2)8 LIVRE Ê-iï^QtïIÈ'ME.
At>hén^â-4es vante extraordinairement pOUr la bonté dé-
^ ^ ' B K p dans uii -aU^ e eud rait il dit que parmf -
les nombreux- »et B©iffi^êlssôns de leëollêuverlë& boMcins
sont ilp yâng d e^ ^ e illèu ^ . Martial entdii?aütanti(.È XI II,
bp-S^j). ' i ’
( -.JPrimeps- niliaci Tdpeçis^ç'ordcine màfelliç -,
»ïior ^ull/a.^gidç.. _
: i jêtefon Pline, }jlje; côraeim-ëtait ‘Meilleur e?ri-Égypte î|iie
dans âûciin autre ^aÿsJ; bi*ce' qui achêvë de gffia^èr l *qixe
le ®qb?aein%î^f|te' drÉérait j^ s *% u tté § y ^ t qrie Pliné
kft^qti $%était un ^bipbml^rtieuliedAu ffil 3y ët "q u ’il
issWé <jûe Jub a:, ' <f a j ^ s ^ ’ëM ^ e ï^ du ' q^P®of‘ Tin
feb-Se k ‘b^i>^Mauri«abfe lavait prÉénffii queVlWfü^ir-î
tait de c ^ lk ^M i ë h qùë lë%neme'"Pl®S|pj^re daus'qnn
aulre^éîÿdÿoit quë le Lb^Mcin^3kïifsi q kéle plaire",’le inôjl
jîëfi îaLpferche ‘^Vlvèffif'égalëinenf et dans
ïejsfti salte'e.i5, . -
Çétait^eqIcorgcin queJgln employait Jen |Hhr
rurgie. ;chair-passait ptohr utile ^ ^ ^ é jH p |
J!6orproi^Ml¥ë~ôu frotté^ê^M^'-éll€rfnérSstf#| dis ait-
on, le' charbon^7 2 'f
:4' fjktbéh'ëfe assure que fes rif erlms ‘tlu Ml le' nommaient
Ttètëln ou feonclie r.! ,et Içs Mexanarips le
niéoeÆn XënôWât-ë apprenti- que té ta it lt^curaçîn
p?ifenhivér et sâïé qureèTïommait ainsi9:E n effet, dans
un autre passage AtbeÀée1 dit ÿ ïé le nom du ‘édrâcin à
, AîteAa’ndrie était p la ta x , a eàufë de son ffbntour XmX'ên
1. AtMftée, 1. \TI, p. 3tJ9,Vt 1. VIIÏ,> 356 — Irm a ,.,
| XXXII, c. 5. CoraOnî/rôc« tfiU quidem ‘peeuïiam sunt. — 4. % eî |i.
fc J ^ y ï.Æ X X n , cri-ll - 6v I tô , / ;ÿ :^ X H , -e.T3.-%- 7. Ibid., h XXXU>
e, io, — f f l m m 1. il!; p. rài'-. — 9. Àp. Ôiiî).,~Gàll., 1. H, c. -58r “• ■
, àtit-'è >r& tf&p:à$0bsi\bU et .Ailleurs il d it en général
qu’on appelait ,<l®L«érâc^n plaiistacus et saperda. a
fera/ai’ pas eu- plutôt recueilli et rapproché ces passages,
que. j aicFurdqcpuvrir clairement le véritable eoracin.
'^Qjis savons que le|meilleur p,qikâpn duKil test le Jbfolty
( labrus nifypqus, Jpnp*, et notre p r o m i s nilotica). Il
Ig ir r - om p r im é ! IÆ s u r le côté;,, il paraît arrondi, et a
fort Èfèn’qssL par eM| nqm|mé p la ta x : il se
trouve dans le'N jl eti$khvile Senégafkjnu^ conséquent il
a bien puëÛtÉje cbnsid(||î|!) comiïïp propre a 1 Égypte, et
iP I’iëndanUa^Iu été vu dans quelque dans quelque
jëlkpgSe la Mauritanie ;,&î|J|n, il..e|||}^ngénèr,e d u n petit
q u iffo u rm i^ P ïrjio s c^tesf, qui n’a jamais- p u être
^ 8 d|mékgd,ë»conune appât ouS m me ^sa|à|spn, et d o n t la
nquîeur est bnme|!ou. ’m ?ie,; c|e^t le castagnau ( sparus
%Èmmis y L .ï^m t) ^ r e chromis çastaneaj.^ J e ne doute
„donclnullement' b u u feMdracin de mer ne fût le . casta-
loe a q „ ©Mie -Igraicin- du:(,|fil le bolty.^
Après cela, \ojez: ,4'^ - quelle rais'Oif on a pu vouloir
c o m n q ^ l’histoire d u » jF ^ ' 4 §§. lambeaux de; celle du
t cqi;a,cln.i énars dans d e s ,écrits ;ïd^Jàncicn5.
Éétai,s. déià, arriye ^Tcte ,résultat, qpand j’ai vu dans Gil-
; liùsf que |^ c £ ^ t^ ^ |» s& «D p am ^ q ^ o re à^Naples coracino
et en fiqrse' cpqpolo. Gë fait, auquel Gillius lui-même a t-
tachait.apmr- d’importance. parce qu’il ne trouvait pas le
4 easta'giiau assez, s,e,mblable au mélanure, a donné à mes
^eonclusions u iS co n firm a tio n aussi’ agréable qu’inattendue.
L’objection même que faisait Gillius tom b e ; car
s&*AâEigace, 1. YÏI, p. 3oof.'î^®2: Ibid., K VH, p. 3o8.—- 3. De gaüicis nom.