•1 3 2 LIVRE JiiNQÜI'ÈME. SCIÉNOÏDES.—
préparé lui-même une copie pour une publication qÉ’ii
désirait 'faire, en Hollande^, et d o n t m û t le manuscrit a
pa£s| dans les mains de Bld^h-1. d&st celle-là qui‘estf|my^e
dans tbçHtyolbgie' de Bloch ( pb 1’ahteùr le d it positiveÛaent
dàps son texte. Mais- Aubriet en fit dans là, suite,
po u r la grande collection d ^ ^ é n n s qui est .ân|^Hr$ ,hui
au .Muséum, une copie à isa manière in ex ac tes ou r
Iei détails, enluminée a là'g'ouâche dé ccèfileurs. tranchantes
et eii partie imaginaires j et comme il parait nW&irfepts' su
le d a tin , il y^cbpia avec" deux fautes ridicules la phrSstPde
Plhûîiër. Au • chromis seu timbra lituris- j^cilù
variègàta, il crut brevet ilf écrivit eti. b“eUè^,fê'tt]^ a o r :
c h r o m is ' seju 4 ü® bI.a l in u r i s fuscïs vâriégata Pïumièrü;
phrase qui a paSS&àyec le dessin dans legysÿ^ion^ ^ i du
çH^BWptère^ g fflp l l ^ e , -mais qui nÇ:à’était jam a i^ a p -
p t^ p e qu’à" notre ombrine vulgaire.
' - jL ’O m b r i î^ h g k B u s sE L .,
T ‘ ^JJmbrinà Russelii, nob.'^f-;’
Néanmoins il’y â d e s ombrmes dans’1 les d^âA c^4â®s.
B lS |l {pl. r ] 87 en représente unë dudapcote de ifrêro-
mandel 'qui ressemble beaucoup'a la n ô tfep p |
niais qui-eàt/un peu a ie‘McrMllon plus ‘ét
plus pointu et Iaô cahdàle rhômboidale.
I l la d it rare,-e,ï n e n d é c rit pas les,couleurs.*Æ^e§ indigènes,,
de Madras la n om m en t qualar-katchelée.
La longueur de son individu, était de dix pqiucés^ét il donne
pour? ièës Upmbresde raytons-: - ,
: ■: DJ13:— 2T; A. 3/l;C>,18fîP. 15; Y. ijSl' .
,y.. « ; H CHAP. VI'. OMBRINESéL14 ' ^ 5 5 '
Mais j© doute qu’il aifi|,bien compté les -épines de 1 anale
e t lesBràyons de la caudale.
X ’O m BBjI'ISEvB E K u h l ..
TJmbrina Kuhlffîi no fl. £ nScfoeM m&éa,. K. et Y. H.)
MM., Kuhlfce t Y an .Hasselt on^envo^éMe Java, au Mu-
séjsàroyai des-Pays-^as,une ombrine d o n t les proportions,
Igm m e ;c p S e s |)i|3 a précédente,, rappellent celles de la
p^rçhevv^',.
Sa- Kfintetf'edt et demie danB;sa'>ngùeur.',S©mbar-
"biïon^fgras^ et longv&attèint fangle 'de la commissure. ,Sa, caudale
y ^esjrhojriboadâlejej-se termine en^aiiglp obtus.- Salconfeur générale
est/grise^ur le des reflets dorés;
'^ I ^ Æ e , ( îm i bleu d a c ié rV ^ w ^ g ^ p ç r c u I e . En travers sur sa
en a » * â’Æ â o r sa ie .'e^ l Æe Êr^e bande brune. Une
feânde ^ ÎTm d ^ n ià^ é& r è^ sfe longitudinalement au-dessus^ de la
ligné’latérale. La^e^iièrè âers‘aJ^e^ | s | ,, pômtïllée de n&irâtre :
et H a U t ' r e s ^ ^ ^ ^ s'ont jaunes. ''sont striées’dé’ ma-
V t ië ^M irm e r 'sût !&éâVeïV d ^ c ô ^ ^ t ^ f z é ¥ quinze lignes
r'âevéés'ï *f
iÿ §^ ll/2 4 ; fa i C., n ; .P* 15 5 Y 1/5.-
L'individu n’a que six poutees; :
J b ’OlVLBRINE DE S É T A T S -U N IS .
1 ^(^mbrtâa aBurnus^é^.j Scicbna nébutôta, Mitch.; Percèt
alburnüs,.Linn. ; Centropomus alëumm,'Lac&g.)
Ëavplus, connue d ^ om b r in e s ^ |A m é r iq u e est u n d e ces
poissons auxquels les Anglo-Américains o n t d o n néde-nom
d e king-Jish-lpoisson- royal) ,-sè^ .à cause de l’estime q u ’ils
en font*, soit peutÿffre simplement à cause de leu r analogie