pas moins de ma, part. Heureux, f i m on applicationà
l'étude de la Phyfique <gr de l'Hifloire Naturelle pourvoit
un jour juftifier votre choix. Les grands Ouvrages, dont
plufieurs Membres de la Société Royale des Sciences de
Londres ont enrichi le monde Littéraire, la font regarder
comme une des premières Académies de l'Univers. C'efi
dans ces excellentes four ce s , M e s s i e u r s , que j ai
trouvé mes modèles, mes guides, mes maîtres. Vous
ne pouv’te \ avoir des droits mieux acquits fu r ma recon-
noiffance , fu r la vénération, avec laquelle je fu i s ,
M E S S I E U R S »
Votre très-humble & très-
obéilîànt Serviteur * * B
E X T R A I T D E S R E G I S T R E S D E L A S O C I É T É
Royale des Sciences, du 9 Janvier iyi>b.
Me s s i e u r s as t ruc & Combalusier, qui
avoient e te nommés pour examiner un Ouvrage de
M. * * * , qui a pour tit re , l'Hiftoire Naturelle éclaircie dans
l une de Jes principales parties -, fç a v o ir , l’Oryéiologieêcc. en ayant
fait leur rap po r t, la Compagnie a jugé que M, * * * foute-
noit folidement dans cette nouvelle production la réputation
qu il a meritee par fes autres écrits j que cette vafte & fidèle
Collection du Regne Minéral ferait auffi utile qu’agréable
aux Lecteurs 5 que l’ordre q u iy regnoit, les Difcours Préliminaires
qui preparoient au d é ta il, le nombre & la beauté des
I lanches , concouraient également à fixer dans l’efprit la
quantité prodigieufe d’o b je ts , que l’A uteur a pris foin de
raflemblerj que 1 Enumération des Folîîles de France ajourait
un nouveau prix à cet Ouvrage j que par toutes ces rai-
lo n s , on ne pouvoit trop fe prefTer de le rendre public par
1 impreflion. E n foi dequoi j’ai figné le préfent Certificat. A
Montpellier le 9 Janvier 1755.
D E R A T T E , Sécretaire perpétuel de la Société Royale
des Sciences.
A P P R O B A T I O N D U C E N S E U R R O Y A L .
Ï I H R de Monfeigneur le Chancelier, un Manufcrit intitu-
l’n 6 H H Naturelle eclmrcie dans une de fes parties principales , ou
1 Oryctologie, dans laquelle je n’ai rien trouvé qui puiffe en empêcher
1 impreflion. Fait à Paris le 10 Janvier 1755.
G U E T T A R D .
P R I V I L È G E D U R O Y .
1 O U LS j PAR r' A G S A c E DE D i e u , R o y d e F r a n c e e t
J_v de N A VA R R E : A nos amés & féaux Confeillers, les Gens tenans
nos Cours de Parlement . Maures des Requêtes ordinaires de notre Hôtel,
Grand Confeil, Prevot de Paris, Baillifs, Sénéchaux, leurs Lieute-
nans Civils, & autres nos Jufticiers qu’il appartiendra, S a l u t . Notre bien
ame J e a n d e B u r e l’aîné, Libraire à Paris, ancien Adjoint de fa Corn