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^u’elJe, ßl k dépasse. La première-dorsale naît sur ie milieu dé k
pectorale; elle a dix rayons épineux,, assez feüâes «t peu elefes, et
° 0111 le premier'®*!;. très-^iourteLa secondé en a un épineux;.et ■
trente-trois mou?, elle est à peu près d’égale hauteur partout il ne
- reste que peu de nu ducailre die. t a caudale est arrondie. Toutes
les deux sont complètement écailleuses ; au point même que,-dans I
k caudale, on : a peine à éooepte-r. les raycms. L’anale n’qccüpequ’ «a
peüte^ace ^ Ioïigues»sô«s4*îtûReu de la deuxième dorsale; elle
est deux fois plus haute -que longue. Sa première épine est très-
court*, mais la seconde, cpnipranee et arquée c.nmmp un sabre,
est plus large ec plus forte que dans aucune autre ScïèBe : il y a
ensuite sept i^ ö n s möui èt quelques écailles entreeux. Les écailles
du corps sont lisses, finement et légèrement striées swlei.bdrds. |
il il y a qu’une lame an ptuiibre. mais m,ii e» » { ■ ► -î.rnir e par
; le cnracoidieu dans l’aissdie de k pectorxj^ f e iip*e kférakest à I
peu près patin**» «s dos, et bisrqétée pas J* i&îV’s tenpks^mâïs
~D. 10—1/88 f â. s/t:
Ce poison, long de dix - neuf ou vingt pouces dans notie
échantillon.. est.entièrement de couleur dargent, a>v? des hartes
obliques grises ou bleuâtres, trèsuiooebreusèstout le long du dos.
Il y a des suites de lignes Jjrunes dans les intervalles dès.ravons de
1a première dorsale, et dés points bruns sur ceux de la seconde. Les
sut-m m v:i u\ ngt point de taches.
Stu ü idöS nombreuses acquisitiofls procurées à l’Hïstoire
nai ■: ; ile par M,. ÂvLgnste dë •Hil
daifâ la m ière de Samï-François . rësil
Je në tiouye pas (ju’ilr Tepondt?■ à auoun
dont a parlé. Margrave.
DES BORIDIES ( B o s ib i j ,, aob.).