n
fin de l'automne. Les fleurs qni épanouissent en mars et avril et les fruits qtii en prou
fruit de première fleur-, et dans ce pays, on le distingue
viennent prennent le ne
par le mot local Marst
ses fruits que dis moi;
Les fruits de cette flei
prccedens. Dans les .
placent, Les fleurs de
ils se
p.Me
den
des
ICO. La flcuraisun qui a lieu en mai et en juin ne donne
après. Celle sccontle reeolic se nomme fruit Je seconde Jleur-.
raison sont Irès-cstinies, mais il'iinc qualité inrérieiire aux
iUiices oii les premiers fruits
uillet et d'août ne (îonnciit des fi
anquent, ceux-ci les rer
lits qu'après l'annce révolui
. Le couleur
ut connus , dans le pays , soxis le nom à'Jouslen
. leur ecorce est cpaisse et elle contient peu de sucs. Si ap
de septembre et d'octobre, il survient de belles journées, ees
>uvelles fleurs qui sont disposées en corynube ; eelles qui so
Limons raboteux, à ecorce très-i?2)aisse , conlenant peu de
Sellcmbrini, c'est-à-dire fruits du moi.s de septembre.
« L'e'eorcedu Limon contient beaucoup d'essence aromaliqi
odeur forte et penetrante, limpide , d'un goût piipiant cl ai
que très-diflîcileuK^nt dms l'alk-jol le mieux reciilie ; elle
des
est d'ui
; les plui
ces arbres poussent
it fécondees donnent
sucs; ou les appelle
^,t!•ès-lcl'
position de VEaii dite des Carm
mandée pour provoquer les s
par distillation. Celle que l'on
se conserve long-tems et est ei
celle que l'oo'obtient par la di
enlever les taches huileuses fa
d'une
e se dissolvant
dans la comde
plusieurs liqueurs de table; elle est recomeurs.
On relire cette essence par expression et
ibtient par le premier moyeu a uue odeur agre'ablQ,
[jloyéedans diverses préparations de parfumerie ;
illatiou donne celte essence dont on se sert pour
tes toutes jrtes d'étoffes
Nous avons dit (pie rien n'était négligé d. les heureux p;
genre Citronier sont cultivés; il n'est pas inutile de faire
que l'on tire des fruits trop avancés pour être ex]>édiés , et
et la conformation ne permettent pas le transport et dont
On prend les Limons, dont on enlève les doux bouts ; cusu
ilève l'écorce que l'on met de coté ; l'a-il suit diff:
•ion. Dégages de leurs écorces , ces fruits sont mis
iblesà ceux dont on se sert pour L
uits; ou eu emploie dis ordint
, mis sous une presse pcrpeudi
tCi
celte opérati
près sembla!
sis cents fri
fruits, sont
comprime fc
passer dans
décante pou
pour les garai
pourrait nuire
Nous n'avon;
contei
Sicilie
bon de COI
aromatique de ces fru
opération prennent d'
doigts, de l'autre maii
sort un jet de suc qui
tions réitérées de l'ex
cutanés de l'écorce d;
de passer souvenl l'éj:
est bien imbibée , on
procédé paraîtrait lou(
est plus prorapt et plu
sOliv
allai
uent, le jus s'écoule en même tei
,econd. Lorsque le jus a acipiis t(
mettre dans des tonneaux sur )<
r de toute communication avec l'air exti
ce liquide.
idique, d'apiès M. Risso, (ji
• le
les dans les écorces du Limon , sav(
s, selon l'Abbé SIC-STIVI, que nous avi
connaitre. C'est dans l'écorce des Li
, chaci
Ces
lté la li
iquel;
les arbres du
connaître aussi le parti
c ceux dont la petitesse
„ veut extraire le jus.
te, ensixcoupsdc cou-
^ilemeulla prestesse de
dans des cabas h-peudesquelspeut
contenir
ibas, ainsi remplis de
sur les autres ; on les
n vase,d"où on le fait
ipidité désirable, on le
ni met un peu d'huile
dont l'oxigène
MICI
. Lu Sicile, deshoi
e main un morceai
m tient un morce;
introduit daus l'épt.
ixsion, le suc iie
1 éponge, mais rc
ge afin irculever (
exprime daus un A
des personnes qui
l'exp,
déjàc
fis qu
Tes d'extraire les essences
yn et la distillation. Les
ont un procédé qu'il est
iide riniile essentielle et
Tïinos ou des femmes habitués à pareille
, a m>ree qu'ils cou,priment avec ,let,x
lu d'épongé près de l'écorce, d'oii il
.lige et s'y accumule. Dans les opéras'élançant
pas entièrement des porcs
:stant en partie sur l'écorce, on a soin
jnlièreuient cet arôme ; lorsqu'elle eu
-ase destiné à recevoir cet aromc. Ce
. n'y sont pas habituées; uéaumoins il
la distillation, puisque SESTISI assure
CITRUS.
qnc' le lïieine peids d'e'eorees distille''
dis que l'imtre en a do
C I T R O N I E R , ,33
trois milliers pcsaut d'aronie, tau-
M. litsso njoutc ;
cspediées aux Liun
» Ou est parveuti
par le moyeu du mu
» Les semences S(
font 'des serais poi
résistent d'avanta{;e
» Les Cedratie
quatre milliers,
mplit de ees sucs et de ees arômes des bar
i du Nord.
rvcr de ees fruits, eu bou état, pendant plusieurs années,
^ soude.
;s en itsage par quelques praticiens. Les cultivateurs en
ou- des Limoniers sauvages qui durent plus loug-tems et
nitempéries de ratuu>splière.
ssi.sscnt pas également bien partout. Leur bois est dur, d'un
Ou re
.nadier,
1 conseï
•iatode
ut mis
iques qui f
ussu serre et ulanehàtre. Les feuilles, répamlues dans le linge, lui donnent nue odeur
agréable ; elles préservent le drap des teignes.
» Dans les cantons oit ees fruits sont aboudans, on relire des zestes une huile essentielle
, limpide, un peu moins légère que eclle des Limon.s. Elle joint i
suigmens, la suavité <le la rose. On eu sature laltool qu'on fait e
coraj)osition des liqueurs fines et des élixirs cordiaux.
» Le Cliinettier n'a qu'une tige noueuse et rabougrie, qui n'estd'aueui
les arts. Ses feuilles sont employées dans la distillation comme celles d
Ses (leurs, que l'on distille également, d,muent uue eau légèu-e, d'un g
quoique amer, qui approche un peu île celle de rOrangcr. Elles coi...„
quantité eon.sidérable d'huile essentielle , limpide, légére ; son odeur a quelque
analogie avec colle du Bigaradier, mais elle est moins piquante et plus suave.
itrcr dans la
ic utilité dans
1 Bigaradier,
itil ai,'réable)
« La p r e m i è r e eueillette des Chinois se fait dans le mois d ' a o û t ; la seconde un mois
après, avant qu'ils ne jaunissent, et on les expédie tels dans le Nord. l>our les confire
on ote la superficie de leurs écorces ; ou les met dans l'eau, qu'il est nécessaire dô
renouveler pendant quatre h cinq jours; onles blanchit ensuite au fou ; après les avoir
fait bien egouter, on les jette dans le sirop qu'on a confectionné suivant les nroeédi^s
ordinaires , selon qu'on veut les avoir secs, liquides , glacés o,i candis. Ces fruits
ainsi préparés, donnentune des confitures les plus agréables cl les plus sthomaehiques!
.1 Les Bergainottiers, sans être rares, sont moins cultivés.- La eueillctte dé
letirs Innts a lieu depuis novembre jusqiies en avril. Les écorces séehées avec
sou, sontemployéesidoubicr des bonbonnières; si o„ enlève les zestes |,arles moyens
ordinaires, on eu retire nue huile essentielle, des plus agréable.,, qui est d'abord d'une
eoi, eur verdatre, devient ensuite limpide, eten vieillissant, se ehange en jaune-paille.
(.ette essence, qu ,1 faut changer souvent de naeoii, afin qu'elle ne rancisse pas, est
d un tres-grand usage dans les parfumeries ; elle est plus pesante que les autres du
même genre, maisellc perd plus facilenientson arôme ; elle est la seule nui se dissolve
dans im alkool de vingt-huit degrés.
y> Le Pommier d'Atlara est euhivc plus [
!nt (,ue po
propage pourtant, parce que ses fruits,]
P»Ji à lai
ispi
ifiturc d
beaux plants^ si
agré ible
lesquels
selon Tvi.vii.1 , poussent avec pl
approche de celle du .lasiniii d'Ar,
les fruits ont un parfum qui joint
Limetticr; ils servent aux mêmes
est plus exquise.
I.a Sicileexcclle pour les eoiiBture
fout à sec ; on en e.xpédie des qiiautit
d'une autre manière , qui est très-c
r agrém
propre
-•xporté:
. r.es pépiniéristes enipl
Ml grefl'e toutes les variéti-s du ge
1 utilité. On lo
servent dans le
graif.
icilité. I.es fl
J /
il la suavilé du B
usages qu'eux, a'
d
Smnlmc ;
rallier
la diffc
loiqiie d'i
ne sont d'atie
clic de fOraii
eiiee que leur
' '1"
r et du
mfiture
is du genre qui nous occupe ; elles se
•s coiisulérables pour le Nord. Ou en prépare
stimée et que l'on notinne dans le pays Piutm
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