
U. Y . x . s. Le condyle de l’occiput.
K. Iip. o. q. r. La portion supérieure de l’occipital.
o. z. n. m. W. I. k. h. w. q. Le temporal, dont la partie k. I. W. reçoit le’
condyle de la mâchoire inférieure.
n. v. u. y Le prolongement du frontal, qui forme le plafond des orbites.
SI. b. L ’apophyse ptérygoïde du sphénoïdal.
a. b. c. d.f. La caisse du rocher.
e. d .f. L ’entrée du méat auditif dans la caisse. Son canal cartilagineux vient
aboutir en i vers le bord postérieur de l’os temporal.
e. g. h. L ’apophyse postérieure du rocher proprement dit. Elle s’engrène dans
un sillon que nous avons indiqué dans les figures précédentes.
y. 3. Le trou déchiré postérieur qui donne issue au nerf vague, au glosso-
pharyngien et à l ’hypoglosse.
P L A N C H E IX .
Celte planche explique en détail la structure de l’organe de l ’ouïe des
baleines.
Les quatre premières figures représentent le rocher avec la caisse , du
sujet de la pl. IV.
Les suivantes sont d’un autre sujet qui paraissait adulte.
Fig. i . C’est ici le rocher avec la caisse, représentés au quart de leur grandeur
naturelle.
S. R. Q. M- O. P. La caisse.
Q. R. Sillon qui paraît diviser la caisse par un, étranglement assez profond.
M. L. La partie supérieure du rocher.
G. La grande apophyse postérieure.
M. Q. O. La partie antérieure de la caisse. Elle est fort évasée.
S. L’extrémité postérieure de la caisse.
La membrane du tympan se trouve dans cette partie, sous R. S.
Fig. 2. Le labyrinthe, ou rocher proprement dit.
L. M. A. C. D. Sa partie supérieure, dans laquelle se trouve le labyrinthe.
D, F. G. L’apophyse du rocher , uniquement destinée à l’attacher entre le
temporal et l’occipital.
A. B. E. Le trou du nerf facial.
B. Une cloison qui le sépare d’avec le trou du nerf acoustique.
F. L ’entrée du méat auditif externe.
W. La base d’une petite apophyse fort aiguë.
Fig. 3. Le labyrinthe de grandeur naturelle.
A. B. E. L K. h. Le conduit du nerf facial. 11 n’a de voûte osseuse qu’entre’
E et i.
B./, c. d. I. Le canal auditif interne , ou l’entrée du nerf acoustique dans le
'limaçon. On l’a détaché pour mieux faire voir le vestibule.
f . c. Une partie de la rampe qui aboutit dans le vestibule.
a, b. I. C. D. Une partie des parois du vestibule.
/. û. Le canal du nerf acoustique. C’est par son extrémité inférieure qu’il
aboutit à la fenêtre ronde e. b. g , qui est bouchée par une membrane.
a. c. d. b. g. e. Le vestibule.
a. K. L’étrier.
F. Iv. Le sillon du méat auditif externe.
f . c. La cloison, qui sépare le conduit du nerf facial d’avec le limaçon.
Fig. 4. On retrouve ici la même partie du rocher, mais tournée plus obliquement
, de façon qu’on puisse voir toute la cavité du vestibule. Aussi la voûte
osseuse du canal /. d. b. ( fig. 3 ) est enlevee.
A.U. C. E. D. sont expliquées précédemment, ainsi que a. b. d. c . f e. g.
K. n. L ’étrier. Sa platine est visible dans le vestibule.
K. Son extrémité supérieure^ articulée sur l’enclume. Sa petite apophyse ,
qui aurait dû se trouver en l , n’est pas exprimée, par l ’inattention du graveur.
Elle sert d’attache au muscle de l’étrier, logé dans la cavité l. e. D. O.
c. d. a. r. q. Le vestibule.
r. d. q. La membrane qui bouche la fenêtre ronde.
n. Ici le nerf facial passe par-dessous l’étrier. Il accompagne son muscle dans
le sillon D. G. fig. 2.
Fig. 5 et 6. Ces deux figures représentent le. rocher avec la caisse d’une baleine
beaucoup plus grande , réduits au quart de leurs proportions naturelles. Les
apophyses y sont plus fortes, et la surface en est plus rabotteuse. On observe
les mêmes phénomènes dans le développement des parties analogues de tous
les grands mammifères. Les différentes parties sont indiquées' par les
mêmes caractères dont on a fait usage pour l’explication des figures précédentes.
La sixième figure présente le rocher tourné de façon à faire voir les filets
osseux a. /3. et y. f par lesquels cette partie tient à la caisse , et dont les bases
rompues sont indiquées en I et K de la fig. 2. La fragilité et la ténuité de ces
filets sont cause qu’ils se brisent au moindre choc : il ne reste alors que la
caisse séparée du rocher.
y. i . L ’apophyse, à laquelle s’attache le manche immobile du marteau. F"oy. r,
de la fig. 7.
ç. La partie supérieure de l’étrier.
e, y. £. j3. C’est une partie du rocher (M. L . fig. 5 ) qu’on voit à travers Couverture
de la caisse.