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Fig. 7 et 8.C’est la caisse réduite au quart de sa grandeur. Les differentes parties
déjà indiquées précédemment seront expliquées plus en détail à l’article de
la fig. 12.
J1. 6. Ici s’attache la trompe d’Eustache.
<*. fi. y. à. Les filets osseux qui soudent la caisse au rocher.
Fig. 9, io , i i . La fig. g représente le marteau de grandeur naturelle, du côté
extérieur.
La fig. io présente sa facette articulaire tournée contre l’enclume.
La fig. i l , son côté intérieur.
h. Le manche constamment soudé en «) de la fig. 7 ,8 et fig. 12.
a. b. c. Le plus petit plan de la facette articulaire.
b. c. d. Le plus grand de ces plans. Ils touchent aux facettes correspondantes
de l’enclume.
b. g. Une petite apophyse crochue du marteau , qne l’on yoit mieux à
la fig. 11.
e. Une petite éminence.
i. k. h. Sillon creusé dans l’apophyse grêle du marteau.
Fig. j2. L ’auteur a représenté dans cette figure les parties les plus intéressantes
du rocher et de la caisse, dans leur connexion et de grandeur naturelle. Le
labyrinthe est entièrement ouvert. Les lettres majuscules indiquent les parties
déjà expliquées dans les fig. 5 et 6 , aussi a. fi. y. è. e. y.
Q. L ’empreinte saillante du sillon Q. tj. de la caisse. J^oy. fig. 8.
a. b. c. d. e .f . Le bord auquel s’attache la membrane du tympan.
c. d. e. Sa partie masquée par la caisse.
q. a. La distance entre la caisse et le labyrinthe, qu’on voit ici en rac»
courci.
h. q.m. I. Le limaçon mis à découvert.
q. n. Le bord de la fenêtre ronde.
K . n. m. Une rampe du limaçon. Elle est toute osseuse, mais il manque une
portion enlevée de l en m.
w. x . n. Sa rampe opposée, correspondante à la fenêtre ronde.
K., x . n. L’ouverture qui aboutit au vestibule n.
S. t. u. v.Le canal du nerf facial, ou portion dure de la septième paire,
r. Le siège du muscle de l’étrier.
K. w. x . L ’endroit de l’expansion du nerf acoustique.
y. f. ©. e. Le bord de la caisse auquel s’attache la trompe de Fallope,
D É S P L A N C H E S .
P L A N C H E X .
175
Cette planche, exécutée par le graveur de Sève , représente les mâchoires
inférieures d’une baleine.
Fig. 1. A. B. C. La mâchoire du côté exterieur.
A. K. L. Son condyle.
D. L ’apophysè coronoïde, qui est très-peu saillante dans ces mammifères.
C. G. L ’endroit de la symphyse.
a. b c. d. e .f . g. h. Les trous mentonniers, au nombre de huit, distribués
par toute la longueur des mâchoires.
Fig. 2. La mâchoire inférieure du côté intérieur.
D. E. F. G. Une gouttière superficielle.
D. K. H. L’orifice du canal dentaire.
a. b. c. d. e .f. Ces trous communiquent avec le canal dentaire , et semblent
donner passage aux nerfs et aux vaisseaux distribués dans les gencives et
dans les immenses lèvres qui enveloppent les fanons.
Cette mâchoire , mesurée dans le sens de sa courbure, ayait 20 pieds
6 pouces de longueur, ou 6 mètres 337 millimètres.
mètres
A. C. , ou la corde de l’arc, 18 pieds 8 pouces ( 5,845).
mètres
A. K. i pied 4 pouces ( 0,418).
D. E. Presque 2 pieds (0,627).
F. B 10 pouces (o,263).
G. H. 11 pouces (0,287 P
L. M. ( fig. 2 ) 1 pied ( o,3i4 ).
N. O. 1 pied 6 pouces (0,471 )•
Les condyles ayant été mutilés , on n’a pu les bien représenter, ce qui se
remarque principalement dans la figure 2.
P L A N C H E X I .
C’est le crâne du GibbarPhysalus de Linné, ou Vinvisch des Hollandais.
Le squelette de cette baleine étant suspendu à la hauteur de neuf mètres ,
dans le corridor de l ’hôtel-de-ville à Bremen , l’auteur n’a pu donner à ses
figures la même précision qui fait le mérite des autres planches.
Fig. 1. Le crâne vu dans sa partie inférieure. Les mâchoires inférieures sont
placées dans les orbites, et renversées, de façon que les apophyses coronoïdes
se trouvent tournées en bas. Elles auraient dû être placées dans les fosses
glénoïdes F. E.
S. U. Les apophyses coronoïdes tournées en sens contraire par le renversement
des mâchoires.
A. C. N. L’os maxillaire du côté gauche.