v io le s -en compofent deux autres. L e poids de la tête Sc des
mâchoires prifes enfemble eft de 1 2 livres.
Un Ph yficien , dans une DiiTcrtation inférée dans les Journ
au x , dit que c e f t la tête d’un homme aflaffiné dans le lieu
& enterre tout chaud. Ces principes de vie qui fe font con-
lerves long-tems , ont agi fur la matière limonneufe qui entourent
cette t e t e , l’ont fait fermenter, & l’ont rendue fem-
a une F e r re de chaux ou de plâtre , que l’on coupe
au couteau. C e tte matière a incrufte le c rân e , enforte que
les os lont renfermes dans cette incruftation > & les orbites,
les narines & les autres ouvertures du crâne font les trois quarts
plus étroites que celles des crânes ordinaires. C e crâne s’eft
trouve rempli d’une terre fablonneufe, qui eft entrée dans fa
capacité a mefure que fes chairs & le cerveau fe font con-
lommes, & cela par les trous vuides des narines , des yeux
& des oreilles. C e tte terre aura caufé les incruftations internes
, de meme que les terres qui entouroient la t ê t e , ont
forme les externes. Les efprits vitaux qui reftoient à cette
te te , ont tait fermenter les terres voifines, & en s’y attachant »
ont accru fes partics,& les ont groflîes au point qu’on les voit.
1J autres Naturaliftes ont attribué la grofleur extraordinaîrp.
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Ê Ê m tetfia T eI ™ r ladiedes° s I H d’ab°rdies I w »
i S W >."■ B h H lu iftu au P0I11E que le crâne eft Udi‘ i *•»-
grolh & epaiffi confïderablement pendant la maladie de l’hom- me Exoiiofe-
m%mU 1'. c| ', morE« -d-a--n-s-- c-met métmat *: ces os ont CéLtCé BenfuSite aduurrcciiss
oc pétrifiés par la qualité des craies & des terrçs qui entouroient
cette tete. Ç ’eft le fenti-ment le plus probable &
qui a ete le mieux reçu.
Deux vertèbres humaines,tirées des montagnes de Rasmfe.:
' M d u,nll0mme avec fes d en ts , doht une eft jointe
a 1 os de 1 épaule : on l’a trouvé, dans l’Iftrie. D- Leyei.ia
CarnioUes , ou fragment d’un crâne humain. lilis s“eci*'
Mâchoire humaine, avec les alvéoles où étoient les dents, (t) Re™.
, cadavre entier trouvé dans une mine de v itr io l, de n i- fobterranei,
ture de corne. , *»». j. de eupris
fol. 17.
QUADRUPEDES, ■ I ■ H _ The Philo-
L e fcheleton d’un Quadrupède à q u e u e , qu’on cr‘oit a voir H H
ete un Singe,rapporté par (b) Swendenborg. j
Une partie du c rân e , où font les deux cornes d’un T au - c w L "
eau carnacier demi-pétrifié, venant d’Ethiopie. BmIIm.
T t ii