Le P b is t ipoiiE,.p et it e ?® gie.
fÊristipoma séïrûla, n b b :J |||
■ Wîéëlsec’qnâeî eSpèteê se nomme à la Martinique petite-
sci eîjpiüf- i tê t^ d e -rp qfip. , ;
j& Elïee'st^» peu plus oblorigue que la précêdènte, et a le front un
i» peu moxns^bonxbp^àjproportion, l ’oeil un pèu plus grand. Sa partie
^Kuperièurepâraît violâtre, àfctsc quatre ou cinq lignes longitudinales
jâunfeM^ Sâ ^âWie inférieure à'dgerïtée. lié* dfetixième et le troisième
‘^tfayomcfe s o i anâLef,sortt d’égale longueur. ïSt’èehanqmre *de sa dor-
• ^'Sàle e^t presque aussi*/profonde quefu^is- Tes sciènes proprement
JL .dites l et ses Taydns epineux s dut1'faibles.
D. 1.1/13
fLes individu^ que no.uSs'dev’orïs àM. Pfée ont sept pouces de long,
■. )'L'ësjièg®',,riSeLon,i'éé-'.voyageur ^ ne pèsent pas plus d ’ûne,
demi-li^re.^
L e P risti pôivh^ lÿiÿÉfe.;Jîw
(Prtstipo'ma dùTM'âm^rkdb-. J
iro îîîem " aë là" Martinique^ que
noujf ayons .troweëjfklansdë^âbinet de "leu M. Ripnard ,
. sqstîito'ute ‘ semblable à iaapüéeédehte ,vmêmê par les nombres demies
( rayons j mais, sagcoulcur; est; par tbutdiain ddré uniforme1. •
™&Tî$<iSî A. 3/9; C. 17; P. 15; V|Jj^sfj!*
La longueur de l’individu est dç,‘SK pouces.
L e P ri,stipome a n a,<î e g i ^És, ( NjarâÈs.
{Pristipom^^elanpptérurn, nok)n, r
• ; <üne: espèce un peu plus grande est du Brésil;, d’où
M. Delalande ,1’a apportée;.