• f l
I
il
uue rigueur qui c:iplive,cl une fiicondite prodigieuse qui annonce combien cette
disposition est faite pour favoriser les efforts de la végétation.
On destine à cire plantés et cultivés en buisson les MeLi-Ri
Pompelmous; quelquefois on y admet les Ornngcrs et les Lii
isolés, places par intervalles et toujours arrondis. Ces individus, i
font UQ beau contraste avec les nrbres qui s'élèvent majestuci
rompre la monotonie des jardins , en on variant le tableau.
Tous les fruits du geni-e Cit.
froid. Les Cédrats , les Limon:
glace. Les Bcrgamotles, les Lin
un peu moins. Les Rayés, U
Oranges, surtout celles ii écorce line et a
au dessous de zéro au tlicrmomctre de ll«
Ne vivant point dans un état sauvage, ni dans son climat originaire, l'Oi
, les Chinois , les
liers; OD les voit
le moindre taille,
nent et servent à
• a moins sensibles à l'intensite' du
ns et leurs variétés se décomposent au degré de la
mettes, les Pommes d'Adam et les Chinois craignent
; Dorés, les Bigarades ré.-.islent encore plus, et les
rré, ne gèlent qu'a quatre degrés
exige les soins du cultivateur, et, d;
les labours lui sont indispensables. Si o
sionomie triste et languissante fait biei
en le négligeant ; ainsi, de quelque na
renient être fertile, il y croit de mauv
alimentaires , et paralysent par ce moyeu les germes affaiblis de li
la fécondité. Au moyen des labours, et en enterrant profondi
herbes, on délivre les jardins de ces êtres voraccs ; on les c
utiles, et l'on a l'agrément d'avoir tiré un parli excellent di
mgcr
ns quelqu'endroit qu'il se trouve planté,
:i le laisse daus uue terre en friche, sa phyitot
connaître les fautes que l'on counnet
ture que soit le terrain, qui doit néccssaiises
herbes qui y pompent tous les sucs
arbres. Les avantages des labours
;hcs de terre rapprochant les pr
ans. Ces
:alculables
ans plus fertiles coi
plantés soit remué sou
sait que le sol se dure
vialcs quand on négligi
qu'a labourer el divise.
:, devi
de le
le te
lucjpos qui
arbres'exig.
ent ils nepr
iperméable ;
r faciliter l'i
, sens.
végétation et de
it les mauvaises
convertit en fumiers
ce qui était nuisible
; par le mélange de diverses
mposentjils donnent lieu
c le sol sur lequel ils sont
it point; car tout le monde
•osemens et aux eaux plufillratiou
des eaux, il n'y a
lîn considérant q
il faut labourer la ti
labours du prinleni;
néanmoins l'être assi
coup de terre pour
celles qui n'auront pi
îiitfai
vigoureux , dont le développement occ
On doit faire une attention p.irtinnliî
issez j)our ces arbres précieux et importans,
re au moins deux fois l'an , au printems etii l'automne. Les
seront moins profonds que ceux de l'automne ; ils doivent
z pour enfouir les mauvaises herbes, qu'on recouvrira de beaules
faire périr. On ôtera soigneusement toutes les racines de
•té bien enterrées. 11 y on a plusieurs qui ont des germes
à la Bourrache surt(
a été destiné à vivre
Les labours de l'a
culiers , tels que cel
pendant l'été, qui usu
gers. Ces labours fc
premières pluies qui
vont désaltérer les racines,
les eaus pluviales se fi^ceraic
grémens et les maladies au
de l'automne ont cucore 1
c. la reproduction de ces ii
: y^irum, à la Renoncule
faut do en laboi
tlif et no rie
'lire plu:
jai
:glig
tomne doivent être plus ])rofonds ; ils
i de détruire encore les mauvaises lie
•pentdcs fluides précieux qui doivent
ident le sol pour le disposer ii rece\
ont'lieudans cette saison et qui, troi
plante.'
des Champs,
i le jeune plant
nt des avantages parti-
)es qui auront poussé
re réservés aux Oranir
plus facilement les
•ant libre passag
1 laissait à cette épocpie le terrain sans labours
r la surface de la terre, occasionneraient les désaj
sont sujets les jardins trop humides. Les labours
.ige de détruire les petites racines et le chevelu
qui en été poussent trop prés <lo la snr&co, cl,lo.it l'cxistencc cxnosorail les Orangers
aux rav.igcs (1 un froid trop rigoureux, et aux effets Jostrncteurs (le la carie • enfin
la terre soulevée reçoit plus aiscment les iniluenees (les rayons du soleil et les
prtncpes a,ine„s ; les arbres se nourri.sseut, s'(iclia„rfent el eonti.u.enl à resélcr
l.e(,reuseraent. Les terreslegeres (lemau.leut des lal.ours superlieiels i s. on les d,muait
->p prolonds, les arbres seraient exposés i, la sécheresse, ear trop nmltiplier les
iposcr les terres a uue trop grande exsiccalion.
ire (le fixer les
l'opinion
iifaccs, ser; iecation
oir lii
1 - ^luudc es
Avant de parler de fenscmble des élagucinens , il e
idées sur le moment ou l'e'[)o(iuc il la(iiièlle ils doivent
n'est pas la même parmi tous les ciiltivalcurs. Plusieurs ne se font lias un scrun
d'élaguer pentjaut la (leuraisoii ; mais, qu'on suppose teute l'adresse possille
au i.rdmier, ,resl difficile qu'il ne casse pas des rameaux, qu'il ne les froisse
pas , qii il ne delaclie ou ne brise pas .me quantité de lleurs, au prejiidiee de
la fécondité. Pendant que tout est Henri, il arrive rarement qu'on ne coupc p -
des boutons fructifères, et qu'on puisse vraiment r<
lonnaitn
L'éblouissant spectacle des fleurs, qui promet une :
?'coltc ab
d'illusion et reveille tant de flatteuses espérances,
jardinier dirige le fer d'une main tremblante, de L)
trop , il élague trop peu. N'élaguer qu'après la lleurai
dans le même inconvénient ; alors tout est tendre
monter sur un Oranger, ni passer d'une branche à 1
: est inutile,
iidante , fait tant
le, dans cette opération, le
; que, craignant d'élaguer
u, c'e.sL tomber à-peu-près
: cassant ; l'on ne saurait
itre, sans y faire de grands
dégâts ; la moindre s^ecousse! le moindre choc suffisent alors'pour causer des^préi
dices. blesser des bourgeons ou abattre des fruits. An surphis, les coupes que
l'on fait à cette époque sont d....^,
sève, il subit une forte extravasation d
viennent pourraient dessécher leurs •
Irisation très-dilïicile.
Le tcms le plus favorable pour élague
avant que la sève ne devienne trop abond,
rasser l'Oranger des rameaux superflus, ce qui facilite le prol
attendu que l'arbre éta
es fluides,
k'alves part
l i a n te
les bi
ucliymate
l'abord après
peut alors.
geons qui doivent fructifie 1- l'a
ou par un tems humide.
Dans les plantations en pleine t
de tous les avantages du clini
de bourgeons stériles, et lu v
merveilles de lu frucification.
Sur les côtes de Barbarie.
Desfontaii
e suivanie. On doit éviter d'é
rre, on n'est pas obligé
it et de la culture, 1
gétalion ne semble y
d'élaguer to
es Oiangcr.
exister que
alors en plei...
chaleurs qui sur-
:t rendre la cicagrande
récolte ,
LS crainte, débariigemcnt
des bour-
;,'uer après la pluie,
H les ans. Jouissant
poussent fort peu
pour s'occuper des
e laisse croître en pi
mtité; ajoutez à cela qu'il ;
dé'
l'elague point l'Oranger, dit SL le Professeur
le liberté, il y rapporte des fruits excellons
^ e les souffrances de la greffe, et que, dans
son état sauvage, il doit s'y dévclop]>cr avec plus d'énergie.
Le soin du jardinier chargé des élagnemens doit se borner à retrancher tout
ce qu'il y a de sec ou qui choque la vue , passer a l'examen des bourgeons inutiles,
qui portent coup à l'accroissement des autres ; euliu les rameaux que Ion
lit
être frappés d'une stérilité perpétuelle doivent être retranchés sans ménagement;
alors rOi-anger bien nourri déploiera une hrillaiite végétation et une fécondité
ravissante. L'art d'élaguer unit l'uiile à l'agréable; eu ôtant les rameaux tortueux
infirmes ou languissans , le reste produira abondamment, charmera la vue par
sou beau vert et son étonnant essor; car il est hors de doute qu'en coupant
les rameaux qui sont faibles , les autres se nourrissent mieux , se renforcent
1
i
n
*
f
r
M
t i