom de Grand-Bouthoi
•s b morlda sous le r^s". de F.auçois l'.e.ui.T, ce, Oiaug.T fui tnu,.porld. p.r ordte muu
nourboi,u»i5, .lu cl.5t(?au loyal de l'outaliu-bk-au, dou Loui> XIV le lil venir à lo,,„
illes
t.é qtie les lectpi
. si le firmid Dji.iboi
rouveroiful (jiielqiie niléiél à cc.
; fabuleuse ii des per.<oiines iiioii
«voir élé pijulé par Saïul-Doiiii
cultivé cil coissi' depuis 400 ans
ce luagiiifique et oe.<moi«l;,le Oranger,
)i de la lungént^ des Oraiigoiî. Celui
U
•f'J a
1
m
É