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T e s s o n ote l e C o r a i l a v e p e t é
en rr/ueiefenr cndrxnis' '.
¿ e .j ít l^ A d v O C a í C<m ?duRoyensesConseilsÆ aareO rdt iCfuunlre m
P e a n . is .
, . J c t o l o g i i , I I I . P a r t i e .
acquière la belle couleur que nous lui connoiffons. 3 3
L e Corail eft également dur dans l’eau & hors de l’eau -
les crocs de fer avec lefquels on le tire de fon rocher . font
connoître ou il e ft dur puifqu’il réfifte au fer. Quand il fort
eau g 1 extremite de fes branches eft plus molle , & on
peut facilement féparer l’écorce de fa fobllance : comme le
Corail prend exactement la forme du corps folide auquel ft
s attache aifement \ qu’il l’embraflc & le tapifle au f i n s
comme au dehors, on ne peut guèresdouter que fa fubftan.
ce n a ît ete un peu molle & fluide dans fa fo ïmatfon , aTnfi
que la matière des vermiflèaux .& des corps marins Comment
fans fuppofer cette fluidité pourroient-ils fe glifTerdans
tous es petits trous des corps durs ï Comment pbmroknt-Us
r r j c C° le r ’ Pour ainfl le deflous d une, fuperficie 2 * r e , f o r le deffus &
Pai un teflon ou couvercle d’une crache de grès antique p
B B I m e r , où le Corail s’eft f t e n d u u rk s
bords en deflùs & en deflous, comme aurait pù faire de la
cire fon d u e , non-feulement dans un endroit du teflùn mais , i l L‘, ‘ r"’
en plufieurs : on en voit d’autre» où il a végété & formé des ï l l â ÿ -
bouts de tiges alTez groflès, & de la longueur de trois pou- ü É P P
H O m g B g S “>«“ f»rface,, c o / c e ï f S Z X 7 i e 1 nc PFC% ie entièrement couvertes de vermif- V i ï& r " *
féau x , dont il y en Î plufieurs de re lie f, comme en B B B
ï faudrait des preuves vùftoneufes pour prouver „ comme
on le prétend que le (a) Corail étendu & végété fur et
BautreB choffe lqui un ■e mu HltituBde Mde pe ti*ts Hinfectes i*m pWercep»ti- J Z lZ Z
bles , réduits- en flegmes fur le terfon q u i leur a fervi d’abri
■ H ■ 6l» B ■ I g H comme le , E t ?2*S£
coquillages, ü n ajoute que ces vers ayant enfuite pris quel- H
que confiftence, ont formé peu à peu le C o ra il,& pont fait i f L T “
l ü eft des Plus n ou ve lles, demande , évieM
d w “ ! P deXi,erlenceS’ Pô«r é ta b lir c e que
L es vernwiTeaux ont au-lîî travaillé fur la foperfîcie d’un-aa-
M 1 | Plus mince & Pi«* moderne , qui peut
“ ÿ P " d“ aU Prcm,er= quoiqu’il foit infiniment m oins * « * .
eonfiderable. Ces animaux ont formé un beau groupe fur le p*
W d e i ’ouvertnra de la c r a ch e , dont ils ont B K X £ * T T ~
découvert» Rien n eft fi ordinaire que de trouver de»