•niers, sont les insectes qui attaquent
s, les fruits, el causent souvent,
ds ravages a ces arbres. Nous ne
'une Icgcre atteiiile, tels que les
(bscure, qu'on trouve quelquefois
coup de dégâts, surtout dans les
Les êtres organiscsles pluspernicieiix aux Citn
indifféremment les racines, les tiges, les flein
par leur multiplication cxtraoniinairc , de grai
parlerons pas de ceux qui ne leur porlcut qi
Chenilles de l'Oritliie Nasicorne, de la Prioiie i
aux racines. La Courtiliere commune fait hem
semis; la Coccinelle sans pusliilcs, celle à vingt-di
ces arbres odoriferaus ; le Kermès des Ilosperidcs ( O
nx points, qui se promènent sur
--CILS J/esperidum) , qui s'attache
ncrvui
trouve
LVM.
quclq,
denon
met des tiges touffues ; la Casside .le l'Oranger, que l'on voit immobile
udes feuilles; laTrichienoble ; la Cetoiuefastueuse, qu
ou milieu des flcnrs; les Guêpes, les Amhribes, les Crabrons ( Crahron
, les Abeilles, qui biiliuent le pollen des ctaniiues cl (|ui, en rongei
le pistil,
> écarts de la
û les ont pri
icoimae telles
lisibles,
raud fléau des
et indique'i
]es plus ]
Le plus
de Dorthesie, conr
a M. l'Abbe LOQL EZ
nier, Dorlhesia CiU
lature
.(•s poi
s le
, et qu;
r des r
icctes s
ors, et
lom <!e
miptèr.
rps
I ). Cet Ib
: 2 ) , a l e c
ont jeté d,
larques ce
•nt ceux q
isilés biz ; qu<
• grandes méprises quelqu.
:s et constantes de variétés,
isent le plus de dégûts et sont
;n particulier des Limoniers, est ime espèce
Morfée , dont on doit les premières notions
, (pie M. Ilisso appelle Dorthesie du Citrodessus,
ile-obloug, bombé
•en dessous ; il est de couleur gris-cendré, passant au j:
six petits scgmens hiisans, garui eu ses bords par au
qui dépassent son corps. Ses antcimes sont médiocrc
sont petites, au nombre de sis, les postérieures pi
L'insecte malc différé par deux ailes longues, tr.m
corps ; ses antennes sont un peu plu. longues, plus délie
Cet insecte estassez rare et ne fait pas beaucoup di
lala
contraire se couvre d'une nialicre blanche, colou»
les fruits et, avec le lems, elle en recouvre les son
de ce duvet qu'elle poiul de cent cinquante à quali
ces oeufs sont éclus, los petits inscctcs qui en
plus tendres pour y sucer leiu-nourriture. I.es pontes
elles se succèdent pend.mt toutes les saisons de l'unnéc
tant qu'elles sont plus abondantes pendant les chalet
considérablement.
La propagation facile de ces inscctcs et leur
dégâts et occasionnent souvent la ruine dci
certain nombre d'années , plusieurs jardins du terroir de
infectés, que les Limoniers, principale ressource du pays,
récoltes fort médiocres.
On a successivement employé plusieurs moyens pou
un peu rende
itro-pûle, composé de
t de petits filets blanchâtres
à huit articles; les pattes
longues que les antérieures,
arentes, qui débordent son
et il a les pattes plus courtes.
X Orangers. La femelle au
qu'elle étend sur les feuilles et
itcs des rameaux. C'est au milieu
cents oeufs jaunâtres. Lorsque
•lent choisissent les parties les
ut point d'époques fixes ;
ce cette différence pour-
;t que le froid les retarde
(le multiplication causentd'éno
qui en sont atteints. Dcpiii
Menton en sont tellei
ncproduisentphis q»i
icnt
des
détri î les Dortiicsics;
( 1 ) M. rabWLoçnrz, très.Mvanl piiys-olo^lsle, amateur el cultiv
fail imprimer, i JSice en 1806, uu ouvrage qu'il a iuimild : Hi^toir
Fannie des Orangers, m.?', de îo8 prrgps. Je rcgrclle (juu le plan <li
faire l'aaolyie; mais l'accjuisilion en ilevicni iiiiils|ic;iis.-ihie jux ainuleun
( 2 ) MM, Risso , LoijUïî el Ansioo, nyj.il eu lacompIsiKinco,les
«cnler i ODS lecteurs un Iravail qui pùl Im , sur les maladies el Jcs ren
•u devoir r^uair leurs opiun
•tidéiàparld.CMldiii
aleur passionné 3cs arbres Ju icurp Cm-oi
! NaturelU de la Morfie , ou de l inficu
1 Nouvg*tr DcuAyzL ne me permcilu pas d'eu
et :iuz cullivaleuis ilrs arbres de ce genre,
jns el les iutres, de me faciliier les moyens de pri5-
lèdcs rjui sont propres à dimiiiiior lu mal ou n le luiro
Koyal el dont
le i dire r lt;a maljdieâ . que p
<•1 truej'cj e pufUa
ÉIUXKE MlCil
m .
on a pratiqué des incisions (
bitaus des arbres; on a fait dd'eaux
I j pour pr
=s famigall,
1 de taba
de chaux et de décocti.
me libre issue aux sucs cxorniffre,
réussi ( 2 ). Les pluies d'été, 1,
détachent celte matière blanche et
se développent, et en détruisentb<
de leur euveloppe cotoneus
Cilroniers et principalement
plus le même avantage.
Les feuilles des Orangers et des Limoniers sont q,
d'une grande tache jauu.'itre et concave ; c'est le signe
Gall-Iusccte qui s'établit dans cette concavité; nous le
me^coc-cwezw. Uisso. ).Soncorpscstboml)é, d'un r
yeux très-petits, deux antennes assez longues, tros-mc
insecte passe sa vie sur les feuilles , où il pond dix à (j
n t de petits individus d'un blanc nacré
des frictions de vinaigre,
de ces moyens n'a parfaitement
qu'elles tombent surtout par grosses gouttes,
:otoneusc, à l'abri de laquelle les jeunes'inscctes
ip; mais lorsque ces animalcules, dégagés
'C sont répand les dilfércntes parties des
la surface des fi les plu ; présentent
clquefoi
larqii
n de l'e
dans leur demi. accroissement.
de Jongucur, se meuvent
ils s'établissent en petites ù
feuilles,qui, iiepouvantph
sa lion des fluides, les élaboi
frent et deviennent languisi
causent, il faut cueilli
les briller.
ec une
nies. En
lors, pa
conveui
uissans. Pour
pendant l'été
int alors un.
rapidité e\trèn.
se propageant,
r suite des succii
iblemcntpourh
détruire cesani
toutes les feuil
5 en dessous
:e d'un petit
lommons Kermès rouge (A-cvugevil;
on y remarque deux
•iies, et six pattes bhmches, Cet
inze petits ccufs , qui donnent
ne prenant leur couleur rouge
uart ou un cinquième de ligne
i autour de leur demeure, où
s se répandent sur toutes les
is tropmiiliipliéeset l'exti-avavie
des arbres, ceux-c'i en souflaux
et remédier an mal qu'ils
qui en seront atteintes et
Les Cit
qui s'attac
qui attatpi
semble au
et formel!
De cette c
filets, ou liges
petite coiffe arr
togame, quoiq
une rapidité in
sa propagation.
Une autre Cryptogame parasite qui fait enc
une substance peu épaisse, d'un gris blancli
qui ne sont autre chose que les organes de le
nom de Liclicn des Orangers ( Lichen Aw
ouvcnt encore uu très-grand domi
X. Lu plus commune est le Dei
immeut les liges, les feuilles et les fruits. Cette plant,
re noire, dont les particules réunies s'étendent horizontal»
èce de croûte très-ni
voit s'élever pcrpeudicuh
i-Iis
•mers ep.
eut à Cl
indifféi
epoussit
une esp
oùte on
d'm
oiulie
lage par les plantes parasites
\aLiwn mo/wphj-llum. Ris
icevable.
e, ronferi>
nte sur le,
irtout dan.
qui finit par
ouvrir l'arbre entier,
•nbre infini de petits
ileur, portant chacun à leur sommet une
mt uuei)oussièi'e sc;ninifère. Cette Crypparlies
du Cilronior, s'y muliiphe avec
les jardins où l'iuimidité favorise beaucoup
c beaucoup de tort au>
re , couverte de petite
. Citrouicrs,est
s proéminences
r fructification. Nous lui .lonnons le
nlii. R i s s o . C e t t e ^dante est réelle-
( . ) 1 , qui conseille de même ces incisions, dit .
pour délniire de pflreillos iiife. lions sur les Figuiers r|>ii eu su
l'approrlie de l'automne, lorsqu'on ne redoute plus l« forU-s absu
esl immineuie. Ces luciaions doivent Iravcrsi-r le lissii corlual ef
culiiv
que l'i^coree irtermédiaire ne vienno ensuite
{ î ) M. Le docteur Arnaud nous fait pnrl
de San-Rsmo, Cette dame a observé que ci
de ses acbies, qui sonl garaulis, par ce mn
it(S par l'espérience eu fait u„g6
t .iir«nl5î 11 ajoute quelles ne doivent se faire qu'à
.lions et que l'(!poiiue du développemenl de la Morfie
CO Luriuai et aboulir à I .nubier -, une spiilo doit suffire pour
sur les aibies plus furu, mai;, assez disuutes l'une de l'autre
se détacher.
moyens qu'a (enl^s el qui ont r^'ussi à .Mme. :
n.(.-incs infectes se iwuriissent sur le Résed.i ;
1, d'une grande psnie du r.wage que ces auim
3 qu'oucuu de ces remèdes n'a r^u^si compK.itement, mais qu'iSlaul ôi
n Oranger
3
f : '
P".
H le succès.
a de le readre public,
t