
2 ,4 E X P L IC A T IO N
Fig. 2. Les parties sexuelles d’un foetus femelle , de grandeur naturelle.
B. L ’anus.
A. C. B. La fissure de la vulve.
A. C. Le clitoris. „
R . L’orifice du vagin.
D. E. — F. G. Les bords des sinus recelant le mamelon. Ce dernier est représenté
en H , à côté de cette figure. Les bords de la commissure F. G.
sont écartés. Ce mamelon était déjà perforé jusqu’en I.
Fig. 3. Ce sont les osselets qui représentent les rudimens du pelyis. Ils sont
cartilagineux dans les nouveau-nés.
Le corps caverneux du clitoris, avec l’appareil des muscles,«’attache aux
bords antérieurs et intérieurs de ces osselets. L ’urètre, le vagin et le rectum
passent entre deux: *'
Fig, 4 et 5. Ç ’est la portion supérieure du tube alimentaire d’un foetus mâle.
L ’estomac est multiple, oomposé d’une sorte de gésier et des estomacs
proprement dits.
A. E. D. La dilatation de l’oesophage.
E. B. C. Le premier ventricule ou estomac. Il est d’une texture musculeuse ;
les alimens y subissent une première coction.
D. E. F. O. Le second estomac , à l’intérieur duquel on observe neuf val-
ovules longitudinales. Tyson en a déjà représenté la structure.
I. K. L M. fig. 4- Sa communication avec le troisième estomac F. H
N. Q. P. R.
O. T . R. Le duodénum. Cette partie a été prise parCuvier pour un quatrième
estomac. M. Camper en a pensé différemment, et remarqua en S. six val-
yules longitudinales. -
Fig. 6. C’est l’omoplate gauche d’un foetus mâle.
A . B. La cavité humérale de l’épaule.
D. H. L. Le bord cervical ou supérieur,
ï. R. Le bord costal ©u inférieur.
B. C. L ’apophyse coracoïde.
R. G. F. L ’épine de l’omoplate.
L’ossification n’était avancée que jusqu’en a. b. — c. d. et I. H. ; tout le
reste était cartilagineux.
P L A N CH E LUI.
Cette planche montre l’analogie du crâne des cétacés avec celui de l’homme,
et comment les différentes modifications des mâchoires ont influé sur les
ehangemens des narines et la forme extérieure.
G. a. B. C- D. q. 3VF. Le profil d’un homme.
A. L’articulation des mâchoires.
G. B. La suture lambdoïde, ou occipito-pariétaîe.
H. C. La suture coronale.
F. E. La suture du temporal.
A. Position du grand trou occipital.
b. U. V. n. O. L. Le profil du cachalot.
Y . R. H. L. W. Les fosses nasales du cachalot. Elles sont ouvertes à l’extrémité
supérieure du museau.
b. A. ê. jj. n. L. Le profil d’une balein e franche.
L. P. d. a. 6. [&. R. Les fosses nasales de la haleine. Elles sont ouvertes presque
à distances moyennes entre les yeux et l’extrémité du museau.
b. C. R. O. L. Le profil du dauphin vulgaire,
b. Q. è. (a. N. L. Le profil du marsouin.
D. L. Le plafond des orbites de l’homme.
d. R. Le plafond de l’orbite d’un cétacé quelconque.
H. P. Q. Y . Z. Les fosses nasales d’un dauphin d’espèce quelconque.
Y . Z. L ’évent.
Le reste est expliqué dans le texte. Au reste, nos lecteurs comprendront
qu’il ne s’agit ici que de représenter l’analogie par aperçu.
2. Cette figure sert à expliquer les métamorphoses des os de la face et les
contours du crâne vus de front.
E. B. C . f . f . C. B. C’est le contour de la tète d’un cétacé dont les os nasaux
et les narines seraient placées entre G. G. et E. La différente inclinaison
des os frontaux-, suivant l’obliquité H. B. en H. fi. , influe sur la forme
des arcades palatines B. D. — /3. -y. D.
A mesure que les narines s’ouvrent en G. G. ou g. g. , il faudra prolonger
le conduit membraneux des fosses nasales, comme nous le voyons dans les
dauphins et le cachalot.
La comparaison du profil en donne l’explication, ayant surtout égard à la
ligne d’équilibre X X.
Les lignes ponctuées K .b .C .f . font voir le redressement des os maxillaires