1 ' . 7. 5i
g i ' K U C l ' S A-.gylops C l l K i N K \i-liini
her,s5oes. II sdeve a vingt ou trenlo pials. Ses feuilles soit ovalos siuuees
Z t Z - T • ' " f ^ V " ' " . ' ' ™ ' ' r.,pp™cl,ees et presque obtuses. Ses glauds'
sont pciloucnlcs , a moitié reufcriiiés dans leur cupule. ^
Cette espèee croit naturellcuieut en Esp.gue , aux environs de Gibraltar : elle
est ctiltivee a Trianou. '
65. QIIEBCUS Jîgjloi». T.h. 5,. CIIÊNF, Vdlaiii. n 5i
Q. fom o«alis M s , ,„„,„„>„ C. i, re.iille, ov.le,, cotoiiiieii.es en d.„„us ,
— U , . u,„serri,„l,, „„,„„„„•,, <,e lobe. en,i„, „„e„ r
^ r m . r ' ^ r ' ' ' " Cli™e P.onre, d'apriis Tora-
AETO.T , 1 ne s eleve pas s, haut, selon OuviEa. Ses brauebes sont tôt ffues tortueuses
, etcudues asse. liori.ontalcnieut, revêtues dune c c o r c r lA t e c^ bri
anoiubcs a leur base, portées sur un pétiole long de neuf à dix lignes bordée
de gr«.s.s dents dont chacune se termine par "une pointe sétaeéc- ses W c
son épais.,es, coriaces, d'un ver, plus ou m'.us r„iie[s selon Iâ«e • in , u 1 i
en dessous. Les glauds sont courts , un peu creusés à leur sommet plus -ro
que dans aucune autre e.spéee d'Europe, enfoncés, environ au tiers o^ Lnoi't e
dans une cuptde dont les écailles sont libres i, leur partie supérieure , lar'es d W
ligne et den™ h deux ligues , longues de plus de six f les uiic's redress es , ï e ifutre
a demi étalées, cl les plus extérieures enfin un peu réfléchies en arriéré
d a ï i o ^ y t ; : : : •
^tiuVfa sàimv , à tubes mulu/ucs.
CIIÊN'E blanc.
C. à feuilles oblousiics, sinuées-plnoatifides ,
découpées en lolios obloiig, , „b,„, et te
]ili.. soaient trés-entieri ; à glanil, ovales,
])édonciiléa , ay.int leur eiipule chargée d eenilles
tuberculeases.
66. QI:E11CTJS alba.
Q. foUu ohlongh ,pinnatiJi<lo-simtatii, ladmùMon^
ts, oltmls, pterum(},ié intpgcrrimh
; glarnUùm Qvatis , pedîmculutis ;
ciipiiloe squamis tuhcrcutatis.
QUEBCUSo(4o. Lis. Sp. 1(14. -(Y
Amer. a. p. i3. t. i.
tt. QLERCLS V/^. Q
P. yuEncns rtp,,„ia. MI. ,,. I. c. t. 5. f 5,
TIa toutes les espèces ,1e Clicnes qui se trouvent dans l'Aii.érique septentrionale
-A. .Sp. 4. JI. 448. L.U,. Dict. I. p. ;JO. Mic». Kl. Arb.
n. 4. t. 5. f. ,.
il neii e.,t point, selon MM. M.cnux père et (ils, qui ait plus de reL
scmblance avec le Cbénc d'Europe, et notamment avec le Chêne à grappe
Le Cbcue blanc de l'.\niéri,iue septentrionale s'élève à soixante-dix"ouqu.trc-
•ii
, T
K'
l
f0 '
I
u