
Fig. 3. Le larynx de grandeur naturelle ? yu de profil.
A. B. D. E. Le cartilage thyroïde.
F. C. G. H. S. Le cricoïde.
C. B. K. L’arythénoïde.
A. I. P. L ’épiglotte.
Les appendices ou tubercules des arythénoïdes, que Winslow appelle ses
cornes, sont fort longues dans le dauphin vulgaire. Il m’a paru, dit l’auteur,
que lès arythénoïdiens n’allaient pas au-delà de B dans le marsouin , fig. 4,
et que l’appendice , ou sa corne , descendait, par sa partie inférieure , de B
en Y , et remontait ensuite jusqu’en M.
P. L ’épiglotte. Sa lèvre supérieure N. P. O. semble composée de deux cartilages
P. N. et M. O.
N. M. O. L ’ouverture du larynx.
T. H. Q. R, La trachée. -
T. Les muscles arythénoïdiens.
Fig. 4* C’est le larynx dans sa partie postérieure. Les caractères sont les mêmes
que ceux de la figure précédente.
Fig. 5. Ou voit ici l’oeil gauche de grandeur naturelle. La cornée est petite, le
cristallin de forme presque sphérique , la sclérotique tendinp-cartilagineuse
comme-dans la baleine.
La prunelle est transversalement ouverte , comme dans tous les cétacés.
P L A N C H E X L IX ,
C’ est le crâne du marsouin dans sa partie inférieure. Il est obliquement
tourné pour faire voir le rocher et la trompe d’Eustache dans leur site naturel,
et en conexion avec l’os hyoïde.
A . B. C. Le rocher du coté droit.
A. C. Sa connexion avec le temporal. Elle a été expliquée précédemment.
I. b. B. La caisse H. I. Le méat auditif externe.
Le conduit guttural de l’oreille s’attache en B. Son ouverture communique
avec la fosse nasale,.sous l’échancrure de l’apophyse ptérygoïde G D. E.
Ces conduits, fort amples dans ce sujet, étaient remplis d’une infinité de
vers extrêmement minces.
L ’os hyoïde est composé , dans les sujets adultes , d?une seule pièce N. L.
L. N. Elle est séparée en trois portions dans le marsouin nouveaU-né. ;
L . K. L. K. Les osselets granifôrroesl Ils étaient cartilagineux dans ce sujet,
ainsi que dans d’autres individus fort âgés. •• •
K. C. K. C. Les apophyses styloïdes, qui sont très-répaisses. Leur partie os*
«euse se prolonge en L L ’articulation se fait au moyen d’un cartilage C. L
dans la fossette C.
0 , P. /. K. La mâchoire inférieure du coté droit.
K.. /. La symphise,
m. Les trous mentonniers.
e' ƒ■ g- K. /. La mâchoire inférieure du coté opposé, vue par sa face
interne,
e . f g. L’ouverture du canal dentaire.
Q. R. S. Le plafond de l’orbite.
Q. R. X . Z. L ’apophyse grêle de l’os jugal.
U. Y . Les condyles occipitaux.
a. b. La gouttière, qui communique avec le trou déchiré postérieur.
CTq Cf<5
P L AN CH E L.
Ces trois figures donnent la représentation de la tête d’un marsouin
nouveau-né de même espèce. L ’auteur avait en vue, de faire connaître les
dimensions relatives du cerveau et du cervelet, l’origine des nerfs.dans la
base du crâne, et la distribution du nerf vague et hypoglosse à l’extérieur.
1. a. b. c. d. e .f . L ’occipital,
d. e. Le condyle.
d. c. Le grand trou occipital.
g. h. La base du sphénoïde.
. h. ( du côté intérieur). L ’endroit de la selle sphénoïdale.
. k. L’aile d’Ingrassias, ou l ’apophyse transverse du sphénoïde.
I. i. Le frontal.
1. a. Le pariétal.
b. n. Les prolongemens de la tente du cerveau.
2. Le nerf optique.
3. Le nerf oculomusculaire.
4* Le nerf pathétique. »
5. Les nerfs trijumeaux.
6. Le nerf abducteur, ou de la sixième paire.
7. Le triple faisceau de la septième paire ; facial, acoustique, et la branche
de Wrisberg.
8. Le nerf vague , ou pneumogastrique.
9. Le grand hypoglosse.
m. n. L’orifice de la trompe d’Eustache, communiquant avec la fosse nasale
aurdessus de l’ouverture horizontale de la gueule 7.. 6.