les ventrales pointues. -Une petite écaille pointüe se remarque sur
la Base de chaque ventrale* et entre elles il y-eft a;une triangulaire.
B. 4; D. 13/13; A. 2/13; C, 15f ’P. 16;
À proprement parler , les écailles de .ce pomaceûtiie sont-toutes
transparentes. C’est le corps muqueux placp sous elles qui'donne
aïipoisson la .jolie distribution de couleurs qui le, caractérisé, et
qui le fait ressembler à certaines toiles peintes d’.unjÆssin délicat.
Dans notre individu, conservé dans la liqueur, le fond pac^ulun
brun tirant sur le violet. Tôufe la tête^ l’epaufo ,ei la poitriné font
cernés de petites taches rondes assez serrées, qui paraissent d’un
blanc verdâtré.' Sur'le museau et à la tempe elfes S'alm^ent ràmpëu
,en lîgnps, et il y en, ar.une qui va d’un (riLà LaUÈre en sS|piur-
bant en avant.,Trois séries de ces taches ■régnent'avepun- peu^d’irrégularité
le'kmg du Jbord inférieur du corps jusque sur. Ja illi de.
^ d ’anale; et il y.en à aussi, mais de plus_sërréés et plus irrégulières,
le long du bord’supérieur'du mrp^jir^^æ^BoqtJ'de la ®iir
sale. Le reste de_l’espace sur chaque face au" corps a <|t>~hgnes;
transversales de la. même couleur,Àp pqu|trqùcês", et faisant comme
' dés^borduries d’écailles, mais d’écMlléfobien' plu^âirgfV mif' lo'n-r
gue's, ou, si l’on aime ntieiix, représentantISes^espèces,dé losanges-
, très^âlcmgées dans le sens vertical. Les n^geqirês sont buuies,
dé très-petits-points bleuâtres sur la base" de jflT pegfiiraîc ei de la
dorsale. Bloch donne à son individu dFs hïul'es jjhis fjuvdSîet'
plus bleues ; mais MM. Quoy et G^mard^ jfoi tJn tq ^ rït l’espèce
sur nrf| frais à Amboiné, nous ap^^hnént^ept elle est" d’un Krun
bleuâtre, et que ses points et ses lm juî^>vfoni bleu de ciel. La'
tache de l’opereule est d’üh bjeufonçé. Les^peGtorafesfo'^lèiàuhes,
’l iés’ ventrales et la caudale jaune verdâtre, l’anale hrune.
- Le ppissdh que^’èôus venons de décrire, et q n iw Ç
bien certainement le choetodon paVoï de Bl’o;ch , dont
M. de Lacépède â/faîtjfoh. pomacèntre paon, rie l àfosë.' pas
que d’avoir éj/e décria séparément par *cfe dernier naturaliste
, eu su r le même individu qui nous a servi de sujet
(h TV*, p. ,i33S*.èî^^r7>3 )Asbudi le nom - d'holocentre dia-
canthe. 11 suffit *âê*fojemp!arer la description du choetodon
pavo%~^)yy(b± pols'^ô’n'nfoMmé mal à propoe^' ainsi’, avec
Celle de Mlfoldc entre diacanthe, pôu r^ assu fêr de l’identité
de l’es « ^ ^ ^ 11
„ .(SeqiQli pjMj§f®p h ab ite la .m ff des.Moluques., Ma !,. Qupy
jet Gaim’ard yîënnent dpjSeap. « fopporter.'
. Ori^Ajnsserve dans le 'Cabinet .pdySll^!f|5iiPays-BaSi u n
pém-acentrë '‘fw b ^ o is ïn i d u 'pd-ony W$1 p a s' due
sim p le varîé1É% que dbifâ ap p ellero n s1 perspicHlatus.,-
, Dafo la ligueur s^ l ^ uleûrj;>g^iéj^et paraît jaunâtre. Deux traits
blancs TMfaSSSyuw' d’un *cril .’i l'autre; un trait blanc,ïqJfetuJinal
Puni 3e la. inârJu> a fîh 3m^us-ormtfflrâ La nuque
.„et les jAm^Vtfom^eméesle.pqints blancs. Un llmtj blanc, fogjf
marque, se 7n()nfiiVtiuQsv('j>aletii(nt naquô « <\uTle. @n voit une
. .tache.brune .sur fes septième, huitième, neuvième' râæp’ns épineux
a é Ta "3^rfole ,éét unh1 fin de/‘cfel?t|| jppref L ’anus, est
* s^m«ra^maori:fom
D. 1*3/13.; 13; Yljû ^ ê w .tu J
.. Il est long de cinmpouGes* et larjge de deux.
Korigine n-'én e ^ a m ^ nBaie.
jLe P ’Ô M?A C EN T R3& ÆKLiÈt#. «P
ÇjPomctcèritnm ^ocemdâuspMcé^)
Lé);ftOmacenttfe lieu:, rapporté.,de lisiezderbi/â.ipM'par
MM; Qndy^ët Gaimârd gzQ;©l'o'gis,tes,déil;exp éd#1|#n;'Frey-
ç in e t, et repiréfo^Eé d'ans dapielation de $|^®yage' ï^zooL,
pl.;64;, ftg-i 3,)fî *
-son'frontfest seulement*;plus^irégulièrement^Gonséxé/ son oeil un
peu plus grand, et les l'obesdetsa^queue' un peu'moinsfogos»py
B. A3/15 ; UU 1 1 JS&16 ; V. '1/5.