
■ao6 E X P L I C A T IO N
M. N. O. I. O. y. Les muscles transversaux de l’abdomen.
P. O. K. fi. Les fibres musculaires de la queue.
Q. R. S. Le testicule gauche.
Q. R. L ’épididyme.
W . S. Les vaisseaux spermatiques et panipiniformes,
T. E. F. La vessie urinaire , ses deux ligamens.
T. F. T. E. semblent dérivées des artères ombilicales.
U. Y . Le rectum.
Y . Z. M, N. Le testicule droit, couvert en partie par le muscle transversal
de l’abdomen.
X . D. Les vaisseaux spermatiques du testicule droit.
a. b. Les glandes sur-rénales.
b. c. Le rein gauche. Il est divisé en un très-grand nombre de petits lobes
qui représentent une grappe. Ils sont arrondis et conformes à ceux de la
baleine. La tunique extérieure du rein gauche est enlevée pour en faire
voir la structure.
d. e. L ’aorte.
e. Les troncs des artères mésentériques,
/. m. I. m. Le prolongement inférieur du diaphragme. Sa portion supérieure
en est séparée pour mettre les poumons à découvert.
ƒ- g- — h. i. Les poumons.
Les reins remontent au-dessus du diaphragme, comme dans l’homme.
Fig. 2. On a représenté ici les rudimens du pubis, et comment s’y attachent les
corps caverneux.
I. y. et H. fi. Les rudimens du pubis restreints à deux osselets grêles, légère*-
ment courbés par leurs extrémités inférieures,
6. et i. s. Les corps caverneux réunis en f,
f. jj. L’urètre.
I. fc. — H. v. Les ligamens des corps caverneux,
c. s. 6. La verge coupée transversalement. Les corps caverneux ne sont pas
divisés par une cloison, mais confondus, comme dans la bal.ein,e.
■7r. Une grande artère, qui traverse l’intérieur des corps caverneux,
P L A N CH E X L V I I I .
Cette planche fait voir la structure des narines et leurs annexes in situ., L’oeil
et le larynx de grandeur naturelle.
Fig. i. C’est le crâne du marsouin dans sa partie supérieure. Les; narihejS sont
D E S P L AN CH E S .
ouvertes pour démontrer la structure des poches qui sé trouvent sur le
passage de l’air.
a. b. c. d. e .f ,g . h. i. I. L ’os maxillaire, du côté gauche.
I. i. K. y . I. E. L’os incisif.
Y . 72. o . p . q . r. et s . t . Le frontal.
u . s . t . La portion antérieure de l ’os jugal.
Y . n. f. W. X. L’occipital,
W. X . Le condyle gauche.
X . Le trou occipital.
72. o . p . z . f. Le pariétal.
p . j . z . Le temporal,
772. a. — 772. a . Les os nasaux.
v . 7t. 7r. Les trous pour les ramifications de la Seconde branche du nerf de la
cinquième paire.
$. y . Les tubérosités des os incisifs.
M. K. L. C. D. E I. H. G. L’appareil compliqué des poches distribuées à
l ’extrémité des fosses nasales.
A . B. L ’évent, dont l’ouverture est simple.
Cette narine impaire communiqué sur les côtés droit et gauche , avec les
poches Y . D. et A. G.
N. C. D. E. La poche latérale du côté gauche , ouverte pour en montrer les
plis. Elle s’ouvre dans la narine en Y .
M. R. F. et L. K. N. Les poches postérieures qui s’étendent par-dessus les
os nasaux. L ’intérieur n’a point de membrane colorée. Leur substance est
composée d’un tissu plus épais et cartilagineux, qui les rend propres à de'
fortes contractions.
H. E. I. Les deux poches antérieures. Toutes ces poches ont des ouvertures
séparées pour communiquer avec le conduit des narines.
Fig. 2. La narine impaire A. B. étant séparée, avec la partie supérieure dès poches
latérales G. et D . , on voit mieux la structure de ces organes. Le fond est
mis à découvert par l’écartement des plis qui en cachaient le plancher.
F. N. Q. L ’ouverture des fosses nasales communiquant avec les poches latérales.
Les bords paraissent se contracter à volonté, et se fermer au moyen*
des proéminences R. S ., qui s’adaptent dans l’échancrure opposée.
C. D. E. et F. G. H. Le fond et l’intérieur des poches latérales, tapissées
d’une membrane pituitaire de couleur noire.
A. B. et F. N. Yalvules ou soupapes qui empêchent l’eau de pénétrer des
narines dans la iTachée.