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i. La face articulée avec la grosse apophyse de l’enclume.
h. g. La base qui bouche la fenêtre.
Fig. 4 * Cette partie représente l’intérieur de la caisse, séparée du rocher. La suture
est indiquée sur la. fig. i de la planche précédente. On peut consulter ,
pour l’explication du détail, ce qui en a été dit auparavant.
a , b. c. d. La tête du marteau qui touche l’enclume par deux facettes ; la plus
grande , a. e.\c. , répond à la facette y. (fig. 2)$ la petite se réunit avec la
facette è du même. Voyez la plus inférieure des figures , n° 2.
g. On remarque en cet endroit la continuation des fibres du marteau. Elles
forment une petite côte soudée au bord de la caisse, qui imite imparfaitement
son manche , ou l’apophyse de Rau.
a. g. Son bord escarpé, qui répond à a. g. de la fig. 1. pl. X X V .
c. m. La lèvre osseuse vue de profil. C’est la partie D. E. des fig. 2 et 4 de la
planche XXIII. *
lu i. k. I. m'. n. Deux côtes divisées par un large sillon. Elles emboîtent une
saillie correspondante du labyrinthe n. o. I. h. p. de la fig. 1. pl- X X V -
La suture H. C. C7. P. Q. de la fig. 1. pl. XXIII en marque la reunion.
n. o. Le sillon qui communique avec le méat extérieur de l’oreille.
P L A N C H E X X V .
Elle représente le rocher avec la caisse d’un grand cachalot, vus de diffe-
rens côtés j le siège du limaçon, et la réunion des osselets de l’ouïe.
Fig. 1. Nous renvoyons , pour l’indication des parties désignées par des lettres
majeures , à l’explication des fig. f et 2 de la pl. XXIII.
a. La fenêtre ovale, bouchée par la base de l’étrier j d. g. ses bords.
b. fi. e. L’ouverture qui reçoit la tête du marteau.
c. La fossette dans laquelle s’ajuste la fasse convexe de l’enclume. Voyez ci-
dessus l’explication de la fig. 3.
i. L ’éminence sur laquelle se meut l ’apophyse moindre de l’enclume.
K., h. Le canal du nerf facial.
g. Une petite éminence semi-lunaire.
c. L. Une cavité désignée en H , fig. 2 et 4 de la pl. XXIII.
Fig. 2 et 4. Elles représentent la réunion du marteau avec l’enclume * et de celui-
ci avec l’étrier.
b. c. La tête du marteau.
g. L’apophyse décrite par Rau.
w. s. t. v. L’enclume.
s. W. L’apophyse longue, articulée sur l’étrier en w.
t. v. L ’apophyse courte, dont t. s’articule avec i. de la fig. 3.
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w. x. Tubercule pour le tendon du muscle de l’étrier.
jr. z. La base ou la platine de l’étrier.
Fig. 3. On voit ici le rocher , la connexion de l’enclume avec l’étrier et le
limaçon.
a. b. c. d. L ’encluine.
d . f g. L’étrier, bouchant la fenêtre cochléaire.
h. i. K. q. Ce sont des protubérances du rocher. Leur extrême dureté ne permet
de les entamer qu’à coups de ciselet.
I. m. n. o p . La ligne spirale , marquée par des points, indique le limaçon ;
les autres parties portent les mêmes caractères dont on a fait usage dans
la fig. 1.
Fig. 5. Les osselets de l’oreille sont ici représentés en profil, pour montrer l’angle
de leur réunion en z. w. s.
w. Ici l’apophyse longue de l’enclume se termine en petit osselet lenticulaire
soudé à son extrémité. Les caractères sont d’ailleurs les memes que dans
la fig. 2.
P L A N C H E X X V I . -
On voit ici la caisse du côté intérieur, sa connexion avec les osselets de
l’oreille , et le limaçon.
Fig. 1. Cette partie de la caisse est séparée par la scie dans la direction M. T. ,
fig- 4- > pl* XXIII. Elle s’y trouve désignée tout entière par A. B. C. D.
E. T. M.
Les osselets sont représentés différemment de ce qu’011 a dit dans la fig. 4
de la pl. X X V ; mais ils sont reconnaissables aux mêmes caractères.
«r. 5T. v. indique le sillon auquel s’attache le ligament capsulaire de l’articulation.
La fig. 2 , comparée à la fig. précédente, n’a pas besoin d’explication.
Fig. 3. C’est le rocher avec la caisse, comme ils sont représentés à la fig. 1 de la
pl. XXIII.
Le limaçon se voit à découvert, après avoir ôté les parties qui le masquaient
en/, g. h. i. k. d. b. e. , ainsi que la partie F. G. qui couvrait a. c.
dans celle-ci.
a. b. et a. d. sont les deux rampes du limaçon, séparées par une lame spirale
extrêmement mince et fragile.
Fig. 4. Elle représente le limaçon avec le petit vestibule du côté postérieur.
a. b. e. i. k. L ’apparence d’un vestibule.
a. Une écaille osseuse fort mince, qui forme la séparation entre le vestibule
et les rampes du limaçon.