DU moins nolve attention sous le rapport de li
. le grain assez fin et assez serre ; il a beair
tent plu;
premier
tenis : c'est domn
ein]>loi h cerUiiu
pieux, (lu charroi
qu'il n'acquière ji
vrages. On s'en s
dujncrniin, Ladispositii
les constructions navales on s'en sert principalen
L'avantige qn'il a de pouvoir croître dans les terr
propriétés, sont des motifs assez puissans pour «pi
mais il ne parait pas susceptible de réussir dans
Le bois de la seconde espèce , quoique infc.
blanc et de plusieurs autres, est néanmoins a;
grandes dimensions et mérite d'être propat
s propriétés. Le bois du
ip de force et dure longnais
de grandes dimensions, ce qui borne son
•t principalenieul dans le pays pour faire des
jbliquede ses branches faitq • dans
itponr les genoux des vai
ssecs et maigres,jointàse
I cherche à le propager en
nord.
ar en qualité à ccl
dispositii
cultive'
edela
.particulière des brandies
exibics et toujours inclini
ir renibcllissemeut des pai
poi
le espcce, le Ciit
rnppoi
•es de la irc
.lu Cliè
rt de ti-.
espcce, qui
uicqu
s vers la terre, la rend Ircs-projire à
5 et des jardins paysagers. Il en est de
os fruit; en elTct un arbre qui s'clève à
quatre
plus g
pieds, dont les feuilles sont aussi grandes , et qui porte des Glands
Llaucime autre espèce, est bien fait pour attirer l'attcnlion des
;s ctrangèros, et pour trouver une place dans le.s parcs et les
amateurs de cultures c
grands jardins.
Le bois du Chêne chevelu est d'une excellente qualité. Il est employé par les toui
neurs, les t^)enistes, les mcunisiers, les charrons, les tonneliers ; ou s'en sert dai
les constructions navales. La chair des Cochons qui ont ete nourris avec son Gland c
délicieuse , ferme et se conserve long-lems.
Le Chêne de TovRNrroRT, de mè
port et ses caraclèrcs botaniques, pa
pour les bonnes qualités de son buis
emploient dansleiirs constructions n
des cotes méridionales de la Mer-X
pente des maisons. L'arbre s'ëiève a une grande
La grande afliiiiié du Ché
que son bois peut leur être <
Toutes les parties du Cliène sont en j.
CCS propriétés, résidant éminemment dai
propre au tannage des cuirs On n'empli)
quinze à trente ans , quoique celle di
bonne.
C'est à la sève du printeins qu'on dcpouille le Chêne de son écorce ,
faut laisser sécher ii l'ombre. La meilleure est celle des arbres qui ont cri
un terrain scc. Celle de certaines espèces , comme le Tauzin ou Chêne de
rénces , parait aussi contenir plus abondamment le tannin, ce principe as tri
qui donne de la solidité au cuir en racornissant ses libres.
Lorsqu'on est obligé d'employer du bois encore vert, il sudit, dit-on, pou
donner promptcnient les qualités du bois sec, cl pour le garantir des vers ,
laisser dans l'eau pendaut quelques mois seulement.
le qu'il approche beaucoup du preccdent par sou
Ut aussi avoir avec lui une grande rcsscnddance
C'est hii et le Chêne a grappes que les Turcs
e il l'ar-senal deCoiistantinopîe,
a le plus souvent pour la cliarivales.
Onn ippoi
: d'Autriche
iipa
; les deux précédens doit faire croire
QOral stiptiqiies et astringentes ; ce sont
son écorce , qui la rendent la plus
orciinairement que celle des taillis de
bois plus vieux soit au moins aussi
qu il
dans
s Pyigent
L'aubier du Chc
leurs statuts, de l'employer,
iiltaijué par les vers.
BLI-KOS , ULIIAMLL , YARE>
et très-nia
e <iu'il pou
est défendu aux ou
:it facilement et 1 ; tarde
: FIIXILLE et H.VSS£NFH.ILz , o u i fait des expériem
sur le moyen d'augmenter la force
consistait à écorccr et h laisser séchcj
BLITON, surtout, avait été porté à faire
la solidité et la durée du bois , et cc moyen
les arbres sur pied avant de les abattre,
es expériences d'après VITRUVE et KVELIK.
Le premier a dit, dans son Traité d'Architecture, qu'avant d'abattre les arbres
"1 faut les cerner par le pied, jusque dans le coeur du bois; après quoi ils sont
bien meilleurs pour le
I.e second rapporte , dans
dans son Histoire naturelL
arbres sur pied dans
-vice, auquel on peut
son Traité des I'
, qu'autour de Halï
le teins de la sève
nèine les employer tout de suite,
, que le Docteur PLOT assure ,
, en Angleterre , on écorce les
•|u'on les laisse sécher jusqu'à
laissent pas <[ue de vivre sans
m se sert de l'aubi
irbre écorcé est pi
l'hiver suivant ; qu'on les coupe alors ; qu'il;
écorce; que le bois en devient plus dur, et qn
coeur , et que même le dessus de la tige d'un
plus fort que le bois tiré du coeur d'uu autre non écorcé.
Dans les exiiériences faites par Burros et par DLIIAMLL , les résultais ayant constamment
;omuie du
pesant et
été que des solives extraites d'arbres écorcés avaient un poids plus considérable
et exigeaient plus de force pour être rompues , que d'autres solives d'égales
dimensions prises dans des arbres non écorcés, ces deux obser;
<levoir en conclure qu'effectivement le bois écorcé avant <l'clre abattu devenait
plus dur, plus ferme , plus pesant , plus fort, et qu'il devait aussi être plus
durable. Mais plusieurs forestiers recommandables par leurs connaissances ,
entre autres M.M. BECKER, inspecteur des forêts à Rostock , et LIUROP, grandmaître
des forêts du duché de Bcrg, reprochent à BIFFO>- et à DCHAMEL de s'être
is qu'ils ont tirées de leurs expériences, et de n'avoir
ères avec toute l'exactitude nécessaire. Ils n'attribuent
;t la plus grande ténacité des arbres écoreés sur pied
., qu'il ce que le bois de ces aibrcs n'étiiit pas suflisanil'était,
dans toutes les proportions , beaucoup moius que
trompés dans les conck
pas d'ailleurs fait ces di
la plus grande pesante
par Bn-i-ojs et par Di:u,
ment desséché, et qu'il
i des arbres qui avaient été
; car c'était ave
faits( expeneiices comparative
il eîit fallu n'employer pour 1.
de dessèchement. Kt quand b,
sente , dans ce cas , les même;
ibatti
ec du boi;
Pour que
faire, que
i même h
:t qui avaient séché pendant deux ans
pris dans ces derniers que BCFFOS a
:cllcb-cicu
;cnt été parfaitement e
des bois (
nt par
. expéiic.
•il a obtci
• LÎL FI-ON ;
il
it prelenient
;e , n'a pu supporter
lems de sève et dèsrésultats
que le bois des Chênes coupés èn tems de sève , avec Ici
un poids aussi considérable que celui des Ciiêiies écor
sécbés sur pied avant leur abattage.
Il eût fallu que BLTFON eîit fait abattre pendant l'hiver les Chênes auxquels il
avait laissé leur écorce , parce qu'il est depuis long-tems démontré que les bois
abattus en hiver sont plus forts que ceux abattus en été.
Mais eu supposant ([ue les expériences de Bi TFOX ne renfermassent aucune
erreur et qu'il fût très-constant que le bois des arbres écorcés fîit plus ferme,
plus pesant, plus fort et plus durable que celui des arbres abattus eu hi\er, seraitil
avantageux de mettre cette méthode en pratique '! M.M. BiXKca et I.AVIIOI' se
prononcent encore contre ce moyen , paire ([ue récorceiuent des arbres sur pied
est beaucoup plus dispendieux ([ue celui des arbres abattus , et (jne le bois de
ces arbres devient d'un mauvais emploi , parce qu'il est sillonné de fentes.
M. BA.VDRI1.1.AIIT, qui a écrit sur ce même sujet, après nous avoir fait connaître
tout ce que MM. HIXKEU et LAUROP ont dit sur les bois écorcés , conclut par
dire que l'écorccinent des bois a rincon\éiiicnL de renfermer dans le corps des
7 5o
if
r . .
1